« Papa papa, elle est où maman ? » Le père posait son regard sur son fils et le penait dans ses bras, comment lui annoncé que sa mère n’allait plus jamais traversé le seuil de cette porte? Qu’elle les avaient abandonnés tous les deux, il ne pouvait pas lui dire non, pas a un garçon aussi innocent qu’était Adrian à cet époque. Ces gros yeux noisettes qui s’écarquillait au moindre fait et geste étranges. « Elle va revenir ne t’inquiète…elle reviendra. » L’enfant qui se demandait pour son père était si attendrissant, colla sa tête dans le creux du cou de son père. « Je l’espère car j’ai fais un jolie dessin. » le père déposait
un baiser sur le front de son fils et lui sourit « Montre moi ce dessin. »
Le père déposait son fils au sol qui s’empressait d’aller chercher son chef d’œuvre, il pointait du doigts les trois personnage, les présentant chacun a leurs tours, puis il montrait la belle maison où ils allaient vivre, le futur chien qu’il appellerait lui-même « Gilmour » et la belle voiture. « Alors là c’est maman, là c’est toi qui lui tien la main et qui lui jette pleins de ptits cœur et là c’est moi avec mon futur chien. » Adrian faisait en sorte que son père suive les indications qu’il lui donnait, puis ce dernier ce mit a pleurer, Adrian quitte alors sa chaise pour venir voir son père « Papa tu as mal au cœur? » Le père engouffre son visage dans ses mains. « Non c’est rien mon bonhomme ne t’inquiète pas. Continues je t‘écoute» L’enfant regarde son père avec de gros yeux et fronça les sourcille. « Si tu veux je te donne le dessin, j’en ferrais un autre a maman… » Il prenait la feuille de dessin et la tendait à son père, qu’il l'a prenait et posait sa main sur la tête de son fils. «  Merci, mon bonhomme. » le père avait installé son fils sur ses genoux pour le serrer dans bras. « Papa faut pas pleurer…C’est juste un dessin. » Adrian avait six an quand sa mère avait décider de se rendre compte que son rôle de mère était trop lourd a porté, elle voulait resté la belle femme qu’elle était. Le père d'Adrian avait été trop naïf à ce sujet-là, croyant qu’elle allait rester pour lui et leur fils, c’était faux rien qu’un rêve qui venait de prendre fin. Le père avait tout pour séduire une femme, de l'argent un bon diplômé et une renommé dans son métier de psychologue. Ce n'était pas suffisant pour la retenir.


Étendu sur son lit, les yeux rivés sur un point invisible le jeune Goodwin rêvait à une autre vie pourtant, il n'avait pas de quoi se plaindre, il n'y avait cas regarder où il logeait, comment il vivait, comment il s'habillait: Adrian ne manquait de rien juste la force de rester à un endroit. Il ne se sentait pas chez lui, ce qui expliquait ces vas et viens entre soirées et alcool, entre lits inconnus et lit déjà rencontré. Même s'il dit d'un verre qu'il est à moitié plein et non vide, il n'a jamais eu cette optimisme d'avoir la force de se poser et d'aimer quelqu'un. Son père grand psychologue lui alors dit que c'était dû à un manque d'amour maternelle, Adrian n'ira jamais le contredire questions psychologies. Il a toujours voulu bouger sans être jamais fatiguée. Adrian n'est alors pas fait pour vivre dans une petite ville, de vivre une vie normale. Il en a visité des pays et des villes, et il se voit toujours en train voyager dans n'importe quel pays, sans se soucier de personne seulement de lui même.
Il avait juste quelquefois besoin de se reposer et de rester un plus longtemps que prévu dans la ville choisie. Comme New-York, lui qui avait décidé d'y rester quelques jours, le voilà dans cette ville qui ne dort jamais depuis quelques mois. Cette ville à su le captiver assez longtemps pour qu'il reste et pendant un bout de temps. Cette ville l'épuise et l'apaise à la fois comme une douce caresse elle le captive par sa beauté et ses secrets effrayant, c'est pour cela qu'elle est si jolie. Elle l'a emprisonnée de ses longues mains crochus aux doigts vernis de rouge.

- « Dring dring. »

Secouant la tête, le jeune brun sortait de ses rêveries, baladant ses doigts dans ses cheveux afin d'atteindre l'endroit qui le démangeait. Il se relevait de sa positon allongée pour aller à la rencontre de ce bruit. Quel heure est-il pour qu'une personne sonne à sa porte?
Il posait les yeux sur la pendule qui était accrochée au mur, de ses longues aiguilles elles pointaient l'heure: vingt-trois heures trente.
Qui pouvait lui rendre visite aussi tard? Il cherchait alors un haut parmi le tas d'affaire qui traînait au sol, voilà longtemps qu'il n'avait pas fait de lessives.
Il abaisse la poignée pourtant, il aurait pu vérifier qui était sur le pallier de la porte par l'oeil de Juda , mais encore l'insouciante du haut de ses vingts et un an , il ouvre la porte à l'inconnu. Pourtant il savait que c'était dangereux.

Du sang, il y avait du sang partout, cette couleur rougeâtre qui rend malade certain et pourtant d'autre la voit tous les jours. Ce liquide chaud et vitale pour tout être-vivant, s'échappait du corps de ce jeune homme brun. Imprudent il avait ouvert la porte à un inconnu qui s'était révélé être un simple voyou ou criminel.
Après avoir tiré sur la victime il avait piller l'endroit s'en remplissant les poches et s'était enfui, laissant agonisé Adrian, qui à chaque seconde qui passait voyait sa vie défilée; il baignait dans son propre sang. Ce n'est qu'au moment de mourir que naissent les plus gros regrets ou quand la mort c'est abattu sur une famille. Adrian quittait peu à peu sa vie, il voyait que sa vie n'était faite que de regrets et de peine, il était lui seul le rayon de soleil de sa propre vie, à ne jamais croire au danger et à sourire sans arrêt. Il s'en voulait de ne pas être plus souvent là pour son père qui l'aimait tant, il regrettait aussi de ne pas lui avoir dit qu'il l'aimait et qu'il ne lui en voulait pas de ne pas avoir eu de mère.
Il était étendu là comme une feuille morte, espérant qu'il ne quitterait pas ce monde aussi vite et aussi tôt. Il priait les cieux -même s'il n'était pas croyant- que quelqu'un vienne le sauver et, qu'il lui attrape cette main ensanglanté qui demande de l'aide... Il finit pas croire que dieux n'existe pas, que c'est injuste qu'il se fasse tuer, il n'a rien fait de mal et a toujours été une personne bienveillante et joviale qui certes s'amuse un peu trop et si insouciant du danger mais il n'a jamais tué quelqu'un et voilà, qu'il quitte peu à peu ce monde. Ce sont vraiment les meilleurs qui partent en premier?
Si c'est le cas alors Adrian est loin d'être bon car cette nuit, la vielle dame qu'il a toujours haïe par son odeur et ses attitudes, était là pour le sauver, désormais il l'aimera...


La fierté d'être enfin arrivé à destination enivra le jeune l'homme, bagage en main et billet d'avion en main. Le retour d'Adrian Louis Goodwin fils de ce psychologue renommée est de retour en ville. Après s'être fait tiré dessus Adrian s'était alors dis qu'il était bien là où il était pour le moment. Il aimait cette ville, son odeur et ses filles.
Le jeune brun continuait d'un pas sur vers la sortie de l'aéroport,
Il n'avait pas eu le temps de mettre un pied dehors, qu'il y avait déjà quelqu'un qui devait s'occuper de lui, devant s'assurer qu'il atteigne son appartement en toute sécurité...c'était sans doute son père qui l'avaient payé. Depuis l'accident il n'était plus libre de faire ce qu'il veut. Plus tard ils auront une grande discussion et Adrian ne sera plus suivies par des gardes du corps. Lorsqu'il était rentrer dans son appartement, rin n'avait bouger, il était resté comme il l'avait laissé. Heureux pour une fois de retourner chez lui et de pouvoir goutter à l'alcool et à la peau de ses filles qui l'entendent.

Il plaquait ses lèvres sur les siennes en attrapant les mains de la brunette et en les mettant en haut de sa tête. Ses mains venaient de glisser sous cette robe courte et si facile à retirer. C'était si tentant de lui retirer alors qu'ils se trouvait dans les toilettes de la boite de nuit,on entendait encore la musique que crachait les emplis. Il allait lui faire l'amour dans des cabinets crasseux de cette boite de nuit, elle frémissait sous ses crasses et lui jubilait aux baisers qu'elle lui déposait. Il profitait de sa vie et de trouver son plaisir en plusieurs femmes et buvant. Il ne voulait pas mourir insouciant et trouvait qu'il était si simple maintenant de mentir aux gens. « Aah Adrian. » disait elle en gémissant et agrippant sa courte chevelure. Elle venait de lui enfoncer dans le peau de son dos alors qu'il était en train de lui procurer le plus grand bien. Tant pis, c'était bien le prix à payer pour une partie de jambe en l'air dans une toilette.