L'histoire de votre personnage, à présenter sous la forme que vous désirez en une TRENTAINE DE LIGNES. Année 1991 donc il n'y a pas si longtemps que cela en fin de compte un enfant de sexe masculin vint briser le quotidien de la famille Kirilanko. Une famille allait se former. Le père d'origine Russe et la mère d'origine Américaine se sont rencontré au USA et ils ont décidé de sauter le pas et de fil en aiguille est arrivé ce qu'il devait arriver. Ce pauvre Russe était parti du bas, mais avait un talent inouïe pour régler les pires emmerdes de la planète si bien qu'avec ce talent il est devenu ambassadeur d'Allemagne au États Unis d'Amériques. C'est là ou il a rencontrée ma mère et qu'après de fil en aiguille il s'est passer ce qu'il devait ce passer car, il s'aimait follement. Ces deux la se sont très vite marier, mais rattraper par ses fonctions politiques mon père a dû quitter les USA pour retourner en Russie. Il devait y régler un soucis et comme cela allait lui prendre un moment on s'est installé. La première chose que l'Amérique m'avait offerte c'était vous devez vous en douter un prénom Américain. Ma mère avait fait changer mon père d'avis par je ne sais qu'elle moyen féminin à propos de l'avis de mon prénom qui au départ devait être un prénom Russe. Autant vous dire qu'au début j'étais pas dans la merde. Déjà que mon nom de famille est Russe d'origine en plus d'être dégueulasse j'allais sans doute me retrouver avec un ensemble prénom + nom merdique. Donc dieu bénisse ma mère de là ou elle est car oui elle est morte, mais on y reviendra plus tard si vous le voulez bien. Moscou me voilà ! Je passe six ans de pur folies dans la capitale Russe.

J'apprends le Russe chaque soir jusqu'à le parler aussi parfaitement que l'Anglais. Mon père voulait que je garde en tête mes origines et que jamais je ne les oublie et c'était réussie car, je n'avais jamais renié mon côté Russe et aujourd'hui mon gout pour la vodka et les autres alcool fort en témoigne bien. Six merveilleuses années qui ce sont soldée avec un drame malheureusement. Mes parents décèdent d'un accident de voiture le lendemain de mes sept ans et je suis conduit hors du territoire Russe jetez comme un malpropre car, selon les ingrates autorité de ce putain de bled maintenant que mon père était décédé et qu'il avait réglé le soucis du pays je n'étais plus important a leur yeux alors ils m'ont fait dégager. Dans le monde de la politique il n'y avait aucune pitié et j'étais devenue la preuve humaine sur pattes de ce que j'avançais. La vie était faite ainsi alors le dernier geste de courtoisie du gouvernement Russe à mon égard était un allez simple et sans retour pour Montsimpa et une famille adoptive de la bas très fortuné qui m'avait adopté non seulement parce que c'était leur envie, mais aussi parce que disons le clairement j'étais très mignon même a sept ans ma mère adoptive n'arrêtait pas de me gaver de ce genre de bisous qui te laissaient des traces toutes mignonnes de rouges a lèvre, mais très peu pour moi ce n'était pas mon truc. Voila pourquoi aujourd'hui je déteste la Russie même si je ne nie pas cette partie de moi et mon héritage culturel Russe.

Une belle matinée un grand gaillard débarque et mes adorables parents biologique les Stonefield ouvrirent la porte à ce monsieur qui avait l'air assez remonter. Ce grand monsieur que je ne connaissais pas des masses était accompagné d'une magnifique jeune fille qu'il tenait par la main et qui avait sensiblement mon âge j'avais vraiment flasher sur elle comme jamais auparavant l'un de mes premiers béguin amoureux. Un véritable coup de foudre, mais je n'étais qu'un gamin alors je ne sais pas si c'était vraiment réel ou non. Le monsieur parlait très fort il gueulait même que des dons de ma famille envers celle de ce monsieur avait cessé de provenir chez lui. Assez apeuré je m'était accroché a la jambe de monsieur Stonefield sans la lâcher avant d'entendre quelque chose que même à cet age là je comprenais bien. Les parents de la jeune fille étaient décédé à ce que j'avais compris et mes parents s'étaient engagés a faire des versements d'argent régulier jusqu'à ce qu'elle puisse se débrouiller toute seul.

Un des effets de la mort de mes parents avait donc été de sans doute dévaster une vie en plus de la mienne. Elle était dans le même cas que moi et ça me touchais un peu malgré ma carapace émotive. Après quelque explication dans le salon autour d'une bière j'avais pu lui parler et je ne vais pas vous mentir j'allais tomber sous le charme de cette jeune fille progressivement. Les années ont passée et le parrain de cette jeune fille m'avait tout expliqué. De la rencontre de ses parents avec mes parents au décès des parents de cette dernière dès sa plus tendre enfance car elle n'avait que six mois. J'avais moi aussi raconter mon histoire à son parrain qui l'avait parfaitement compris. Je passais tout mon temps libre avec elle. On allait dans la même école on a grandi ensemble alors des liens se sont vite tissé avec elle. Je ne cacherais pas qu'elle m'attirait beaucoup. Beaucoup trop. C'était ma faiblesse la plus forte mais contrairement au autre faiblesses je l'assumais pleinement. Elle l'avait capter de son côté je pense car, elle désirait devenir psychologue dans un futur proche. Elle désirait en faire son métier. Moi de mon côté je ne savais pas trop encore ce que je voulais faire, mais dans ma tête l'avenir m'appartenait et j'avais tout le temps d'y penser.

L'adolescence vint et une fois encore je me retrouvais dans le bahut de cette fille. Au collège c'était plus tôt calme. Elle avait rôder ses techniques de son côté et moi les miennes de mon côté. On était ami de longue date et au lycée ce qui devait se passer se passa. Je l'ai beaucoup aimé puis on c'est disputé pour un rien comme souvent sauf que la on en avait respectivement marre de tout ça. Alors, on a décidé d'un commun accord de ne plus se calculer. Il n'y avait aucune haine simplement on ne désirait plus se disputer et si cela passait par le fait de ne plus se parler alors ainsi sois il. Je ne voulais pas faire le faible devant elle mais j'encaissais ça très mal. C'est ce qui fait qu'aujourd'hui je suis si négatif et négligeant avec les femmes. Je les traite comme de la merde par sa faute. Car je tenais a cette fille et elle m'a blesser. Je suis l'héritier de la grande fortune qu'avait acquis mon père en plus de l'argent des Stonefield dont j'avais pris le nom pour ne pas les oublier et remplacer ce nom qui me rappelait tant de souvenir douloureux et qui était si dégueulasse. J'allais de l'avant quitte a paraître froid et cruelle. J'étais réaliste...
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