norma jean ◐ pou pou pidou !

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norma jean marnie debussy

« SHE HAS NO IDEA THE EFFECT SHE CAN HAVE. »

ϟ profil personnel

Né(e) le trois décembre 1988 norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129554973

réside actuellement à San Diego norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129554798

parle anglais, français, italien norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129555927

Situation professionnelle : actrice et chanteuse norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129555076

Je suis c'est trop complexe pour être étiquetté. norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129555280

Intéressée par hommes norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129556022

Je désire faire partie des les parfaits à la cannelle. norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129556088

Activités et intérêts : chanter, tourner des films, photographier, ranger, danser norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129555823

J'utilise amber heard comme avatar.

ϟ derrière l'écran d'ordinateur

je suis louise/paper brain. norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129554730

j'ai seize ans et toutes mes dents! norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129555927

ma fréquence de connexion sera de 7/7 jours norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129557847

j'ai découvert le forum par my person, my marine CASSDEDI A MA BITCHYYYYYYNAÏS norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129557931

Je possède 0 double-comptes. norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129555823

Oui mon avatar a été réservé norma jean ◐ pou pou pidou ! 1129556022

le code du règlement est OK PAR BLANCHE

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once upon a time ...

❝ all children grow up. except one. ❞

Ses vieilles baskets foulaient pour la toute dernière fois le sol délavé de l’orphelinat Gottingen. Elle était assise sur le vieux lit qu’elle occupait depuis des années, tenant entre ses fins doigts un carnet noir relié de dorures. C’était un objet précieux ici, elle l’avait trouvé par hasard à la brocante organisée en face, chez les Whiteley. Ils avaient été bons avec elle. Marnie avait lu toute la pitié du monde dans leurs yeux, mais comment leur en vouloir ? Elle leur avait tendu quelques dollars avant de tourner les talons, tenant le précieux objet serrer entre mes bras. On lui avait posé beaucoup de questions à son propos, et souligné le fait qu’aucune encre n’avait encore pu s’imprégner sur l’une des pages. Elle gardait ça pour une grande occasion. Ce jour serait celui où une femme viendrait devant elle pour lui déposer son doux baiser en haut de son front, juste là. C’était ce que faisait les mères, elle le savait, elle l’avait vu. Parfois, pendant son temps libre, elle sortait discrètement de l’orphelinat et observait les sorties d’écoles. Son regard bleu s’arrêtait sur les petites filles vêtues d’un même uniforme qu’elle, et qui pourtant, faisait toute leur différence. Elle se contentait d’attendre que la dernière mère vienne chercher son fils et retournait sur son lit.
Madame Roberts était venue la chercher pendant le cours de sport. Elle était au but, comme d’habitude. Elle ne craignait pas les ballons, pas même l’orage ! On la surnommait Calamity Jane à Gottingen. Tout le monde appréciait Marnie et son sourire si rare et si précieux. Madame l’appela de loin, lui indiquant d’un geste de venir vers elle. La petite blonde posa le ballon avant de courir aux nouvelles. « J’ai reçu mon jeu des sept familles c’est ça ? » Un sourire fin illumina son visage terne, sa petite tête dépassant tout juste du comptoir derrière lequel se tenait leur éducatrice préférée. « Non, mieux Marnie. Une famille, une vraie. » Chaque enfant ici rêvait d’entendre ces mots. Son sourire s’effaça un instant, alors qu’elle se mettait à courir. Elle traversa la cour, avant de s’enfoncer dans les sombres couloirs du bâtiment. Elle s’agenouilla devant son lit, passant son bras sous le matelas. Elle en sortit le petit carnet noir, avant de l’ouvrir à la dernière page. Elle prit un crayon, et de sa belle écriture, inscrivit son prénom. Elle signait aujourd’hui le début de son journal, de sa vie. Elle fit rapidement sa valise, on l’appelait d’en bas des marches. Son excitation était palpable, et en refermant sa valise, elle quitta la pièce en laissant derrière elle le précieux carnet. Elle retourna voir Madame, mais elle n’était plus seule. Une femme tournait le dos à Marnie. Elle était grande, chic, belle, elle en était certaine. Evidemment qu’elle l’était. Le sourire qu’elle lui adressa, le premier, fit arrêter le coeur de la fillette une demi seconde. La femme se baissa à la même hauteur qu’elle, avant de passer une main dans ses cheveux d’un blond peu communément pur, avant de lui déposer un doux baiser sur le front, juste là.

« Les papiers d’adoption avaient été signés le jour même. Ma nouvelle maman avait tenu à changer mon prénom, elle disait que mon actuel m’empêcherait de tourner la page noire de mon journal. Marnie disparut avec le journal ce jour-là. Elle m’emmena dans sa voiture, et je quittais Gottingem. Les enfants restants, ‘les oubliés’ comme il leur avait plu de nous appeler, accoururent derrière les grandes grilles pour me dire au revoir de la main. Le trajet fut silencieux, mais c’était un beau silence, comme me le susurrait mon coeur battant la chamade. Maman se gara devant une belle maison, et dans l’allée, un bel homme nous attendait. Mon papa, je le savais. Timide, je suis descendue de la voiture, et en marchant vers lui, je remarquait une tête brune dépassant de la jambe de mon père. C’était une belle petite fille, mais une grimace assombrissait son beau visage. Moi, je lui tendis une main qu’elle refusa avant de s’accrocher plus fortement à la jambe de son père. Je souriais quand même, et papa me prit dans ses bras. Ma soeur n’aima pas, Azraël qu’elle s’appelait. Je trouvais ce prénom étrange, mais je me promis de ne pas faire la difficile. De faire tout ce que maman me dirait de faire. »

❝ i don't know who i am anymore. ❞

Assise l'une en face de l'autre, aux deux opposés de la table, Norma et sa mère mangeaient en silence. Comme depuis quelques années, elles n'étaient plus que deux dans cette immense maison. C'était son père qui était parti le premier, un matin, il avait fait ses valises, l'avait embrassé et avait prit la voiture. Elle ne lui pardonna jamais, atterrée par la tristesse de sa mère. Au contraire, Azraël semblait accuser sa mère d'avoir précipiter le départ de l'homme. Ca avait été le sujet de nombreuses disputes avant que la brune ne quitte à son tour la maison. Des années que Norma se retrouvait seule ici, portant un soutient infaillible à la femme froide en face d'elle. Elle s'apprêtait à parler lorsque la femme l'interrompit. « J’ai trouvé quelque chose de très intéressant dans ta chambre ce matin. » Le coeur de Norma se serra face au regard noir que lui lançait sa mère. « Depuis quand tu écoutes ce genre de choses ? Tu sais bien que tu dois te concentrer sur ton chant, et ce n’est pas avec ces hurlements que tu deviendras célèbre. Je ne veux pas d’une idiote dans ma maison. » Elle sortit un vinyle d’un vieux groupe de rock que la jeune fille cachait sous son lit. Elle su qu’il n’y avait pas de discussion à avoir, c’est pourquoi elle se leva pour aller s’allonger sur son lit. La nuit était déjà bien avancée lorsqu’elle se réveilla en sursaut. Elle s’était assoupie, et alors qu’elle se maudissait de sa bêtise elle repensa à sa soeur. Azraël. Jamais elle n’y pensait, elle n’aimait pas le faire. Son visage glacial sembla réapparaitre devant elle, et lui répéter les derniers mots qu’elle prononça avant de partir. « Tu ignores tellement de choses Norma. » Cette phrase lui revenait sans cesse en tête, comme un refrain. Elle se leva brusquement et vérifia rapidement que sa mère dormait profondément. Elle passa devant sa chambre avant de s’enfoncer dans le bureau où il lui était interdit d’entrer. Elle commença à ouvrir les tiroirs, sans succès, et c’est au moment où elle renonçait qu’un objet attira son attention. Un vieux carnet noir relié d’or, abimé par les années, et pourtant il lui semblait intact. Tremblante, elle le prit dans ses mains et l’ouvrit. Les pages étaient blanches, elle trouvait cela bizarre elle aussi. Elle avait mal à la tête. Des images défilaient devant ses yeux, de vieilles images, d’elle, petite. On semblait l’appeler depuis le grand bâtiment, mais elle ne distinguait pas le prénom que la femme lui criait. Elle feuilletait les pages jusqu’à la dernière, où un simple mot était écrit. Un prénom, le sien, non ? Non, elle s’appelait Norma Jean. Elle recouvrit la mémoire. Elle avait oublié son ancien nom, elle avait tout oublié. Derrière le carnet, elle trouva deux photos. Elle connaissait bien la femme sur la première, c’était la même que sur les murs de sa chambre, Marilyn Monroe. La seconde était une petite fille qui lui ressemblait en tout point. Et c’est là qu’elle comprit. La lumière s’alluma et sa mère apparut devant la porte. Mais Norma ne se cachait plus. « C’est quoi ces conneries, c’est quoi ça ? » Elle lui tendait les photos. Elle croisa son reflet dans le miroir en face d’elle, et son effroi fut tel qu’elle quitta la pièce en courant. Perdue, elle tournait en rond, alors que sa mère la rejoignait. « J’arrive pas à croire que t’as fait ça. » Dans sa chambre, elle regardait les dizaines de posters de Marilyn. Elle ne supportait plus de les voir, elle ne comprenait plus. Elle perdait son identité en même temps que ses croyances. Elle se mit à les déchirer, alors que sa mère tentait de la retenir. « Laisse-moi ! Regarde ce que tu as fait de moi ! » « J’ai fait de toi une personne exceptionnelle, tu devais être cette personne exceptionnelle Norma ! » « Ne m’appelle pas comme ça, je ne suis pas Marilyn, je ne suis pas comme elle et je ne le serais jamais ! » « Ecoute-moi chérie, j’ai fait ça pour ton bien, tu lui ressembles tellement, tu aurais pu devenir comme elle et on aurait pu.. » Elle chassa les mains que sa mère lui posa sur les côtés de son visage. « Tu es obsédée par un fantôme maman. C’est de la folie. » Elle la contourna, prit son sac et sortit de la maison. Elle fit du stop vers le sud, avec un sous en poche et pas la moindre idée de ce que son avenir pourrait être.

❝ i wanna be loved by you, nobody else but you. ❞

Il lui serre la main. La sienne est plus grande que celle de la jeune femme mais elle trouve ça réconfortant. Elle se sent bien, elle se sent libre. Ils sont dans sa chambre d’hôtel, ce grand hôtel du centre, cet hôtel de grand luxe qu’il n’aurait jamais pu fréquenter sans elle. C’est la production qui lui fait ce cadeau. Elle, Norma, la nouvelle étoile montante du cinéma. Il sait qu’elle a du mal à accepter ce titre. Il ignore tout de son passé, il ne la connait qu’ici, à San Diego, sur le plateau du remake du Prince et la Danseuse. Elle jouait Elsie Marina, comme Marilyn Monroe des dizaines d’années auparavant. Elle lui ressemblait tellement, elle troublait tout le monde. Elle l’avait troublé, lui, sans grand mal, dès le premier regard. Elle ne l’avait pas vu au début, lui, le médiocre assistant. Il apportait les cafés et faisait des taches ingrates. Elle était superbe. Elle l’avait regardé, juste une seconde, et lui avait sourit. On la disait avide de d’auto-destruction, beaucoup avait eut une relation avec elle, courte certes, mais inoubliable à ce que l’on disait. C’était une briseuse de coeur car le sien l’avait été des années auparavant, mais il n’avait pas vu cela en elle. Il voyait sa beauté, sa fragilité et pourtant, cela faisait sa force. Leurs premiers mots échangés furent un matin, alors que Norma était en retard sur le plateau. Tous les acteurs l’attendaient pour commencer. Il partit la chercher, il la trouva assise devant son miroir, les yeux vides. On lui avait dit qu’elle prenait beaucoup de médicaments, il savait que c’était encore le cas ce jour-là. Il l’emmena prendre un café et la raccompagna par la suite. Comme à son habitude, elle rattrapa merveilleusement bien le coup et donna au réalisateur ce qu’il souhaitait ; du Monroe à l’état pur. Les jours suivants, elle ne lui parla plus. Elle le rendait fou. Il essayait de l’atteindre, sans succès, jusqu’à ce fameux soir. Elle l’avait appelé, et au son de sa voix tremblante, il sentait que quelque chose n’allait pas. Il la trouva dans sa chambre, endormie par les somnifères qu’elle prenait de trop. Il se coucha à côté d’elle, sans oser la réveiller. Il resta là, sans bouger, à la regarder. Simplement la regarder. Elle ouvrit les yeux mais ne prit pas peur. Elle se leva à son tour et posa une main douce sur la joue du jeune homme. Il voulut parler mais elle posa un doigt sur sa bouche. Son si rare sourire éblouit son visage, et elle vint déposer son baiser au coin des lèvres du garçon. C’était particulier. Il aurait du l’arrêter, mais impossible de détacher son regard du sien. Il lui rendit son baiser, désirant sentir le rythme du coeur de la jeune femme contre sa peau. Ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre, mais au milieu de la nuit, il ne la sentait plus contre lui. Elle n’était plus ici.
Il la retrouva dans la grande salle de spectacle de l’hôtel, assise au milieu des centaines de chaises, le regard rivé sur la scène. Il vint s’asseoir à ses côtés. Il lui serre la main. Elle pleure, il ne comprend pas pourquoi, et la force avec laquelle il tient sa main s’accentue. Elle le regarde un instant avant de détourner les yeux. Il n’a pas besoin de lui demander ce qui ne va pas. « Peut-être que je ne suis pas faite pour être heureuse. » La tristesse dans sa voix n’avait rien de faux. Pour la première fois, il la voyait telle qu’elle était, fragile, blessée par la vie, perdue. « Laisse-moi changer ça… » « Tu ne peux pas. » Son ton était sec, froid, il ne l’avait jamais entendu. Elle semblait loin de lui, hostile. Elle reprit sa main, laissant la sienne vide. « Alors on devrait arrêter maintenant avant de se faire du mal. » Il se lève et marche déjà vers la sortie. Elle se lève aussi et vient le rejoindre en courant. Dans son dos, elle l’enlace et pose son front sur sa nuque. « Je veux pas qu’on arrête… »

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PERSOOOOOOOOOOOOOON norma jean ◐ pou pou pidou ! 2916035490

méchante soeur norma jean ◐ pou pou pidou ! 2677115102

je t'aime ma louuuuuuise, ton personnage il va géreeeeer norma jean ◐ pou pou pidou ! 1879637317

Bienvenue

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MY PERSOOOOOOOOOOOON en première en plus, aiiiiight !
méchante soeur toi-même
on va tout faire capoteeeeeeeeeeer, les awesome girls

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BIENVENUE

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BIENVENUUUUUE norma jean ◐ pou pou pidou ! 2916035490

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AMBER SEXY HEARD
comment que tu gères :D bienvenue Blondasse

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Heeeard !

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. I love you

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hunteeeeeeer réserve-moi un lien
merci

FRANCISCOOOOO :couche4: pareil, un lien, c'est pas négociable :couche4: merci beaucouuuup

stoooooone :couche4: cette fois on aura notre lien
merci

et merci Hadès allez, jamais trois sans quatre, j'exige également un lien