Plan machiavélique à la Salem enclenché. Ce soir s’était l’exhibition des plus gros nichons siliconer de la planète. Franchement c’est que du tock alors je n’ai pas à jouer la carte de la jalousie face à ces femmes plastiques, mon équipements naturelles est plus que parfait et satisfaisant et d’ailleurs certifier dans problèmes ni infections et maladies sexuelle incurable. En plus pas besoin de glisser des billets dans ma culotte, j’en ai déjà pleins mon compte de banques, avoir un paternel plus riche que bill Gates ou presque ça a c’est avantage. Enfin bref ce soir je suis là pour miss lesbienne. Elle n’est pas sortie du placard et franchement je m’amuse a la voir se tortiller sur sa chaise en fessant comme si de rien était. Ou du moins en essayant de jouer les femmes qui ne mouillent pas à la vue d’une autre femme a moitié nue qui lubrifie son poteau. Enfin je la joue garce mais je suis comme ça. « bon je t’ai payer une danse, ça va être drôle tu crois pas? Aller moi je vais me prendre un verre, on se revoit taleur pétasse! » Je lâchais avec un petit sourire vicieux sur les lèvres en me dirigeant vers le bar et commander un martini olive.

J'avais besoin de voir autre chose que ses prostituées, toujours entrain de se plaindre ou de chouiner vraiment, ces femmes là m'exaspèrent, j'ai besoin de prendre l'air, de voir autre chose sinon je n'en peux plus. Et Yulian est d'accord avec moi, pour une fois ! En ce moment nous ne sommes plus trop d'accord et disons qu'il y a des tensions entre nous puis en général cela se passe quand nous sommes dehors, j'évite de trop hurler ou de m'emporter parce que vu comment les gens me regardent dans la rue...ils me prennent pour un fou. Pourquoi ? Parait que je suis fou. Je suis considérer comme un malade attardé mentalement, oui. Un schizophrène, disent-ils. Ils mentent, j'en suis persuadé. Mon frère n'est pas mort, il a survécu, il s'est battu pour moi, pour nous. Mon jumeau est toujours près de moi sinon je ne ressentirais pas ce vide, ce manque. Je me dirige rapidement vers la boîte de strip-tease, seul enfin ...avec lui, mon autre moi, ma moitié, ma vie. J'entre, regardant autour de moi, les femmes se déhancher en excitant plus d'un, et pour dire ils ne choisissent pas les plus laides, au contraire, ce sont de vraies canon ! Certes, Made in China, mais des bombes quand même. Avant que l'une d'elles ne viendra faire monter tout sa, j'ai bien envie d'aller boire un coup parce que, je ne peux m'amuser sans sexe ni alcool, sinon ce n'est pas amusant. Je préfère commencer 'soft' en demandant une double vodka puis j'observe même les demoiselles toute habillée et loin d'être toute refaite. J'observe une jolie brune non loin de moi, jolie oui et pétillante, tellement qu'elle m'en donne des frissons. Je prends mon verre avant d'aller m'asseoir à une table non loin de la scène histoire de profiter du spectacle, de me rincer l'oeil et de toucher avec les yeux. L'une des filles sur la scène me fait de l'oeil, je fais comme si de rien n'était, avant de sortir une liasse de billet de ma poche que j'ai réclamé à une de mes filles il y a peu de temps puis je coince deux billets de 100$ contre sa peau et l'élastique du seul vêtement qu'il lui reste avant de ranger le reste, quand même un peu radin je l'avoue puis je re-glisse mes doigts autour du verre, le buvant cul sec.

Cette fille-là elle se torture a essayer de cacher qui elle est. C’est tellement plus simple de vivre comme on est et sans se soucier des autres. Quoi que quand on fait le contraire me va bien aussi, ça me permet de jouer dans ces pattes et de la mariné. De jouer avec elle comme avec une petite poupée vodou, piquant une aiguille à la fois. Destruction de vie d’autrui, ça me plait bien. Et moi je ne m’en cache pas. Mais j’ai pas des parents catholique à fond la caisse qui vénèrent le petit jésus comme on vénère une vedette du rock.. .enfin ou pour les circonstances, comme les mecs ici vénèrent les petites culottes des filles. Enfin je payais mon verre en adressant un beau sourire au barman, surement le seul mec à travailler ici avec les videurs. Je remarquais pas tout de suite les yeux couleur écume des mers à faire salivé qui avait commander ces verres translucide a côté de moi. Seulement quand il sortit la liasse de billets devant les trainées a cash pour filler deux Benjamin Franklin. Ça me fit sourire, a côté les autres mec avaient l’aire d’une bande d’assisté sociale avec leurs billets de cinq dollars. D’une démarche lascive presque féline je m’invitais à sa table en m’assaillant sur la chaise près de la siennes. « tant qu’a claquer ton fric, je suis sûr que tu pourrais lui faire jouer le kama sutra toute la nuit, ou encore tu pourrais me payer un autre verre! Et pour la suite on verra. » je lui sourit malicieusement en fessant par la suite glisser l’olive sur ma langue suggestivement.

pour ma part je crois que je suis partiellement normal comme fille. Enfin psychologiquement je crois. Aimer tellement le sexe a la limite de la nymphomanie je crois pas que c'est un problème, c'est une bénédiction plutôt. Si j'avais pas eu de fric plein les poches j'aurais peut-être pu envisager une carrière dans la prostitution, mais je roule sur l'or alors. puis il y a de bon samaritain, prête a me rendre visite entre les jambes sans que je leur réclame un dollars, c'est du bénévolat que je fais avec plaisir pour la prévention des maniaques sexuelles. « les mœurs légère alors, ma séduisant comme ton tu es, c'est nécessaire de payer pour ce faire? à moins que tu aies un dysfonctionnement au niveau de la queue, problème d'expansion? » Non parce que si il a le membre aussi petit qu'un saucisse cocktail je peux aller voir ailleurs tout de suite. mon plaisir avant le siens c'est claire. après avoir joué sensuellement un moment avec l'olive imbibé d'alcool je la fis passer dans ma gorge avec un sourire séducteur percher sur les lèvres. je l'examinait plus attentivement, ces bras bien musclé, sa belle gueule, je me plaisait à imaginer l'outillage qui se cachait sous le pantalon. la serveuse vint à prendre la commande et je pris la même chose. « mettez en deux dans ce cas! » j'oubliais mon plan machiavélique avec la petite lesbienne non affirmé, j'avais bien mieux sous la main, ou du moins ce le sera bien assez tôt

En voilà une qui a la langue bien pendue, et en plus de sa, directe. Je n'en ai pas l'habitude car disons que mes filles sont plutôt du genre à s'écraser devant moi et il vaut mieux pour elle, j'ai envie de dire, moi qui suit particulièrement dominant, une chose de travers et je la descend. Je souris en coin quand elle me parle de mon entre jambe, et bien, en général quand on ne sait pas, on se tait. Je secoue la tête, souriant amusé. « Mon entre jambe se porte à merveille et je n'ai aucun problème, sans me vanter, j'en ai satisfaite plus d'une. » J'entends Yulian ricaner, bordel il est pas parti lui ? Je lâche un long soupire, non de dieu ...il est pas croyable, toujours à écouter ce que je fais, heureusement que quand je me fais plaisir, il n'est pas là parce que j'aurais péter une pile. Il s'éloigne ensuite et je le suis des yeux, c'est sa, va jouer ailleurs. Je lâche un long soupire mais en restant discret puis je reporte mon attention sur la jeune fille. Mon frère me rend taré, il me rend dingue, je n'en peux plus de vivre avec lui, il me fait faire des choses tellement improbable, il me pousse à bout mais, je l'aime. Sauf que plus ça va, plus je deviens comme lui. Je ne peux ensuite m'empêcher d'interroger la jeune femme en face de moi, me mordant la lèvre. « Mon petit doigt me dit que tu n'es pas venue ici pour ces filles, je me trompe ?. »

Hey bien le grand manitou aura pour une fois, pas le dessus sur toutes les jeunes femmes. Et comme je ne suis pas le genre a m’écraser devant un type, bien je serais l’exception. Mais bon c’est vrai que dans les réseaux c’est le male alfa qui commande et les nans qui se la couche. Pauvre filles, j’en aurais presque pitié si elles n’étaient pas si pathétiques. Si je lui posais ces question direct en tous les cas c’est surtout pour mon propre intérêt. Je voulais savoir s’il allait me faire gémir ou non en bout de soirée. Je n’aime pas tellement le temps perdu. « et bien m’en voilà bien heureuse de l’apprendre, reste à voir si tu feras de même avec moi! » je me mordillais la lèvres de manière a être tout a fait claire, mais sans ça ça l’aurais été évidement. Enfin pendant un petit moment l’homme semblait… je ne sais pas absent, et je me plaisais a l’observer, mais rien de très grave, rien à faire remonter les soupçons de personne alors, je passais à l’arrivée de la serveuse qui apportait les verres. Je souris aux dire de l’homme, évidement j’étais pas ici pour mater, c’est claire. « suis-je si transparente? » je dis avec une petite voix douce et une rictus au coins des lèvres. « disons que je suis venue par plaisir, mais rien a voir avec ces demoiselle a moitié nue. »

Je ne peux m’empêcher de sourire un peu plus face à ces paroles. Bien sûr que je ferais de même avec elle, qu’est-ce qu’elle croit ? Je me mords lentement la lèvre inférieure avant de hocher la tête. « Est-ce une invitation mademoiselle ? » Je remercie la serveuse quand elle nous sert avant de prendre le verre et de boire une gorgée, ayant soif, puis elle a été longue, j’ai failli perdre patience. Je relève le regard vers les femmes entrain de se déhancher, entrain de remuer leur fesse sous le nez de tout le monde, c’est plaisant. Je reporte ensuite mon attention sur la jeune femme et franchement, ce qu’elle me dit ne m’étonne pas du tout. « C’est sûr qu’il y a plus d’hommes que de femmes ici. Alors les femmes ce n’est pas tellement ton kiff ? » Je finis mon verre, trop vite mais disons que je n’ai pas envie de perdre un peu plus mon temps ici, surtout que j’ai cette charmante créature à mes côtés entrain de me faire du rentre dedans un truc de malade, au moins elle fait partie des exceptions, et pas de ces nanas complètement coincées. Je vais ensuite payer nos verres, j’entends Yulian ricaner, je me gifle intérieurement. « Une chaudasse. » Je serre les dents, oh lui il faut qu’il me casse toujours tout malgré que l’on fait un sacré duo, là non. Je le maudis. « Ferme là. » Le barman me regarde comme si j’avais la même gueule qu’E.T . Je m’excuse un peu gêné avant de revenir vers la charmante brunette. « Tu es venue accompagnée ? »

Il faut le dire je ne suis pas tellement du genre à jouer les sainte ni touché ou à préserver mon honneur, je suis simplement l’esclave de mes propres désir qui sont plutôt flamboyant certes. Et le jeune homme assis à côté de moi, m’évoquait un moment chaud à venir, je sentais la chaleur grimper dans mon hémisphère sud, voyez le genre? Je lui adressais un sourire coquin en me mordillant pour la énième fois la lèvre inférieur. « alors on va chez toi? » réponse assez claire que s’était bien le cas. Je ne le quittais pas des yeux, disons qu’entre ce qu’il y avait sur scène et le beau dieu grec, je fessais mon choix aisément. « enfin si l’on compte pas celles qui bosse. .. Disons que je préfère les coups de bites au coup de langues » je lui répondis. Sur ce j’imitais le jeune homme avec mon verre, en le descendant assez rapidement. Et pendant qu’il se chargeait de l’addition moi je récupérais la casette. Disons que j’avais de quoi faire chanter la jeune femme avec qui j’étais arrivé, et j’adorais ça, j’avais une pêche d’enfer du coup. Enfin je glissais celle-ci dans mon sac avant de me retourner vers le jeune homme a son retour. « si, ça n’as pas d’importance maintenant, on va faire joujou?»

Je me mords la lèvre discrètement face à la réponse de ma question, génial alors dans ce cas, on peut y aller, on va se trouver un hôtel dans lequel on pourra faire toutes les folies que l’on souhaite. Je souris en coin. « Je n’ai pas d’habitat fixe, je vis un peu partout, surtout dans les hôtels. » Et pas les plus miteux hein, ceux là sont réservés pour mes filles, oh moi je me tape les plus luxueux, je peux me le permettre non ? Je ne peux pas dire que je suis en manque d’argent, alors là non. Je viens glisser mon bras autour de ses épaules. « Au moins, je suis fixé, sur ton orientation sexuelle. » Et disons qu’elle n’y est pas aller de main morte. Je retire mon bras, attendant la demoiselle ignorant ce qu’elle fabrique, mais je vadrouille quand même pour voir si, personne n’est là, à me surveiller, sait-on jamais. Elle se tourne vers moi et j’hoche la tête avant de me diriger vers la sortie, lui ouvre la porte et en tant que bon gentleman, je la laisse sortir en premier. « Mademoiselle aime les endroits luxueux ? »

dans les hôtels vraiment? espérons qu'il ne vivent pas dans des hôtels miteux a cinquante dollars la nuit. je n'oserais jamais me mettre nue sur des draps de polyester, c'est beaucoup trop, paysan a mon gout. snob? oui, mais quand on a grandis dans un luxe de fou on a certaine exigence. « pas des petits hôtel miteux j'espère! » bitchy. mais bon je me taperais pas un paumer pour sur. enfin je lui adressait un petit sourire coquin a ces mots, en effet j'aime beaucoup trop le mâle pour me la jouer brouteuse de minou. « 100% au belle et grosse queue d'homme! » je dit en glissant ma main sur la sienne par dessus son pentalong. après ma petite préparation au chantage en récupérant la bande vidéo de sécurité, je suivit le jeune homme vers l'extérieur de la boite. « je suis faite pour le luxe et la luxure chéri! » je répondit simplement avec un petit sourire coquin