∞ prénom et pseudo : Mélody / MONKEY CONTROL ∞ âge : 19 ans trois quart ∞ sexe : une fois par mois ! ∞ comment as-tu connu le forum ? euh... Bazzart a l'époque, je crois ∞ raconte-nous ton point de vue sur le forum : Très bonne, sinon je ne serais pas rester encore une fois ∞ tes autres comptes sur nom : anciennement Marshal ∞ personnage inventé ou scénario ? inventé ∞ célébrité : Teresa Palmer ∞ code du règlement : code ok Rhett
Je suis né(e) dix octobre mille neuf cent quatre vingt neuf à Moscou et donc je suis d'origine russe. À l'heure d'aujourd'hui j'ai, 22 ans. Je suis célibataire et si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle. Je viens d'une classe sociale aiséeet depuis deux ans, j'exerce en tant que Recruteuse, plus communément appeler " chasseuse de tête ". Bah oui, il faut pouvoir faire ce qu'on veut dans la vie! Je fais partie des requins glacés et je sais pas pourquoi mais on me dit souvent que je ressemble à Teresa Palmer. On me qualifie souvent de Patiente - Intelligente - Franche mais, bon comme tout le monde j'ai des défauts qui sont Impulsive - Bordélique - Froide. Au cas où vous voudriez passer chez moi, j'habite à NORMAL HEIGHTS.
Dernière édition par T. Marlowe-Jay Dernov le Lun 27 Aoû - 12:07, édité 8 fois
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:02
Moscou. Russia. Cinq ans “Un, deux, trios, gagné !” Le petit palet noir virevolta entre les petits doigts fins du garçon. Il passa les blancs et arriva à l’autre bout du plateau. « Nan Anton ! Tu triche tout le temps ! », la petite fille blonde peste, puis croise ses bras contre sa poitrine. Une moue boudeuse accrochée aux lèvres, elle fixe son frère. Soudain, la porte de la chambre s’ouvre. Leur père se tiens dans l’encadrement de celle-ci, le visage dur, fermer, comme d’habitude. Ses yeux se posent sur sa fille, puis sur son fils. « Vous restez dans la chambre, Anton, tu surveille ta sœur ». Puis la porte se referma brusquement, laissant les deux petits enfants seuls dans cette chambre. Une lueur dans les yeux, Anton se tourna vivement vers sa sœur. « Viens on va jouer aux espions ! » Sans se poser la moindre question, Marlowe se leva et suivit son frère. A pas de loup, ils pénétrèrent dans le petit couloir. Une odeur de crêpes flottés encore dans l’air. Leur mère avait passé tout son après midi aux fourneaux, pour leur préparer un somptueux gouter. C’était les vacances d’été, et les journées paraissaient longues pour tout le monde. Mais Rachel faisait toujours de son mieux pour occuper ses enfants. Elle était une bonne mère, et elle avait toujours souhaité avoir une grande famille. La naissance de ses enfants l’avait rendue heureuse et épanoui, elle avait aujourd’hui ce qu’elle désirait le plus. Marchant sur la pointe des pieds, les enfants Dernov descendirent doucement les escaliers. Leurs pères étaient dans son petit bureau, malgré la porte fermé, on pouvait l’entendre parler au téléphone. Il était apparemment très énervé, il parler vite, haussait le ton. Le reste de la maison était baigné dans le silence. Alors qu’ils arrivèrent au pied de l’escalier, un coup de feu se fit entendre. La porte d’entrée s’ouvrit brusquement, leur mère tomba à terre. Leurs pères sortis précipitamment de son bureau, accourant vers sa femme, Anton fit de même. Marlowe, elle, resta prostré dans l’escalier, ne pouvant détacher son regard de cette scène… Pourquoi sa mère était-elle allongée sur le sol, pourquoi son frère pleurait-il en criant « maman », pourquoi son père était-il couvert de sang ? Du haut de ses cinq ans elle ne trouvait pas de réponse à toutes ses questions, le temps lui apporta. C’était son amour qui l’avait tué, elle était consciente des activités dangereuses de son mari, et pourtant, elle n’avait jamais songé à le quitter. Elle n’avait jamais pensé à sa sécurité, elle préférait suivre son cœur. Tout changea après cet événement. Surtout son frère. Marlowe pu voir son frère se renfermé, devenir comme son père. Froid, distant, ne plus rien ressentir. Ils ne jouaient plus ensembles, ils ne riaient plus. La maison était devenue vide et froide. L’air ne sentait plus cette douce odeur de crêpes…
Moscou. Russia. Dix sept ans La porte claqua derrière son passage. Enervé, elle fit les cent pas devant son lit et souffla tout en se passant une main dans ses cheveux. Elle attrapa son sac, y fourra le nécessaire, comme son argent, son mobile, et le pendentif de sa mère. Alors qu’elle se retourna, prête à partir, sa porte s’ouvrit. Anton entra dans sa chambre, fermant la porte au passage. « Ou tu vas ? Papa veut pas que tu sortes » Marlowe s’arrêta un instant, leva les yeux au ciel et dans un petit rire nerveux lui répondit tout en se dirigeant vers la porte « Oui, mais papa est pas la » Elle ouvrit sa porte, que son frère s’empressa de refermer. « Tu connais la règle Marlowe. Tu ne dois pas sortir aujourd’hui ». La jeune femme bouillait a l’intérieur, elle en avait marre de tout ce cirque. Elle donna un coup sur la poitrine de son frère, espérant le faire bouger. Son regard froid toujours posé sur elle, il ne bougea pas d’un millimètre. « J’emmerde vos putain de règles. J’emmerde votre putain de règlement à la con ! Je vous emmerde, toi et papa. Tu crois que ces règles ont sauvé maman ?! Regarde ce que tu es devenue Anton ! Tu ressemble a Papa en modèle réduis ! » La jeune femme souffla, l’esprit en ébullition. Elle recula, se dirigea vers sa commode et saisit quelques affaires qu’elle fourra dans son sac. Elle voulait faire ca depuis longtemps déjà, et puis, elle n’avait jamais osé. Elle voulait un bon avenir, et avait toujours bien travaillé à l’école pour y arriver. Maintenant qu’elle avait décroché son diplôme, il fallait qu’elle parte. Qu’elle s’éloigne de cette famille et de cette maison de barge. Elle s’approcha une nouvelle fois de la porte, espérant passer. « Regarde ce qu’il a fait de toi. Tu seras jamais le grand basketteur que tu voulais être, a la place t’es un de ses… Gorille. Et encore, t’es juste bon à garder sa fille. » Son regard avait changé. La réalité de ces paroles lui avait fait entendre raison. Il dévia son regard et se poussa. Sans attendre Marlowe quitta la pièce, puis la maison. Elle avait supporté assez longtemps les magouilles de son père. Son égoïsme les avait mis en danger, elle et son frère. Elle prit le premier avion vers les états unis, et rejoignit sa tante à San Diego.
San Diego. USA. Vingt deux ans Fouillant au fin fond de son sac Gucci, Marlowe en extirpa son téléphone portable. Ses talons claquèrent sur les pavés de la ville, sa démarche était rapide et assuré. La tête haute, son tailleur parfaitement ajusté à sa silhouette, ses longs cheveux blonds posé délicatement sur ses épaules, elle était ce qu’elle souhaitait être. Une femme d’affaire, pressé, active et épanoui. Elle composa le numéro sur son cellulaire, et porta l’appareil à son oreille. Elle pu entendre sa voix quand il décrocha. Un sourire accroché aux lèvres elle répondit, « J’ai le feu au cul, tu peux arranger ca ? ». Une passante s’arrêta sur son chemin quand elle entendit ces quelques mots. Marlowe l’ignora et continua son chemin. Aucun petit ami, aucun attache, de toute façon elle n’avait pas le temps pour toutes c’est connerie de mariage et de famille. Elle aimé sa vie de célibataire. Quelques conquêtes, et surtout un « amants régulier ». Elle l’aimé bien, ils s’entendaient plutôt bien, et puis, il fallait bien l’avouer, au pieux c’était l’éclate. Un matin en passant devant la grande pâtisserie, Marlowe ralentissais. Leurs brownie était si bon, et leurs donuts encore plus ! La jeune femme entra dans la petite boutique, et contempla leurs vitrines. Elle grimaça un instant, tout lui donner la nausée ce jour la. Elle eut juste le temps de ressortir de la boutique avant de vomir ce qu’elle avait ingérer le matin même. Elle devait être malade, et ce depuis quelques jours déjà. Elle enfila son peignoir et le serra contre sa poitrine. Elle secoua le petit appareil en plastique et souffla. Ce que c’était long. Bon dieux que c’était long ! Pourquoi n’avait-il pas inventé quelques choses de plus rapide bon sang ! Elle ne pouvait détacher ses yeux du petit « écran ». Un plus apparu. Elle paniqua, lança l’appareil sur les autres déjà entassé dans un coin, et refit la même manœuvre avec un autre encore emballé. C’était au moins le cinquième. Il n’y avait pas de doute, elle était bel et bien enceinte…
Dernière édition par T. Marlowe-Jay Dernov le Lun 27 Aoû - 12:02, édité 7 fois
Isalyne-C. Grimaldi
isalyne ✇ la perfection existe, j'en suis la preuve..
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:10
REUUUUUUUUUUUUH
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:11
MA MIENNE tu es bien belle comme ca rebienvenue parmi nous mon mulo
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:12
REEEEEEEEEEEE.
Sweeney-Sloan Huckel
acide à s'en brûler le coeur
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:12
GOOOOOSH, PALMEEER ! :couche4: REEE Garde-moi un lien. Tu veux que je change ton pseudo en quoi ?
V. Bianka-Lynn Hart
➸ BIBICHE IS YOUR GODDESS.
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:20
REEEE (Teresa, oulala ) Bon courage pour ta fichounette :grenouille:
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:24
R. Castiel Chanteclair a écrit:
GOOOOOSH, PALMEEER ! :couche4: REEE Garde-moi un lien. Tu veux que je change ton pseudo en quoi ?
Haan c'est trop gentil, je m'apprété a vous mpotter. T. Marlowe-Jay Dernov Merci encore
Et merci a tous :owwww:
Et oui mon mien
Sweeney-Sloan Huckel
acide à s'en brûler le coeur
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:25
Changé ! Magnifique pseudo au passage.
P. Lyra-Weverly Fields
PANDORA ✝ i want to live in my world
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:27
PALMER la plus belle REEEE & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:46
Ah, t'as perdu ton zizi toi ?
WELCOUUUUUUUUUUUUUUUUUUME !!!! :owwww: :owwww:
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Dim 26 Aoû - 20:52
Castiel : Merci beaucoup :owwww:
Lennon : Ouai je me suis fais circoncire entre deux Merci
P. Harper Levinson
parce que Harpeur a pas peur
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Lun 27 Aoû - 9:28
RE RE RE & bon courage pour ta fiche & au passage réserves moi un lien
Noëlya O. Archibald
et puisqu'on n'atteint pas le ciel à moins de s'y brûler les ailes.
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✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 06/05/2012
Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Lun 27 Aoû - 10:48
Encore BIENVENUUE.
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Lun 27 Aoû - 12:10
quelle histoire elle a bien fait de se barrer bon je suis pas avec le bon compte mais osef tu es VALIDEE, bon jeu
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " Lun 27 Aoû - 12:12
Merci a vous :owwww:
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Sujet: Re: MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout "
MARLOWE-JAY ► " Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout "