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Invité | Sujet: VIKKI ✖ je préfère être sa putain que votre femme. Jeu 7 Juin - 12:43 | |
| victoria scarlett-ann harrison « De la musique pour se noyer, c’est là que l’on voit que l’on est en première classe. » | NOM ϟ harrison; PRÉNOMS ϟ victoria scarlett-ann ; SURNOMS ϟ vikki; AGE ϟ part sur ses vingt trois ans; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ paris, le 17 novembre 1990; NATIONALITÉ ET ORIGINES ϟ américaines & françaises; SITUATION AMOUREUSE ϟ fiancée; PROFESSION ϟ hôtesse de l'air; ORIENTATION SEXUELLE ϟ hétérosexuelle; PARTICULARITÉ ϟ elle rêve d'un tatouage, mais ne peut pas, à cause de son milieu très conservateur. AVATAR ϟ katie cassidy; GROUPE ϟ Les financiers meringués |
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PRENOM ϟ C. ; PSEUDO ϟ vikki suffira (a); PAYS ϟ le monde imaginaire avec peter, mn amoureux ** ; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ϟ publicité; COMMENT TROUVE-TU LE DESIGN ϟ superbe ; INVENTÉ OU SCENARIO ϟ un scénario orgasmique ; PRÉSENCE SUR LE FORUM ϟ quasiment tous les jours, à quelques exceptions près; CODE DU RÈGLEMENT ϟ OK PAR EDEN | |
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Dernière édition par S. Victoria-Ann Harrison le Jeu 7 Juin - 21:25, édité 13 fois |
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Invité | Sujet: Re: VIKKI ✖ je préfère être sa putain que votre femme. Jeu 7 Juin - 12:43 | |
| once upon a time ... « Ne fais pas ci, ne fais pas ça. », « Souris ! », « Ne le regarde pas dans les yeux comme ça, enfin ! c'est très mal élevé. », « Chut ! », « Ecoute un peu ce qu'on te dit ! » Voilà à quoi se résumait la vie de la belle Victoria. Elle n'avait connu que les ordres, les déceptions, et les réprimandes. Une vie peu banale. Ses parents se sont rencontrés en France, lors d'un voyage de Richard Harrison, un important homme d'affaire reconnu à échelle internationale. Il a tout de suite craqué pour une belle jeune femme, un mannequin, de sept ans de moins que lui. A l'époque, il avait trente et un ans. Elle en avait vingt quatre. Il était belle, il était beau. Ils avaient les mêmes valeurs, le même panache, la même vision du monde. Mais aussi le même amour pour l'argent. Naturellement, une petite idylle est née. Ils avaient tout pour eux : le côté professionnel, l'argent, les amis, l'amour. Après tout, cela ne pouvait que marcher. Et ça marcha. Au bout d'un an de relation, ils se marrièrent, et décidèrent de vivre en Amérique, dans la ville de Richard. En effet, jusque là, il était resté en France, pour les beaux yeux de sa dulcinée qui ne se voyait pas quitter son pays tant qu'il n'était pas question de mariage. Peu de temps après ce dernier, un bébé arriva : Victoria. C'est un an après la naissance de cette dernière que Richard retourna dans sa ville natale, accompagnée de sa femme et de sa fille. Dans ces conditions, ils ont cotoyé du beau monde. Les relations, la notoriété, et l'argent, toute cette ambiance leur ai très vite monté à la tête. En plus de cela, la grand-mère de Tamarah, la mère de Victoria, mourrut. Une forte somme d'argent en guise d'héritage est venu s'ajouter à leur compte en banque. Une très grande villa, de très grandes manières. Bref, la famille millionnaire, friquée au possible. C'est dans ce milieu conservateur et hautain que la belle Victoria, fille unique, grandit. Evidemment, il y avait de bons avantages, mais aussi de mauvais. Beaucoup, d'ailleurs. Elle devait respecter les codes, être parfaite en apparence, ne jamais être vulgaire, ne jamais dépasser les limites, toujours respecter la supériorité des hommes, et se marier jeune avec un bon parti. Pourquoi respecter tous ces codes alors qu'elle ne les affectionnait pas particulièrement ? Pour faire plaisir à son papa, tout simplement. Son père, malgré le milieu, est un homme très affectif, qui a toujours mis sa fille sur un pied d'estale. Victoria l'a toujours aimé plus que tout au monde, et a toujours voulu lui faire plaisir, c'est pourquoi elle apprit durant toute son enfance et toute son adolescence à être la parfaite fille de bonne famille. Elle avait, en revanche, plus de difficultés avec sa mère, qu'elle trouvait trop autoritaire, trop vénale, trop aigrie. Pourtant, physiquement, elles ne sont pas différentes : Victoria est son portrait craché, elle a hérité de la beauté de sa mère. Mais aussi de la gentilesse de son père. Au final, après des années à baigner dans ce milieu, elle est devenue la femme parfaite : blonde, aux parfaites mensurations, aux bonnes manières. Seulement, Victoria s'est toujours ennuyée lors de ces repas ennuyeux, de ses réunions de famille pompeuses, et tout ce voile d'illusions et de paillettes. Elle, elle rêvait d'être naturelle, de rencontrer des personnes qui ne vivaient pas que pour l'argent, de dire des gros mots aussi, tiens. Avoir la possibilité de se tromper. La possibilité de vivre, tout simplement. Mais ses parents l'ont toujours coupé du monde, en lui bourrant le crâne de sotises préchauffées, typiques de tout ce qui est hautain, de la population de la haute société. Elle était, selon eux, "différente", "meilleure". Or, Victoria n'avait pas du tout envie de se couper du monde, bien au contraire : elle rêvait d'en faire le tour. Bonne en langue, elle a toujours aimé les langues étrangères ainsi que l'étude des pays, des différentes, cultures. C'est pourquoi elle fit fac de langues. Ses parents étaient tout à fait contre. Ils ne voulaient pas qu'elle fasse des études, ils voulaient juste la voir au bras d'un mari très réputé, avec sept ou huit bambins. La famille conservatrice par excellence. Quand bien même elle devrait faire des études pour briller dans la société et non pour faire un métier, elle devait faire droit ou des études équivalentes, mais rien d'autre. Certainement pas ces études de langues et d'ethnologie. Pour eux, cela n'avait aucune valeur, puisque dans leur milieu, ces études ne faisaient penser ni au glamour, ni à l'intelligence, ni à l'importance financière. Pourtant, Victoria s'est battue. C'est d'ailleurs la seule fois durant laquelle elle s'est rebellée contre ses parents. Et elle a réussi. C'est pourquoi, aujourd'hui, de fil en aiguille, elle est devenue hôtesse de l'air. Malheureusement, cela n'empêche rien. Elle fréquente les mêmes personnes, et demeure dans le cocon dans lequel ses parents l'enferment depuis qu'elle est toute petite. Un cocon, que dis-je, un véritable palais. L'argent ne lui fait plus aucun effet, à présent, elle est lassée de cette vie. Pourtant, obéissant à son père, et faisant tout pour lui faire plaisir, elle se convainc chaque jour que c'est ainsi qu'elle trouvera le bonheur. Après tout, difficile de changer de mentalité lorsqu'on a baigné dans ce milieu toute sa vie. Désormais, elle est fiancée à un très bon parti, Marty William Jeremiah Hockley, qui correspond - et de loin - à tous les critères que vénèrent son père. Sauf qu'elle ne l'aime pas. Mais après tout, ce détail est minime, dans ce milieu. Elle chercha à se convaincre définitivement de vivre cette vie, et pas celle dont elle rêvait secrètement, c'est à dire une vie folle, spontanée. Faire le tour du monde. Fumer. Se faire un tatouage. Rire. Connaître la galère, aussi. Elle se força à renoncer à tout ça. Mais c'est à ce moment là qu'elle rencontra Marshal qui fit basculer toutes ses bonnes intentions, ses résolutions et ses principes. Elle l'aimait bien, et il avait la vie dont elle avait toujours rêvé. Dépassant un peu les limites qu'on lui avait fixé par rapport à son mariage, elle décida de coucher avec lui. « Tu fais quoi ? » La jeune blonde avait quitté le lit quelques instants plus tôt. Elle ne porter qu’une chemise, celle-ci laissant voir ses magnifiques formes. Une petite liasse de billet a la main, elle attrapa le jeans du jeune homme de l’autre et introduisit les billets dans sa poche. « C’est ton argent de poche ». Avec un regard de prédateur, la jeune femme monta sur le lit, avançant doucement vers le jeune homme. Elle se posa sur lui à califourchon, mais fut stoppé dans son élan. D’un air sérieux, le jeune homme lui demanda : « Attend… Tu me paye la ?! ». Décontenancé, la jeune femme se releva, elle observa l’air sérieux de Marshal. « Je suis fiancé Marsh’ . Tu croyais quoi ? Qu’on coucher ensemble juste parce que je t’aime bien … ? » Oui. Oui c’est ce qu’il croyait. C’est ce qu’il avait cru depuis leurs rencontres. Elle l’avait blessé, apprendre qu’il n’était qu’une « pute de luxe » avait touché sa fierté, son ego. Au fond, il n’était pas sur de ne rien ressentir pour elle. Cette fille l’obséder. Jour et nuit. D’un autre coté, il ne pouvait pas se permettre de refuser une tel le somme d’argent. Il eut alors sur ses lèvres, un sourire « diabolique », il posa ses mains sur ses hanches et la fit « rouler », prenant possession de son corps. « Dans ce cas la…C’est plus le même tarif » .
Dernière édition par S. Victoria-Ann Harrison le Ven 8 Juin - 8:37, édité 18 fois |
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