Ce soir, Shane dînait chez ses parents, enfin, avec sa mère plutôt. Celle-ci ne m'aimait pas, alors elle n'avait pas eut l'idée de m'invité, et plutôt que de monter Shane contre sa mère, j'avais décliné son offre de l'accompagner. En effet, il aurait voulu que je m'incruste, ce qui, loin d'arrangé les choses avec elle, l'aurait encore plus braquer contre moi. Je ne voulais pas qu'elle trouve la, une bonne raison de l’inciter à me quitter, aussi, j'avais préférer rester chez moi, et invité une bonne copine à manger. Maëlys et moi, on s'était rencontrer par hasard dans une confiserie, et même si j'étais une fille plutôt bizarre, on avait tout de suite accroché. Depuis, on se voyait régulièrement, soit chez moi, soit chez elle, ou au restaurant. On se gavait de sucrerie jusqu'à en être malade sans culpabilisé, le tout en se racontant nos vie et en regardant des séries stupides à la télévision.

C'est ce genre de soirée qui nous attendait. J'avais prévu tout un tas de truc fait maisons et sucré que l'on pourrait dévoré en papotant. Sauf qu'elle aurait du arrivé il y'a une demie heure et qu'elle n'était pas là. Certes, j'avais l'habitude, mais je ne pouvais pas m’empêcher de m'inquiéter. Alors que j'allais l'appeler, l'interphone se mit à grésiller. Sautant sur mes pieds, je me rendis dans l'entré afin d'appuyer sur le bouton qui permettra d'ouvrir la porte d'accès à l'immeuble. J'ouvris ensuite la porte à mon amie qui ne tarda plus à arrivée à mon étage.

Je dois reconnaître qu'il me manquait. Depuis que j'avais enfin ouvert les yeux sur mes sentiments envers lui et que j'avais oser voir plus loin que le bout de mon nez en admettant que certaines choses étaient importantes dans un couple et que repousser les choses ne ferait que l'éloigné de moi, j'avais changer. Aujourd'hui, je ne voyais plus mon histoire d'amour comme une punition, mais plutôt comme une bénédiction. Oui, je l'aimais et j'étais désormais prête à le hurler au monde entier. Pour l'heure, il me manquait mais je ne pouvais pas l'appeler, je ne voulais pas qu'il se dispute avec sa mère à cause de moi. Aussi, je prenais sur moi et j'attendais avec impatience l'arrivé de ma copine.

Elle avait tout de même finit par arrivé et s’excusa aussitôt de son retard. Ce n'était pas bien grave, l'important était qu'elle soit là. C'est d'ailleurs ce que je lui dit, juste avant qu'elle ne m'indique qu'elle avait apporter pleins de bonnes choses à manger. Alors que je jetais un œil vers le sac qu'elle tenait, Maëlys se dirigea vers ma cuisine pour les poser. Je la suivis, et pu découvrir le contenu de son sac tandis qu'elle le vidait en m'expliquant qu'elle avait emporter sa cuisine. Je ris.

« On ne vas pas mourir de faim, c'est sûr ! » dis-je, avec un petit rire. « Surtout que j'ai fait pas mal de chose aussi cette après-midi, j'ai eut le temps cette fois, ça changera des pâtisseries toutes faites que j'achète d'habitude ! »

Quand elle eut poser et ranger tout ce qu'elle avait apporté, elle me demanda si j'allais bien, je fis signe que oui. Après tout, c'était la vérité, non ? Puis, je lui posa la question à mon tour. Je n'aimais pas trop parler de moi, en revanche, j'adorais écouter les autres.