Sujet: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mar 12 Juin - 22:13
Làzaro Santiago saldaña
« Chaque jour de liberté est un acte de foi. »
NOM ϟ Saldaña; PRÉNOMS ϟ Làzaro Santiago; SURNOMS ϟ Sant', Titi,...; AGE ϟ 24 ans; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ 11 juin 1988; NATIONALITÉ ET ORIGINES ϟ Espagnole; SITUATION AMOUREUSE ϟ Compliqué mais célibataire; PROFESSION ϟ danseur professionnel de tango; ORIENTATION SEXUELLE ϟ hétérosexuel; PARTICULARITÉ ϟ //; AVATAR ϟ Matt Lanter ; GROUPE ϟ Les Misérables Chocolatés
PRENOM ϟ Manon ; PSEUDO ϟ Chinook; PAYS ϟ Wonderland; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ϟ En fait, c'est Dieu qui m'a montrée le chemin.; COMMENT TROUVE-TU LE DESIGN ϟ Mon chaton c'est la meilleure :chaton:; INVENTÉ OU SCENARIO ϟ Inventé non mais !; PRÉSENCE SUR LE FORUM ϟ 8j/7; CODE DU RÈGLEMENT ϟ Tu crois j'vais te le donner en plus ? :étrange:
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mar 12 Juin - 22:14
once upon a time ...
➳ petit garçon et rêve de grands
« Moi, je veux être danseur ! » « Tu ne seras jamais danseur Làzaro. » « Si ! Je veux devenir danseur alors je serais danseur ! » Sa mère le foudroya du regard. « Non, tu vas devenir avocat, comme ton père. Et c'est tout. Jamais, tu m'entends, jamais, tu ne pourras devenir un artiste en cavale comme ça. Tu as dix ans, et tu ne peux rien faire, alors tais-toi. » Le petit se redressa, et ses yeux bleus brillèrent d'une lueur de défi. « J'ai peut-être que dix ans, mais je peux très bien partir d'ici et vivre ma vie ! » Sa mère soupira, lassée, et se détourna rapidement pour aller s'occuper de la cuisine. Elle ne s'en rendit compte que plusieurs heures plus tard, mais en moins de dix minutes après leur dispute, le petit Santiago était parti. Depuis qu'il était enfant, il avait cette passion inconnue pour la danse. Son père était d'origine plus nordique et c'était sans doute à lui qu'il devait ses beaux yeux bleus. Sa mère, espagnole de sang, avait été danseuse dans sa jeunesse. Mais sans avoir réussi à percer, elle avait dû abandonner. Et lui, depuis tout petit, il s'amusait à imiter les danseurs qu'il voyait à la télé. Il apprenait les pas et quand il y avait des mariages, des baptêmes, n'importe quoi, il dansait, devant tout le monde. Les gens disaient à ses parents qu'il avait un talent fou. Mais personne n'avait jamais réussi à les convaincre de l'inscrire à des cours de tango, salsa, flamenco,... Quand Santiago quitta la maison ce jour-là, il savait qu'il partait pour toujours. Il avait raison. Personne ne sait si les autorités ne le retrouvèrent jamais ou si ses parents préfèrent ne pas le chercher. En tout cas, il ne revint jamais, et se retrouva seul, avec son baluchon sur le dos, sa gueule d'ange, son talent dans la poche, à errer dans les rues. Il voulait trouver quelqu'un. Alejandro Finistar. Un célèbre danseur reconverti en professeur. Mais qui écouterait un gamin de dix ans ?
➳ confiance aveugle et réussite brillante
« Montre-moi ce que tu sais faire. » C'était un homme dans la quarantaine. Il avait le regard vif et perçant, mais sage. Il avait accepté de recevoir le petit Santiago. Le petit garçon hocha la tête, et alla alors sur la scène. Il ne voyait rien de la salle plongée dans le noir où se cachait peut-être son futur professeur. Il fit le vide dans sa tête. S'imagina seul. Il entendit alors de la musique lui parvenir et dès les premières notes, il se lança, à l'improvisation, au talent. Trente secondes plus tard seulement, la musique se coupa net. Déboussolé, il s'arrêta, le regard suppliant. « J-Je... c'est pas facile tout seul, s'il vous plait, laissez-moi une chance, remettez la musique je vais faire mieux, et... » « J'en ai assez vu. » murmura la voix d'Alejandro, tapi dans l'ombre. Le petit déglutit, les larmes au bord des yeux. Sa mère avait eu raison. Jamais il ne serait danseur. « Ta maison sera la mienne, je te ferais des cours gratuits mais tu iras à l'école quand même. J'appellerais tes parents et ils n'auront pas d'autres choix que de me laisser ta garde. Quand tu seras prêt, tu monteras sur scène. Et tu brilleras. » Alors comme ça, il avait droit à ce qu'il rêvait. Une chance.
Alors que les élèves d'Alejandro ne montaient réellement sur scène qu'à l'âge de dix-huit ans, c'est seulement âgé de quinze ans que Santiago monta pour la première fois sur scène. En apprenant avec cet homme, il avait appris le respect, la loyauté et la justesse. Alejandro était comme un père pour le gamin. Il avait gardé de vagues contacts avec ses parents mais rien d'extraordinaire. Il était beaucoup plus doué que la plupart des élèves plus âgés, même s'il n'était en rien vantard. Il prenait les cavalières qu'Alejandro lui donnait sans rechigner, il s'adaptait. Son professeur lui avait dit que lorsqu'il aurait trouvé la bonne, il la lui présenterait. Car en tango, la spécialité que choisit Santiago, avoir un bon partenaire était quelque chose d'essentiel. Danser le rendait vivant. Danser lui permettait de s'exprimer. A dix-huit ans, son nom figurait déjà parmi ceux des plus grands danseurs classés moins de vingt-cinq ans. Il passait de scènes en scènes, à la recherche, qui sait, de la perle rare qu'il n'avait toujours pas connu. Ni partenaire, ni petite amie. Mais il attendait avec patience. Il avait bien eu quelques aventures par-ci par-là grâce à sa gueule d'ange. Mais il cherchait toujours. Alors qu'il commençait à être mondialement reconnu, c'est sur une scène espagnole, dans son pays, qu'il trouva les deux. Une partenaire. Et une petite-amie. Les deux portaient le nom d'Opale-Fortuna et il s'agissait de la même personne.
➳ la perle rare au milieu de la scène
Il n'était pas censé se trouver ici. Alejandro lui avait donné rendez-vous à cette salle qu'il ne connaissait pas, au Sud de l'Espagne, qu'à 15h. Il fallait d'ailleurs au jeune homme qu'il trouve une partenaire pour ce soir, dans son école. Mais Santiago préférait venir voir le lieu avant de commencer les répétitions. Il était donc venu dans la matinée. Il n'aurait pas dû se trouver là. Il n'aurait pas dû entrer dans la salle vide. Il n'aurait pas dû l'apercevoir entre les rideaux des coulisses alors qu'il se faufilait comme un voleur. Elle dansait sur la scène, seule. Elle semblait dans un autre monde. Dans son monde. Elle tournoyait, et semblait concentrée, mais elle souriait. Soudain, elle s'arrêta et vrilla ses yeux bleus sur lui. Démasqué. Il se figea et son cœur s'emballa. Elle lui sourit. Et c'est à ce moment-là, en croisant son regard, en voyant son sourire, qu'il sut que c'était elle. Elle s'avança vers lui. Il était resté presque pétrifié. Finalement, il se reprit et fit quelques pas. Elle souriait toujours, inquisitrice. Il lui tendit la main. « Vous m'accordez une danse ? »
Leurs mouvements s'accordaient. Leurs pas se suivaient. Leurs mains s'étaient scellées et ne se détachaient plus. Le rythme s'accélérait, et rien ne clochait. Alejandro débarqua à ce moment-là. Il les observa un moment avant de débarquer sur scène. Les deux jeunes s'arrêtèrent. Ils se tournèrent vers lui. La demoiselle, encore inconnue pour Santiago, le dévisageait. « C'est mon prof. » lui murmura le brun. Ledit Alejandro s'avança. Il sourit à la demoiselle, voyant leurs mains mêlées. « Très bon choix pour ce soir, Santiago. » Et il s'en alla comme ça. Le brun se tendit, mal à l'aise. Il fuyait son regard mais l'inconnue se plaça devant lui pour planter ses beaux yeux dans les siens. Elle avait un sourire aux lèvres lorsqu'elle murmura : « Santiago, donc. Enchantée. Moi c'est Opale, et tu peux compter sur moi pour ce soir. » Ce n'était plus la chance ce jour-là, mais carrément le destin.
➳ on s'habitue à tout même au bonheur
Six ans. Six ans de bonheur, d'amour, de complicité. Après ce soir-là, il l'invita à boire un verre. Il faut dire qu'il fallait fêter leur brillante prestation du soir. Ils avaient tout cartonné, ils avaient ébloui tout le monde. Les journalistes les avaient déjà inscrit comme « LE couple de danse de l'année ». Lui, il voyait déjà « LE couple de l'année » tout court. Car en plus de s'entendre parfaitement sur la danse, de n'avoir pas eu besoin de mises au point pour trouver leurs marques, pour voir que leurs gestes s'accordaient, pour comprendre que rien qu'en se touchant, ils se parlaient... ils s'entendaient à merveille. Il était un peu plus réservé, bien que fougueux. Elle, elle avait toujours le mot pour le détendre, pour le faire rire, et elle avait cette allure farouche qui l'attirait encore plus. Bref. Une soirée et il en était déjà dingue.
Mais il n'osa lui avouer que plusieurs semaines plus tard, après qu'elle eut accepté de l'accompagner le temps de sa « tournée ». Alejandro était fier d'avoir une si brillante élève dans son école aussi. Elle avait deux ans de moins que Santiago ; elle avait donc seize ans. Pourtant... il en était déjà totalement fou. De son regard, de son sourire, de sa voix, de son parfum. Elle n'opposa aucune résistance lors de leur premier baiser, à croire qu'elle ressentait la même chose. Alors, il était bien loin de se douter qu'elle allait faire partie de sa vie entièrement.
Ils restèrent ensemble pendant six ans. Le bonheur parfait, l'amour idéal. Enfin, jusqu'à l'accident.
➳ le point de non-retour
C'est lui qui conduisait. La moto filait à travers la ville comme une étoile filante. Derrière-lui, Opale s'accrochait à lui, mais il adorait la sentir près de lui comme ça. Ils dansaient toujours. D'ailleurs, ils se rendaient à un gala. Ils avaient rendez-vous à 18h. Il ne leur restait que dix minutes pour arriver à l'heure. Il accéléra un peu. Sans savoir qu'ils n'arriveraient pas à l'heure. Ils ne seraient pas non plus en retard. Ils n'y arriveraient simplement pas.
Il vit trop tardivement les phares arriver sur sa droite. Une voiture qui grillait un feu. Il était déjà engagé dans le carrefour & en entendant le coup brusque de klaxon, il accéléra pour tenter d'éviter le bolide qui leur fonçait dessus. Il entendit un hurlement derrière-lui. Opale. Il cria son prénom mais son cri se perdit dans le vent qui fouettait son visage. Il y crut. Vraiment. Il eut l'impression qu'il l'avait esquivée, qu'ils étaient sauvés, que rien n'allait se passer. Pendant deux secondes, le temps sembla s'arrêter. Il avait l'espoir qu'ils allaient s'en sortir. Deux petites secondes pendant lesquelles il eut envie de crier qu'ils étaient plus forts que ça. Et puis il le sentit. Un choc au début infime. Puis la secousse fut terrible. Si brutale que la moto se coucha sur le côté droit. Il se cramponna à l'engin mais rapidement, sentit ses épaules libérées et comprit qu'Opale n'était plus sur la moto qui glissait à présent en travers de la chaussée. Tout alla très vite. Le mur l'accueillit à bras ouverts. La douleur fut fulgurante. Juste avant que ses yeux ne se ferment, il la vit. Allongée au milieu de la route, ses yeux bleus fermés. Ensanglantée. Ses yeux se fermèrent de force, l'empêchant de voir si elle respirait. Ses lèvres murmurèrent son prénom une dernière fois, laissant une seule question flotter dans son esprit chamboulé. Était-elle encore en vie ?
➳ retour à zéro
Le pire était la culpabilité. C'était quelque chose de réel, de palpable. Il sentait comme un énorme poids qui lui écrasait les épaules, qui lui faisait courber l'échine, qui le faisait plier. C'était lui qui conduisait. Ses jambes avaient été brisées. Les médecins n'étaient même pas sûrs qu'elle puisse remarcher à nouveau. Alors, danser... ? N'en parlons même pas. Déjà, il fallait qu'elle se réveille. Un mois. C'est la durée pendant laquelle elle resta plongée dans le coma. Ces longs jours qui se transformèrent en semaines, pendant lesquelles il était au chevet de son lit. Assis sur cette même chaise inconfortable. Dormant assis, debout, n'importe, mais sans jamais la quitter ou presque. Il lui parlait. Sans cesse. Il ne savait pas si elle l'entendait, mais peu importe. Il lui disait de ne pas abandonner. Lui disait qu'il ne pouvait pas vivre sans elle. Qu'il ne serait rien. Qu'il avait besoin d'elle. Qu'il fallait qu'elle se batte. Qu'elle n'avait pas le droit de le laisser. Qu'il l'aimait. Qu'il l'aimait, Ô Dieu, de tout son coeur. Et puis un matin alors qu'il était juste allé prendre un café à la cafétéria de l'hôpital, et qu'il refermait la porte, elle ouvrit les yeux. D'un coup, il revit ses prunelles bleues. Son regard magnifique qui lui avait tant manqué. Il braqua ses yeux bleus sur elle en posant rapidement le café sur la table, s'avançant avec hâte. Il était si heureux qu'une larme roula sur sa joue. « Oh mon Dieu, Opale ! Je suis soulagé ! Comment tu vas ? Non, ne parle pas, attends j'appelle une infirmière... Tu peux pas savoir comment je suis content, je... » Il s'interrompit en voyant son regard. Distant. Hésitant. Méfiant. Il bégaya quelque chose, ne comprenant pas pourquoi elle le regardait comme ça. Il comprit lorsqu'elle lâcha d'un seul coup : « Mais qui êtes-vous ? » Et tout son monde s'écroula.
Dernière édition par L. Santiago Saldaña le Ven 15 Juin - 11:35, édité 3 fois
Noëlya O. Archibald
et puisqu'on n'atteint pas le ciel à moins de s'y brûler les ailes.
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mar 12 Juin - 22:22
BIENVENUUUUE Oui j'ai toujours su qu'il fallait que j'aille me faire soigner mais bon que voulez-vous, la schizophrénie ça part pas d'un coup
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 6:18
LANTER :couche4: tu fais que d'excellent choix ma parole bref, bienvenue parmi nous et réserve moi un lien
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 9:32
Lanter ♥ -REEEEEEEEE-
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 9:58
(Re) Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fichounette :cochon:
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 10:00
Bienvenue
Liam T. Davidson-Wood
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 10:23
(Re)bienvenue ma chérie On va tout déchirer avec nos persos ! Ton avatar est totalement parfait Trop pressée de rp
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 10:26
Merciiiii tout le monde Sinéad Ҩ Héhé, merci :couche4: Liamounet Ҩ Niaaaaah Ouais j'ai trop trop hâte aussi quoi & il me reste que trois parties à l'histoire donc bientôt je la finis
Isalyne-C. Grimaldi
isalyne ✇ la perfection existe, j'en suis la preuve..
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 11:15
T'es vraiment trop belle en lanter rebienvenue ma chérie je veux un lien d'la mort hein
P. Lyra-Weverly Fields
PANDORA ✝ i want to live in my world
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 11:36
REEE Mon nookie d'amour quel choix d'avatar
P. Harper Levinson
parce que Harpeur a pas peur
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 12:45
T'EST SEX en Matt REE mon Nookie
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 12:51
re manouuu
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 16:18
Merci ma Zuzur Et ouiiii pour le lien ! Merci ma Gaëtouille Merciii Naïs
Liam T. Davidson-Wood
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 18:08
WAOUUUUUH ! La dernière partie de ton histoire "on s'habitue à tout même au bonheur" est absolument PARFAAAAITE ! Viiite viiiiiite la suite
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 18:13
HAN contente si ça te plait ! J'écris la suite dans pas longtemps promis ! Mais c'est les deux parties tristes là
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Mer 13 Juin - 21:15
Bienvenue
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Jeu 14 Juin - 15:34
Merci
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Jeu 14 Juin - 15:55
(re)bienvenue ma chérie. excellent choix
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Ven 15 Juin - 10:35
Merci ma chérie Cette fois je te promets qu'on aura un topic ensemble
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Ven 15 Juin - 11:36
Histoire finie alors je m'auto-valide
Liam T. Davidson-Wood
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Ven 15 Juin - 14:08
Je te le redis, WAOUH ! La fin de ton histoire est parfaite, j'ai carrément adoré ! Mon dieu, tellement pressée de rp Magnifique fiche, vraiment.
Noëlya O. Archibald
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Ven 15 Juin - 14:10
Haaan merci, vraiment vraiment rassurée que ça te plaise alors, j'étais pas certaine du tout J'ai pas mis les détails sur la fin par contre, sur leur venue à SD itout, j'ai juste laissé quand on comprend qu'elle ne sait pas qui il est Moi aussi j'ai trop trop hâte
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Ven 15 Juin - 14:12
Ne t'inquiète pas, la fin est PARFAITE ! Sérieux, c'est trop trop sublime
Noëlya O. Archibald
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO. Ven 15 Juin - 14:14
Alors c'est PARFAIT.
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Sujet: Re: Notre revanche, c'est de survivre. Ҩ SANTIAGO.