Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. »
Auteur
Message
Invité
Invité
Sujet: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Dim 13 Mai - 18:04
Zéphyr A-D. Oackley Réservé
Je m’étais enfilé plusieurs verres d'alcool assis face à Zéphyr, ma main posée sur la tienne je ne me sentais plus. Nous commandions encore un verre chacun avant de décider de partir, il voulait dormir chez moi, sur le canapé avait-il promis, je quittai la table bras dessus-bras dessous. Il monta dans la voiture, je fis de même et pris la direction de mon domicile, après de longues minutes de trajet et dans la crainte de me faire arrêter par les forces de police je passai le portail de fer forgé noir que j'ouvris avec ma télécommande. Je garai la voiture sur l'emplacement dédié sur ma propriété me dirigeant vers la porte de ma maison. Je glissai la clef dans la serrure en rigolant aux âneries de mon ami. Je poussai la porte marron faisant entrer le jeune homme en premier, puis j’entrai à mon tour verrouillant la porte ; sans savoir pourquoi il me plaqua contre le mur commençant à me déshabiller, je le fixais droit ans les yeux totalement ivres je ne me rendais pas compte de ce que nous faisions. Je le dénudai à mon tour, nos corps collés l’un contre l’autre nous faisons l’amour toute la nuit, avec passion et tendresse. C'était ma première fois et je ne risquais sans doute pas de l'oublier.
Les nausées m’avaient réveillée tout comme hier quand j’avais été voir Blanche ma meilleure amie. J’avais acheté un test de grossesse, je retroussai mes draps sur les côtés du lit sortant de ce dernier puis me leva marchant en direction de la salle de bain en « titubant ». Puis j’arrivai devant mon lavabo, j’enlevai l’emballage en plastique mais avant tout, j’urinai car la pharmacienne m’avait informée que pour avoir un bon résultat ; ce que je fis. Puis j’allumai le test attendant le bip, qui retentit quelques minutes après, je fermai les yeux puis les rouvrir voyant qu’il se déclara… positif. Je tombai sur le bord de ma baignoire, choquée, je savais déjà de qui était le fœtus. Il était de Zéphyr, un ami d’enfance dont j’étais amoureuse, j’avais couché avec lui après une soirée bien arrosée et nous n’étions pas protégés lors des ébats... J’avais peur, je ne savais en rien comment il allait prendre la « nouvelle » que j’allais lui annoncer. Je me passai les mains sur le visage, me levant j’allai dans mon salon saisissant mon smartphone, je lui envoyai un SMS l’informant que j’avais quelque chose d’important à lui dire. J’enfilai rapidement une robe de dentelle couleur bleu marine ainsi que mes ballerines, je n’avais pas faim, mon estomac était comme « noué ». Je plaçai mon portable dans mon sac à main, le rendez-vous était fixé dans trente minutes dans le parc de San Diego, mais je ne savais même pas s'il allait venir. C'était sans doute prématuré pour lui annoncer, mais quoi qu'il en soit je lui avais offert ma virginité et j'étais enceinte de lui. Je fermai la porte de ma maison, puis je marchais dans la petite allée ouvrant mon portail avec la télécommande électrique puis je marchais dans la rue me dirigeant vers le parc.
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Dim 13 Mai - 21:11
Complétement plein, voilà ce que nous étions, ce fameux soir. Nous nous étions retrouvés dans un bar, enfilant les verres. Puis, nous sommes rentrés chez elle. J'avais insisté, encore et encore. J'avais promis de rester sur le canapé, et pourtant, ce n'est pas ce qui s'est passé. Je n'avais pas pu m'en empêcher. J'avais été pris par une envie frénétique de gouté encore ses lèvres, le parfum fruité de sa peau, m'enivrer de son odeur. Comme un assoiffé, je m'étais rué sur elle, je crois que l'alcool y été aussi pour quelque chose. Et pourtant, plaquée contre le mur, je la trouvais si belle, comme d'habitude. Ne quittant pas son regard, j'étais hypnotisé par elle. Je la déshabillais aussi vite que je le pouvais, elle en faisait de même. Puis dans un moment de volupté et de communion totale, nous avons uni nos corps aussi étroitement que possible.
Les rayons du soleil, commençaient à filtrer au travers des volets. Encore faible, mais suffisament fort pour me réveiller. D'ailleurs, mon réveil ne tarda pas à suivre le mouvement, retentissant dans ma chambre. Je poussais un grognement avant de me diriger vers la salle de bain. Je mis peu de temps à me préparer, enfilant mon costume et quittant ensuite mon domicile pour me rendre au cabinet. En stage à San Diego, je bossais pour un bureau d'avocat. Me chargeant de traduire des documents en suédois ou en français. Je sursautais alors qu'en plein milieu de la matinée, je sentis mon portable vibrer dans la poche de ma veste. Je consultais alors le message. Posey. J'ai quelque chose à te dire. Rejoins-moi au parc. Posey. Je fronçais les sourcils, je ne savais pas quoi faire. Quitter mon lieu de stage ainsi ? La peur s'empara doucement de mes entrailles, et je tardais un peu à répondre. Et si sa maladie était revenue ? Étais-ce de cela qu'elle voulait me parler ? J'imaginais déjà les pires scénarios dans mon esprit. Ce message était angoissant, mais je lui répondis que je la rejoignais d'ici trente minutes. J'inventais une excuse auprès de mes collègues, emportant mon boulot sous le bras, pour le faire chez moi. Je me dirigeais alors vers mon véhicule, et démarrais en me dirigeant vers le parc de San Diego comme convenu. A peine garé, que je sautais de ma voiture et franchissant les portes du parc, cherchant Posey du regard. Le soleil était déjà fort et je me défaisait de ma veste, la passant par dessus mon épaule, l'autre main dans la poche de mon pantalon et jouant avec mes clés, stressé. Son message ne cessait de revenir sans cessa dans ma tête. Je la trouvais prés de la fontaine et je me dirigeais vers elle, tentant de sourire malgré tout. « Posey ? Qu'est-ce qui se passe ? », lui demandais-je, posant ma main sur son épaule. Je déposais ensuite un léger baiser à la commissure de ses lèvres. Je plantais mon regard dans le sien, inquiet.
Invité
Invité
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Dim 13 Mai - 21:49
Zéphyr A-D. Oackley Réservé
Je sortis de chez moi le sac à la main, marchant dans les rues nerveuses je jouais avec mes doigts. Je faisais attention autour de moi, j’étais dans ma bulle, sur mon petit nuage totalement perdue. Je ne savais pas comment réagirait Zéphyr, mon portable vibra dans mon sac, je le sortis donc ouvrant le SMS que venait de m’envoyer le jeune homme. Il était d’accord pour me rejoindre au parc, je marchais d’un pas moins rapide arrivant après plusieurs minutes dans le parc. Je passai le portail de fer forgé noir, regardant autour de moi, méfiante. J’avais l’impression que tous les yeux étaient posés sur moi, que j’étais comme traquée comme un lion en cage. La panique m’envahit, une larme coula sur mon visage mais je la séchai d’un rapide coup de bras, je ne tenais pas vraiment à voir des gens de l’université me voir pleuré. Je voulais juste parler à Zéphyr, je ne voulais pour l’instant que personne ne le sache, Juste lui et moi. Oui, lui et moi... J’avançais dans le parc à travers les arbres et les allées couvertes pour la plupart de petits cailloux blancs mais aussi d'espacess vertss fleuris. Il y avait des couples, mais aussi des retraités qui promenaient leurs chiens sans oublier la calèche conduite par un homme ayant la cinquantaine d'années. Depuis que j’étais arrivée à San Diego, je le voyais toujours ici, il prenait des touristes et leur faisait faire un tour, gratuitement, c’était un passe-temps apparemment. Je lui fis un "coucou" de la main continuant mon chemin avant d'arrivée devant la fontaine, c'était le centre du parc et il était évidemment que Zéphyr allait me voir. Je tournais en rond, je tapais du pied, je jouais avec mes cheveux voyant arriver le jeune homme une demi-heure après, à l'heure comme toujours. Il m'avait rejoint par surprise à San Diego, et ne m'avait pas reconnu, sur le coup j'étais blessée mais après j'étais totalement retombée en enfance. J'étais toujours amoureuse de lui, mais cette nuit allais chambouler ma vie, mais aussi la tienne. ◖ Zéphyr A-D Oackley▬«Posey ? Qu'est-ce qui se passe ?, je frisonna quand il posa ses lèvres sur les miennes mais je prolongea son action plongeant mon regard dans le tien par la suite. » ◖ Posey-Fÿle A-S. Lockhart▬«C'est important, très importantj'avala ma salive.Il vaux mieux s'asseoir, je pense sinon je risque de te provoquer un accident vasculaire.Je fis comme lui, je me forçai à sourire, je m'assis plaçant ma robe correctement sur mes cuisses, puis je posai ma main sur la tienne le regardant dans les yeux.Voilà, je ne vais pas y aller par quatre chemins, c'est très dur pour moi de te l'avoué Zéphyr... Mais, je suis enceinte de toi... , une larme coula sur mon visage.Oui.. Oui, de toi..Je passa ma main sur mon front, je ne pouvais plus bouger, j'étais comme une statue coulée au sol. Et s'il se levait brusquement en criant scandale? S'il remettait tout sur ma personne? Nous étions totalement saouls ce soir-là, que rien ne m'était venu à l'esprit. Juste une capote, une misérable capote oubliée. Je ne réalisais pas encore ce que j'avais en dans le ventre, ce qui était en train de "pousser" comme une fleur dans mon organisme. Bouche bée, je ne disais rien, je voyais bien dans son regard comme une peur, mais moi aussi j'étais tétanisée.. »
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Dim 13 Mai - 22:26
Arrivé à sa hauteur, je voyais bien à quel point, elle était nerveuse, elle aussi. Étais-ce si grave ? Avais-je fait quelques choses de mal ? Elle plongea, elle aussi son regard dans le mien. Elle essaya de faire bonne figure, un peu comme moi. C'était bien la première fois que je me retrouvais si mal à l'aise face à elle. En dehors de la fois où je ne l'ai pas reconnue en plein milieu de San Diego, le jour de son anniversaire de surcroît. « C'est important, très important. Il vaux mieux s'asseoir, je pense sinon je risque de te provoquer un accident vasculaire. », me dit-elle. Je fronçais les sourcils et m'assieds à ses cotés sur le banc, je sens sa main prendre la mienne. Je la serre, comme pour me convaincre de sa présence, que je ne fais pas un de ces stupides cauchemars qui vous fichent les chocottes. « Je t'écoute », murmurais-je, encore un peu plus inquiet. J'appréhendais tellement de scénario que ce qu'elle m'annonça me laissa pantois quelques secondes. « Voilà, je ne vais pas y aller par quatre chemins, c'est très dur pour moi de te l'avoué Zéphyr... Mais, je suis enceinte de toi... » , me dit-elle. Je crois que sur le coup, je dois fortement ressembler à une carpe, je ne sais pas quoi lui répondre. Je me sens bizarre, j'ai la tête qui tourne comme si elle refusait de prendre en charge les informations données par Posey. Une larme perle sur la joue de la blonde, et par pur réflexe, je la chasse avec ma main. « Oui.. Oui, de toi.. » , répéta t-elle. J'aurais aimé être le premier avril, que tout le monde dans le parc se mette à hurler 'poisson d'avril' mais malheureusement, je sais qu'elle ne ment pas. Elle est totalement bouleversée. Pendant un quart de seconde, j'aimerais lui dire que ce n'était pas possible qu'elle avait dû faire une erreur, que cela ne pouvait pas être mon enfant, qu'elle devait se débrouillée seule. Mais je ne suis pas ainsi, mes parents ne m'ont pas élevé ainsi, je devais assumer mes responsabilités. Nous n'avions pas utiliser de préservatifs, ce soir là ? Quel imbécile ! Je détournais la tête face à son regard, et je me levais précipitamment. J'ai envie de prendre mes jambes à mon cou, m'enfuir en courant, rentrer chez moi et me mettre à hurler du mieux que je le peux pour évacuer le trop plein que je ressens en ce moment même. Pourtant, je ne suis pas seul dans l'histoire, il y a aussi Posey, elle qui porte notre enfant. Notre. Je ne pouvais pas m'imaginer être père, c'était trop irréel. Je passe une main nerveuse dans mes cheveux, et me retourne vers elle. Elle a l'air aussi perdue que moi. Comme un idiot, je fixe son ventre. Mais je ne distingue rien. « Je … je. Posey, je peux pas devenir père, même toi … Je veux dire on est trop jeune ! », est la seule phrase que je parvienne à faire sortir de ma bouche. Je suis sûr que ce n'est pas ce qu'elle souhaite entendre, mais je ne peux pas me dire que je vais avoir un enfant, je n'ai même pas fini mes études, elle non plus. Ce n'est certes pas l'argent qui manque, mais quand même. Un enfant, c'est une responsabilité, et quand on en a un, on y réfléchi ! J'inspire doucement, et revient vers elle, m'accroupissant en face de Posey, posant à mon tour mes mains sur les siennes. « Ce n'est pas que je ne veux pas d'un enfant avec toi. Mais … je … je ne suis pas prêt ! », soufflais-je.
Invité
Invité
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Dim 13 Mai - 22:45
Zéphyr A-D. Oackley Réservé
Je pris mon courage à deux mains, il était temps de lui dire. De lui annoncer qu’un fœtus était en train de se développer en moi, je ne pouvais lui cacher éternellement car il finirait bien par le découvrir tôt ou tard, un jour ou l'autre. Rapidement, j’ouvris ma bouche laissant parler mon cœur, mon âme nerveuse je lui annonçai que j’étais enceinte puis une larme coula sur mon visage. Zéphyr prononça quelques paroles. ◖ Zéphyr A-D Oackley▬«Posey ? Qu'est-ce qui se passe ? Ce n'est pas que je ne veux pas d'un enfant avec toi. Mais … je … je ne suis pas prêt ! Ce n'est pas que je ne veux pas d'un enfant avec toi. Mais … je … je ne suis pas prêt !» ◖ Posey-Fÿle A-S. Lockhart▬«J'assumerais Zéphyr, je ne veux pas..Je ne veux pas avorter, j’ai tant souffert durant mon enfance, je ne veux pas me retrouvé sur la table à voir la tête d’un humain regardé mon corps et percé.. L’e…L’en..l’enfant, c’est plus fort que moi..Ce que je disais était fouillis mais intérieurement, ce que je pensais. J'avais souffert durant mon enfance, moi-même bébé j'étais née prématurément et j'avais eu la leucémie, je ne voulais pas avorter quitte à assumer cet enfant seul. Non, je ne voulais pas... J'avais peur, je me demandais pourquoi est-ce que je l'avais invité chez moi et pourquoi je l'avais laissé me plaquer au mur. Mais quoi qu'il en soit, le destin y était pour quelque chose, j'en étais certaine. Il posa ses mains sur ses genoux, là devant moi, sur le sol pavé mais je fondis en larmes plaçant ma tête sur ses mains, je tremblais de tout mon corps. Zéphyr ne m'avait jamais abandonné, je ne voulais pas qu'il m’abandonne car j'étais enceinte, c'était lâche. Non, je ne voulais pas le perdre, j'avais un coeur de pierre, je n'avais jamais eu ce genre de sentiment pour un homme. Cet homme c'était le mien, c'était le bon, j'en étais certaine et persuadée. Une preuve qu'il ne saurait pas assumer, mais au fond de moi j'étais persuadée qu'il s'en rendrait compte et qu'il reviendrait sur ses mots, sur ses paroles qui me déchirent le coeur. J'aurais tellement aimé qu'il me prenne dans ses bras en me disant qu'il était heureux et que cet enfant la chose qu'il désirait plus que tout au monde, qu'il m'aimait et qu'il ne regrettait en rien la nuit où je lui avais offert mon corps. Pour la première fois j'avais découvert un autre corps que le mien, j'avais réussi à gérer mes sentiments ainsi que mes émotions. Les larmes coulaient encore et encore, j'avais peur de l'avenir, peur de la vie à nouveau.. Térorisée j'avais l'impression d'être un brin de sable. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu un coup de blues, de pleurs, de stress. Je mourais d'envie de l'embrasser, mais j'avais peur qu'il me repousse. Je sécha mes larmes du mieux que je pouvais.. Sans rien dire. Je ne pouvais pas m'enfuir comme lui, car moi contrairement aux homes j'avais un enfant dans le ventre.. Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer et la terre peut bien s'écrouler.Peu importe si tu m'aimes je me fous du monde entier. Tant qu'l'amour inondera mes matins, tant que mon corps frémira sous tes mains.. Peu m´importent les problèmes, mon amour puisque tu m'aimes..Pourquoi avais-je chanté la chanson L'hymne à l'amour d'Édith Piaf? Ou du moins un morceau? Car elle reflétait parfaitement la situation, je passai ma main sur mon ventre la laissant posée par-dessus ma robe. Et si il me demandait de choisir entre lui et l'enfant? Je ne saurais quoi répondre, je ne savais plus en j'en était. Je passa mon bras sur mes joues pour enlever les larmes alors que les passants s'attardaient sur nous, ils nous regardaient. J'avais l'impression d'être Juliette face à Roméo, MON Roméo. Je me sentais prête, bien que cela ai été ma première fois, je pensais avoir l'âge mais aussi la maturité suffisante pour donné la vie. »
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Lun 14 Mai - 9:34
Elle m'avait annoncé cela, comme ça. Sans aucun détour. Mais après tout, qu'est-ce que cela aurait-il changé ? Le fait est, elle restait toujours enceinte et j'étais toujours le père de ce bébé, même si elle avait tourné autour du pot. Je reconnais que je me suis montré un peu dur. Mais comment pouvais-je réagir ? Je l'avais de retrouvé, voilà quelques semaines que nous étions un couple et notre premier rapport nous apporte un enfant ! Franchement, c'est clair que j'aurais du lui dire, que on ne pouvais pas rêver mieux. Qu'un enfant serait un parfait aboutissement de notre couple et que j'étais heureux d'être le père de ce petit être. Mais, je n'y arrivais pas. J'avais comme une sorte de bug. Je ne lui parlais pas de l'avortement, même si l'idée m'effleura l'esprit je la chassais sans vergogne. Je n'avais pas le droit de demander cela, ni même arracher la vie du bébé qui était en elle. J'en étais en partie responsable. « J'assumerais Zéphyr, je ne veux pas..Je ne veux pas avorter, j’ai tant souffert durant mon enfance, je ne veux pas me retrouvé sur la table à voir la tête d’un humain regardé mon corps et percé.. L’e…L’en..l’enfant, c’est plus fort que moi.. » , bégailla t-elle. J'avalais difficilement ma salive, touché par ses paroles. Retenant à grand peine, mes larmes à mon tour, alors qu'elle posa son visage sur mes mains, tremblante. Je dégageais alors une de mes mains, caressant ses cheveux, embrassant le sommet de son crâne. La voir ainsi, me fendait le cœur. Alors, elle releva doucement la tête, séchant ses larmes et je capturais ses mains entre les miennes, avant de plongeais mon regard dans le sien. « Chut, calme-toi. Je .. j'ai toujours été là pour toi. Je peux pas de te laisser comme ça, alors que je suis en parti responsable. Mais … je ne suis pas prêt. » , soupirais-je en libérant une de mes mains et en essuyant les dernières larmes restées sur ses joues. Je revins ensuite m'assoir à ses côtés, enroulant mon bras autour de ses épaules, l'attirant à moi. J'angoissais à l'idée de l'arrivé de ce bébé, je ne me voyais pas l'accompagner à chaque échographie, faire face aux humeurs de femme enceinte, assister aux séances de pré-accouchement, préparer la chambre, et mettre mes études en mode pause ! Toutes ces responsabilités qui allaient de pair avec un enfant. Ce n'était pas seulement cela, j'avais peur de ne pas être à la hauteur, finir par abandonner mon rôle au bout d'un certain temps. Mais, un enfant n'était pas une poupée que l'on met dans un placard, une fois que l'on n'en veut plus. Je ne voulais pas me comporter comme un lâche, après tout Posey avait vécu tellement pire que moi, dans sa vie. Elle avait vaincu sa maladie et avait quand même continué à croquer la vie à pleines dents ! Ce ne serait pas juste envers elle, de la laisser seule alors que je n'avais même pas été capable de penser à me protéger. « J'aimerais tellement te dire, que je suis l'homme le plus heureux du monde. Que je suis comblé. Mais, on a pas terminé nos études, on n'a même pas été préparé à l'idée d'avoir un enfant ! Je déteste de voir dans cet état, et tout ça à cause de moi … » , soufflais-je. Je n'arrivais pas à mettre correctement des mots, sur ce que je ressentais. C'était brouillon et flou, mais je ne pouvais pas mieux m'exprimer et j'espérais qu'elle me comprendrais comme elle l'avait toujours fait.
Invité
Invité
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Lun 14 Mai - 10:32
Zéphyr A-D. Oackley Réservé
◖ Zéphyr A-D Oackley▬«Chut, calme-toi. Je .. j'ai toujours été là pour toi. Je peux pas de te laisser comme ça, alors que je suis en parti responsable. Mais … je ne suis pas prêt. J'aimerais tellement te dire, que je suis l'homme le plus heureux du monde. Que je suis comblé. Mais, on a pas terminé nos études, on n'a même pas été préparé à l'idée d'avoir un enfant ! Je déteste de voir dans cet état, et tout ça à cause de moi … » ◖ Posey-Fÿle A-S. Lockhart▬«Non ce n'est pas ta faute... Cet enfant il est aussi bien à moi qu'à toi, nous sommes tous les deux responsables Zéphyr. Il n'est pas seulement de toi, il est aussi à moi, il ne faut pas que tu te sentes coupable de quoi que ce soit. Je n'aurais pas prévu de t'offrir ma virginité ou même que tu finisses dans mon lit même si jamais, jamais ne n'oublierais cette nuit. Je repris ma salive l'avalantJ'ai mon diplôme de droit, c'était mon but en venant ici, je vais continué les études de langue encore quelques mois..Je me sentis bien quand il se cola contre moi, j’étais blottie entre ses bras, comme quand nous nous sommes échangé notre premier baiser à l’âge de quinze ans pour la première fois. C’était une sensation magique, un épanouissement, un premier pas vers l’amour mais aussi vers une histoire d’amour. J’étais heureuse d’être avec lui-même si j’étais secouée d’être enceinte mais de le voir dans un tel état me faisait mal. Il m’avait tellement soutenu et il avait été un vrai soutien moral, c’était mon confident, mon ami le plus cher et même encore maintenant. Il n'avait une place très importante jamais je ne pourrais l’oublier, jamais je n’oublierais ce qu’il a fait pour moi, comme par exemple sa fidélité après notre promesse sincère. Je ne me voyais pas vraiment en réfléchissant rapidement avorter, je ne me voyais pas enlever la vie, détruire une vie à un être qui n’avait rien demandé. Un être irresponsable dans la vie qui l’attend, je savais que la grossesse était une épreuve aussi dure pour la mère que pour le père. C’était une épreuve complexe, l’on devait toujours être là pour ses enfants, pour les devoirs, pour les questions qui fâchent et qui blessent intérieurement. C’est comme une rayure sur l’adolescence, un passage à une vie d’adulte lorsque l’on donne la vie et je suis prête à tirer une croix sur mes occupations telles que les études. Zéphyr et moi venions d’un milieu plutôt aisé avec des familles blindées de tunes mais j’avais réussi à gérer mon compte en banque et mon argent pour ne pas tomber dans le gouffre de l’endettement comme beaucoup de gens de nos jours. Je ne m’inquiétais pas particulièrement de la situation financière car je savais combien se dépensais et que tout était répertorié sur un cahier des comptes que je tenais à jour régulièrement en gardant des traces de mes achats et ventes. Mais je comprenais totalement sa peur à l'idée de devenir un jour père, je savais de toute façon que je pourrais compter sur lui. Je séchai mes larmes reprenant mes esprits peu à peu, mon rythme cardiaque redevint normal je déposai même avec hésitation un rapide baiser sur ses lèvres pulpeuses. Il était beau, sympathique, c'était le seul homme avec qui je me sentais bien, en un regard il me comprenait et inversement. Notre relation était comme des jumeaux qui finissent leur phrase sans avoir prémédité leur acte, nous étions comme "unis". Je posai ma tête contre son épaule, ma main derrière son dos je fis attention de ne pas tomber dans l'eau de la fontaine j'étais méfiante auquel cas il me ferait une blague pour détendre l’atmosphère. Par taquinerie. Je respirai profondément inspirant l'oxygène qui remplit mes poumons puis j'expirai.Zéphyr, je t'aime.. Au plus profond de moi, tu me hantes jours et nuits.Voilà c'était dit, j'avais eu un trop-plein d'émotions et j'avais besoin de me "libérer". Les gens s'étaient dispersés autour de nous, moins présents. Moins attentionné à un "simple-couple" en pleine discutait, qui parlait dans un lieu public tout simplement. Je voulais retrouver le sourire, je voulais retrouver la joie d'il y a quelques jours sans que je ne sache encore ma grossesse... Je grattais son dos avec le bout de mes doigts délicatement, j'avais l'impression d'être en période de guerre ou la séparation entre un époux et sa femme et si délicate, à prendre avec des pincettes. Mes cheveux tombaient sur mes épaules, je chantais "Ce rêve bleu" d'une voix douce et rassurante à Zéphyr. J'avais toujours eu un "don" en chant qui rassurait mes proches ou tout du moins les apaisaient... »
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Lun 14 Mai - 13:48
« Non ce n'est pas ta faute ... Cet enfant il est aussi bien à moi qu'à toi, nous sommes tous les deux responsables Zéphyr. Il n'est pas seulement de toi, il est aussi à moi, il ne faut pas que tu te sentes coupable de quoi que ce soit. Je n'aurais pas prévu de t'offrir ma virginité ou même que tu finisses dans mon lit même si jamais, jamais ne n'oublierais cette nuit. J'ai mon diplôme de droit, c'était mon but en venant ici, je vais continué les études de langue encore quelques mois. », me dit-elle. Je la sentais se blottir contre moi, et je savais bien que je ne partagerais jamais quelque chose d'aussi fort avec une autre. Quand bien même, je ne lui avais pas fait cette promesse, de ne jamais l'oublier, ne jamais la remplacer … Elle resterais la seule et l'unique. J'aurais aimé être comme mon père à l'annonce de la grossesse de ma mère. Elle me l'avait raconté des millions de fois au moins … Il était fou de bonheur, et avait appelé toute la famille à une vitesse folle. Et moi, là, je ne me voyais pas prendre mon portable et leur annonça en sautant de joie que j'allais être papa. Je n'étais pas tout prêt. J'avais l'impression que ce refrain ne cesser de tourner en boucle dans ma tête, alors que Posey était abattue tout contre moi. J'emprisonnais doucement son menton entre mes doigts et plongeais mon regard dans le sien. « Posey, jamais je n'oublierais cette nuit, et je ne la regretterais pas non plus. Même si elle a de grosses répercussions sur nos vies. », lui soufflais-je, essayant de lui sourire. Quand bien même, je ne me voyais pas partir sans me retourner et la laisser en cloque de moi, ici seule à San Diego. J'avais toujours été proche d'elle et toutes les années où nous avions été séparés, j'avais eu une sorte de vide dans mon cœur, jusqu'à ce que je la retrouve. Et jamais, au grand jamais, je ne voudrais encore connaître cette sensation bien trop désagréable. Elle déposa, hésitante, un baiser aussi furtif et éphémère qu'un papillon. Je voulu lui répondre, mais ses lèvres avaient déjà quitté les miennes. J'avais senti son hésitation, avait-elle un doute sur les sentiments que je ressentais à son égard ? Sa tête sur mon épaule, mon bras toujours sur la sienne, je posais ma joue sur le sommet de son crâne, le regard dans le vague. Ainsi assis, au bord de la fontaine, nous pourrions aisément passer pour un couple passant un moment calme à deux, pourtant, c'était la tempête dans ma tête blonde. Sa main derrière mon dos, je l'entendis inspirais et expirais. Je relevais la tête pour la fixer. « Zéphyr, je t'aime... Au plus profond de moi, tu me hantes jours et nuits. », me déclara t-elle, d'une traite. Nous ne nous l'étions jamais vraiment dit, c'était pourtant implicite, mais cette déclaration provoqua une crampe dans mon estomac. Non, pas que cela me déplaise, mais j'avais l'impression qu'elle avait besoin de se rassurer sur mes sentiments, comme si je ne lui démontrais pas assez, comme si l'annonce de sa grossesse avait changé quoi que ce soit dans mon cœur. Elle commença à caresser mon dos, du bout des doigts et je gardais mes yeux dans les siens, avant de capturer ses lèvres dans un baiser plus long que celui qu'elle m'avait offert, quelques instants plus tôt. Caressant sa joue, je me reculais doucement, posant mon front contre le sien. « Posey, je t'aime aussi. Quand bien même, je ne suis pas prêt pour ce bébé, cela ne changera pas les sentiments que j'ai pour toi ! », soufflais-je. Et alors, je l'entendis commençait à chanter, « ce rêve bleu », et j'eus un sourire. Elle voulait m'apaiser, et je me laissais aller en écoutant sa voix, fermant les yeux pour apprécier sa voix pendant quelques instants.
Invité
Invité
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Lun 14 Mai - 14:09
Zéphyr A-D. Oackley Réservé
◖ Zéphyr A-D Oackley▬«Posey, jamais je n'oublierais cette nuit, et je ne la regretterais pas non plus. Même si elle a de grosses répercussions sur nos vies. Posey, je t'aime aussi. Quand bien même, je ne suis pas prêt pour ce bébé, cela ne changera pas les sentiments que j'ai pour toi !Je comprenais totalement qu'il n'était pas prêt pour accueillir cet enfant, mais il y restait du temps pour réfléchir.. Mais pour moi, c'était clair je voulais le garder et je le garderais. » ◖ Posey-Fÿle A-S. Lockhart▬«Je sais, je sais.. Mais je ne veux en rien que ce foetus ne nous sépare, tu es trop important à mes yeux... Je crois que sans toi, tout irait de travers depuis que je connais et je pense que tu l'as déjà remarqué j'ai un autre style de vie... Je suis heureuse, épanouie...Il était normal que je ne m'inquiète de l'avenir surtout que les révélations que nous étions en train de nous faire état faites dans un contexte bizarre. Je venais de lui annoncer ma grossesse et nous partions sur un sujet sensible : l'amour. Ho oui l'amour, je ne voulais en rien au plus profond de moi que cet enfant nous sépare. J'étais perdue, tout cela était trop en une fois. Je voulais qu'il reste auprès de moi, puis Zéphyr déposa un baiser sur mes lèvres, surprise je le prolongeai par réflexe mais aussi par preuve d'amour. Amour quand tu nous tiens... Je ferai tout et n'importe quoi pour rester avec lui, jusqu'à décrocher la lune si cela était possible malheureusement cela est irréaliste... J'avais l'impression de trop rêver, de trop croire, en les autres. Mais j'étais confiante pour une fois avec Zéphyr. Très confiante même. Mon estomac était toujours noué, je me sentais en sécurité entre ses bras. J'étais comme dans un papillon dans un cocon, un cocon confortable... Il fallait maintenant que je parle du sujet fâcheux. Celui des consultations médicales car oui je devais surveiller ma grossesse, je devais être à peine quelques semaines ou peut-être même un mois, je n'en savais trop rien. Je chantai un morceau de la chanson "Ce rêve bleu" de la série télévisée pour enfants "Aladdin", j'étais accro quand j'étais enfant. J'avais gardé cette chanson en mémoire durant tant de temps, c'était comme une berceuse pour détendre "l'ambiance".Il faudrait sans doute que je prenne un rendez-vous chez mon gynéco, je baissa la voix timide. Je tremblotais à moitié. J'avais froid bien que j'ai un manteau sur le dos cela devait être à cause de la nervosité ou même un coup de fatigue.Merci d'être venu Zéphyr.Je savais qu'il avait sans doute trouver un prétexte pour quitter le cabinet d'avocats dans lequel il travaillait.Je t'en suis reconnaissante.. Reconnaissante pour tout le bien, le bonheur que tu m'apportes m'Amour. M'Amour.. C'était son surnom, ou bien encore Zéph, mon Blonde, mon Homme, mon Bouchon, mon Ange, ma Perle en bref il y en avait beaucoup. Je déposa un nouveau baiser sur ses lèvres, puis je retira ma main derrière son dos car je commençais à avoir des fourmillements pour la mettre sur ma cuisse. Mon autre main se trouvait sur mon ventre, je ne m’étendais bien évidement pas à sentir l'enfant bougé car il ne devait pas encore être formé. Je voulais attendre avant de divulguer la nouvelle, si l'on pouvait appeler cela une nouvelle, je voulais que présentement cela reste entre nous. Juste lui et moi. Ça te dis que l'on bouge, que l'on aille déjeuner un petit truc ou même que l'on se balade?J'avais envie de bouger, de me balader ma main dans la tienne en amoureux. Je lui esquissa un regard me dégageant de ses bras pour plonger son regard dans le mien, tendrement je passa ma main sur sa joue collant mon front au tien lui faisant des "bisous esquimaux" à l'aide de mon petit nez. Je passa mon autre main rapidement sur sa chute de rein délicatement, sensuellement avec douceur. J'étais folle. Follement amoureuse. Et je pense que cela se voyait. C'était flagrant, pour rien au monde je ne le laisserais tombé pour un autre ou sur un coup de tête. »
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Lun 14 Mai - 20:32
« Je sais, je sais.. Mais je ne veux en rien que ce fœtus ne nous sépare, tu es trop important à mes yeux... Je crois que sans toi, tout irait de travers depuis que je te connais et je pense que tu l'as déjà remarqué, j'ai un autre style de vie... Je suis heureuse, épanouie... », me dit-elle, doucement. Je sentais sa détresse et à quel point, elle était perdue. J'avais envie de la serrer contre moi, jusqu'à ce que nous ne fassions plus qu'un, mais je me retenais. A place, je déposais mes lèvres contre les siennes dans un baiser. Baiser qu'elle prolongea, sa peau contre la mienne, me fit frissonner et fus heureux qu'elle me renvoie ce que je lui avait déclaré par ce baiser. Son front contre le mien, je la regardais dans les yeux, comme si nous nous comprenions sans rien avoir à nous dire, ce qui était souvent le cas. Je lui souris doucement, secouant la tête pour lui signifier que ce bébé n'allait en rien nous séparer. Du moins, je voulais m'en convaincre. M'en convaincre pour pouvoir être un bon père, assumer cet enfant, et encore la rendre heureuse pendant un petit bout de temps … « Il faudrait sans doute que je prenne un rendez-vous chez mon gynéco », m'annonça t-elle, d'une voix timide, comme si elle avait peur de m'avouer cela. Et un air sérieux se peignit sur mon visage, je l'écoutais attentivement. Je caressais ensuite sa joue, tendrement, pour la rassurée. Après tout, c'était un passage obligatoire pour toutes femmes enceintes, et Posey était bien décidée à le garder, ce bébé. Du coup, il allait falloir que l'on suive cette grossesse de prés. « Sans doute. Je veux dire … je suis nul trop les trucs comme ça donc... », avouais-je, d'un air penaud. Malgré son manteau qui couvrait ses épaules, elle semblait avoir froid et je pris ma veste, la déposant autour d'elle, laissant mon bras l'encercler et la serrer contre moi. « Merci d'être venu Zéphyr. Je t'en suis reconnaissante.. Reconnaissante pour tout le bien, le bonheur que tu m'apportes m'Amour. », me dit-elle, doucement. Un sourire se peignit sur mon visage et ses lèvres rencontrèrent de nouveau les miennes, à mon plus grand bonheur. Une fois nos visage séparés, je repris la parole.« Et moi, je suis le plus heureux, que tu sois encore à mes côtés après toutes ces années, mon ange. », lui répondis-je avec sincérité. Je vis alors sa main sur son ventre et j'entendis vaguement ce qu'elle me demandais par la suite. Je sentis qu'elle se dégageait de mon étreinte et son regard rencontra le mien, une nouvelle fois. Cette fois, ce fut son nez qui rencontra le mien dans un baiser-esquimau. J'eus un rire. Sa main au creux de mon dos, l'autre sur ma joue, son front contre le mien et son sourire radieux, me bouleversa. J'avais envie de rester là, pendant encore une éternité. « Hm ? Oui, oui. Ce que tu voudras !», commençais-je alors que mon regard se porta de nouveau sur son ventre. Je ne voyais pas grand chose, le tissu cachant son ventre et je savais bien qu'il était encore trop tôt pour apercevoir ou sentir quoi que ce soit, venant du bébé. Cependant, j'étais pris d'une envie soudain et irrépressible. Je ne lui demandais même pas la permission ni rien et glissais ma main sur son ventre, sous la siennne.
Invité
Invité
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Lun 14 Mai - 21:02
Zéphyr A-D. Oackley Réservé
◖ Zéphyr A-D Oackley▬«Sans doute. Je veux dire … je suis nul trop les trucs comme ça donc... Et moi, je suis le plus heureux, que tu sois encore à mes côtés après toutes ces années, mon ange. Hm ? Oui, oui. Ce que tu voudras !Je lui esquissai un sourire, je lui annonçai donc ensuite que je devais prendre un rendez-vous à l’hôpital et donc chez le gynécologue pour faire une échographie de contrôle mais aussi pour définir le sexe de l’enfant que je portais. Je posais ma main sur mon ventre tandis que Zéphyr enleva sa veste pour la poser sur mes épaules délicatement, le cuir frôla ma peau j’étais bien. Je sentais son odeur si agréable, l’odeur de son parfum. Parfum que je lui avais d’ailleurs offert il y a quelques jours. J’étais très heureuse d’être là, ici avec lui blottie. Je savais qu’entre ses bras j’étais en sécurité, j’étais comme dans mon cocon. » ◖ Posey-Fÿle A-S. Lockhart▬«Je suis persuadée que.. je fis une pause dans ma phrase.Que tu seras un bon père, tu es très doué.. Et puis, tu sais cela s'apprend au fur et à mesure. C'est un peux comme faire du vélo, tu tombes et tu remontes dessus, pareil quand tu apprends à marché. Ce sont des étapes.La paternité ainsi que la maternité était des choses qui s'apprennent, il y a des cours pour l'accouchement mais aussi des initiations avec des poupons à la maternité, personnellement, je n'avais pas peur. Pour l'instant. J'étais persuadée que Zéphyr était un homme responsable, je n'avais pas peur de lui; je savais qu'il m'aimait et inversement. Nos sentiments étaient partagés.Oui, je suis heureuse moi aussi.. Depuis mes quinze ans, le jour de mon premier baiser je suis amoureuse. Amoureuse d'un homme extraordinaire.Je souriais, souriais beaucoup, mon visage était heureux, j'avais retrouvé mon magnifique visage angélique, mes cheveux blonds tombaient sur mes épaules juste au dessus de la veste en cuir noir de mon compagnon. Je cola mon front contre le tien, mon nez au tien c'était un réel plaisir. Je crois que je n'avais jamais vu ses magnifiques yeux d'aussi près, j'étais ravie. Je posai ma main sur mon ventre, Zéphyr passa la tienne sous la mienne, je le sentis gêner. Mais je ne dis rien, j'étais heureuse qu'il ait fait ce geste cela m'avait rassuré intérieurement. Je savais très bien que présentement nous ne pouvions rien sentir ou alors juste entendre un petit battement de coeur avec un Doppler ou en collant l'oreille contre mon ventre encore à sa taille "normale". De mon autre main, je caressa son dos. J'étais bien, sur le bord de la fontaine à ressentir les gouttelettes d'eau tombées légèrement sur mon crâne en petit dose, et sur le reste de mon corps.J'ai ma petite idée..Je savais qu'il aimait les carrousels et j'avais bien envie d'en faire un tour, là maintenant tout de suite sur un cheval de bois. J'avais cette âme d'enfant en moi, mais bien évidemment, je restai bouche bée je ne voulais pas lui gâcher la surprise.Je suis malgré tout heureuse d'avoir un enfant de toi Zéphyr..Je ne savais pas si il partageait mon avis ou non. Je remonta ma main de son dos qui passa dans sa nuque, puis je la passa dans ses cheveux blonds les caressant du bouts des doigts tout en les enroulant.Tu vas sans doute avoir des noeuds, mais tu viendras à la maison pour les démêler Dis-je d'une petite voix douce et sensuelle à la fois lui susurrant des mots d'amour à l'oreille, j'avais envie de le charmer. Je me mordilla la lèvre inférieure.J'aime comment sur passe ta main sur mon ventre, tes caresses délicates.. Comme la première fois.. Toute première fois..Nous étions les seuls au bord de la fontaine, un pigeon passa au ras de mon crâne, surprise je sursauta par reflexe sur place tombant dans l'eau entraînant dans ma chute Zéphyr. Je pouffai un rire, éclatant ensuite qui devait retentir dans tout le parc, j'étais trempée mais qu'importe. Le bassin n'était pas profond, heureusement la veste était tombée à temps sur le sol ainsi que nos portables, sacs et/ou sacoche. Je passai ma main sur le visage du jeune homme le plaquant contre le sol de la fontaine, je me mis à "califourchon" sur lui déposant plusieurs baisers fougueux et passionnés sur ses lèvres. Mes mains était sur son ventre, il était totalement bloqué sous moi mais personne ne s'était rendu compte de la scène qui venait de se passée, pour l'instant. L'eau était claire, propre, j'étais trempée et lui aussi mais qu'importe, j'étais bien là avec lui et cette situation présente ne me gênait en rien. »
Mise en page par Honney-Floop.
Invité
Invité
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Mar 15 Mai - 14:08
« Je suis persuadée que... Que tu seras un bon père, tu es très doué... Et puis, tu sais cela s'apprend au fur et à mesure. C'est un peux comme faire du vélo, tu tombes et tu remontes dessus, pareil quand tu apprends à marcher. Ce sont des étapes. », me dit-elle, pour me rassurer et faire taire les doutes qui m'assaillent sur ma paternité. Je lui souris en retour, pas vraiment capable de lui répondre. Si je le faisais, cela aurait été pour répéter ce que j'avais déjà dit, ce n'était donc pas utile. « Oui, je suis heureuse moi aussi. Depuis mes quinze ans, le jour de mon premier baiser je suis amoureuse. Amoureuse d'un homme extraordinaire. », déclara t-elle, le visage rayonnant. J'aime tellement la voir ainsi, la rendre heureuse, malgré toutes les épreuves qu'elle a du traverser … Le compliment me toucha au plus profond de mon cœur, son front et son nez coller contre les miens, j'étais un homme heureux moi aussi, comme si nous retrouvions dans ce moment de prise de responsabilité, un peu de notre innocence et de notre adolescence à présent, passées. J'avais trouvé le courage de passer une main sur son ventre, un peu comme pour me rapprocher d'elle, encore un peu. Mais aussi, du bébé, notre futur enfant. « J'ai ma petite idée.. », dit-elle mystérieuse, vis à vis de son envie de balade et de bouger. J'arquais un sourcil interrogatif, mais elle ne dit rien de plus, restant dans son mutisme et son envie de surprise. « Je suis malgré tout heureuse d'avoir un enfant de toi Zéphyr.. », enchaina t-elle et je sentis sa main remonter le long de mon dos pour s'emmêler dans mes cheveux, y entortillant ses doigts. Je déposais un baiser sur le nez de Posey et lui offrit un sourire. « Je ne voudrais pas avoir un bébé avec une autre femme que toi. », lui déclarais-je complétement sincère dans mes paroles. Tout comme il m'avait été hors de question de m'intéresser à d'autre femme que mon ange blond, je ne me voyais pas du tout père d'un enfant engendré avec une autre. Quand bien même, je n'étais pas prêt pour un enfant, j'étais prêt à rendre Posey heureuse comme je m'évertuais à le faire à chaque fois que j'étais à ses côtés. « Tu vas sans doute avoir des noeuds, mais tu viendras à la maison pour les démêler. J'aime comment sur passe ta main sur mon ventre, tes caresses délicates.. Comme la première fois.. Toute première fois.. », commença t-elle, d'une suave et sensuelle, murmurant ces mots à mon oreille. J'avalais ma salive, qu'étais-elle entrain de faire, dans un lieu publique qui plu est ? Loin de me déplaire, au contraire, mais j'étais surpris, et lorsque je la vis se mordre la lèvre, j'eus envie de me jeter sur elle pour l'embrasser avec fougue, mais je n'en n'eus pas le temps, quelques secondes plus tard, j'atterrissais dans l'eau de la fontaine. Complétement trempé, je l'entendais rire à plein poumons et je ne tardais pas à la suivre. « Avoue t'en a fait exprès ! Tu voulais voir ma chemise devenir transparente n'est ce pas ? », me moquais-je. Quelques instants plus tard, ses mains sur moi, ses lèvres parcourant les miennes de baisers langoureux. Et elle a califourchon sur moi, et moi plaqua sur le fond de la fontaine.Passant ma main libre, sur une de ses cuisses, doucement. Je crochetais ensuite sa nuque, l'amenant encore plus à moi, scellant nos lèvres. J'étais dans ma bulle, je ne voulais pas séparer mon corps du sien, et je me fichais des gens autour de nous, car je ne voyais plus leur présence. Il n'y avait que Posey et personne d'autre.
Invité
Invité
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. » Mar 15 Mai - 17:50
Zéphyr A-D. Oackley Réservé
◖ Zéphyr A-D Oackley▬«Je ne voudrais pas avoir un bébé avec une autre femme que toi. Avoue t'en a fait exprès ! Tu voulais voir ma chemise devenir transparente n'est ce pas ? Je lui esquissa un sourire à sa première remarque, une preuve d'amour, un compliment qui me faisait chaud au coeur. » ◖ Posey-Fÿle A-S. Lockhart▬«La même, je ne verrais jamais la vie sans toi.. je fis une pause dans ma phrase.Je suis tellement ravie, heureuse d'être ici, là avec toi mon n'amour, je me sens bien au creux de toi, contre toi. Cet enfant, n'était pas forcement programmé, mais je le veux.. Maintenant avec toi...Je poussa un soupire fermant les yeux, mais en les ré-ouvrant, je poussai un soupiré fermant les yeux, mais en les rouvrant, un pigeon me passa par-dessus le crâne, de peur je sursautai et basculai dans l’eau, dans la fontaine avec Zéphyr. Par « reflexe », j’avais réussi à enlever la veste, tout du moins cette dernière était tombée sur le sol tout comme nos sacs, sacoches ainsi que portables et autres objets que nous avions sans cesse sur nous. Je poussai un rire, un rire fort, je passai mes mains sur les épaules de Zéphyr l’obligeant à se coucher au fond de la fontaine. Je passai ma main sur sa joue, l’autre se trouvait sur son torse et parcourait sa chute de rein, et j’embrassai ses lèvres avec passion. J’étais comblée, j’étais heureuse. Même si nous étions mouillés je m’en fichais totalement, ma robe irait à la machine et mes chaussures chez le cordonnier, cela n’était que des biens matériels et non vitaux.Oui mon enfant, pour mieux voir ton corps de rêve..Moi ma robe était devenue transparente mais je m’en fichais royalement, j’étais avachi sur lui j’avais le dessus. Je passai ma main sous sa chemise lui grattant le ventre lui faisant des sourires angéliques et coquins, je savais le charmer à ma façon, comme il l’aimait. Je plongeai mon regard dans le tien. Lorsque nous étions tombés, il avait sa main sur son ventre, et nous étions là ; maintenant dans l’eau de la fontaine du parc de San-Diego. Je me fichais totalement du regard des autres, de ce qu’ils pouvaient dire sur la scène qui se passait actuellement. Dans ma bulle, avec lui. Je bougeai d’environ un centimètre, plaçant mon ventre sur le tien déposant quelques baisers volés sur ses lèvres mais aussi dans son cou. J’avais les cheveux qui dégoulinaient d’eau, mais d’un autre côté c’était une situation que j’aimais.J'aurais envie de resté ici avec toi jusqu'à la fin des temps..Mais malheureusement cela était impossible, car le temps prenait toujours le dessus sur la vie et sur les évènements. C'était bien dommage, il y a certaines situations que l'on aimerait certaines fois revivre plusieurs fois et d'autres que l'on aimerait passer, zappé ou même annulées.Dis moi, tu n'as jamais fais l'amour dans l'eau ?Je lui fis un sourire en coin, passant ma main sur son entre-jambe sensuellement toujours sur lui. »
HJ : C'est nul, excuse moi --"
Mise en page par Honney-Floop.
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. »
Zéphyr • « L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en veut, tout l'monde en manque. L'amour, l'amour, l'amour, l'amour, Tout l'monde en parle, l'amour nous hante. »