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Invité | Sujet: MARSHAL ▬ " Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ? " Ven 27 Juil - 13:09 | |
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Âzrael Marshal Curtis Zibler
| NOM ϟ Zibler, la seul chose hérité de son paternel; PRÉNOMS ϟ Âzrael Marshal Curtis; SURNOMS ϟ Marsh, Marshou, Zibler; AGE ϟ 23 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ 12 octobre 1989. Bronx NYC; NATIONALITÉ ET ORIGINES ϟ Américaine, origine juive donné par son père SITUATION AMOUREUSE ϟ Célibataire; PROFESSION ϟ Pointeur professionnel ORIENTATION SEXUELLE ϟ Hétérosexuelle PARTICULARITÉ ϟ De nombreux tatouages, dispersé sur certaine partie du corps. Quelques cicatrices. Une tendance a se foutre de la gueule du monde. Fumeur invétéré. AVATAR ϟ Harvey Newton Haydon GROUPE ϟ Les requins glacés |
PRENOM ϟ ici; PSEUDO ϟ MONKEY CONTROL PAYS ϟ FranceCOMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ϟ J'ai trouver l'adresse dans un champs de marie-jeanne... Surement un top site. COMMENT TROUVE-TU LE DESIGN ϟ Niquel INVENTÉ OU SCENARIO ϟ inventé PRÉSENCE SUR LE FORUM ϟ 5/7; CODE DU RÈGLEMENT ϟ C'booon par Noë
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Dernière édition par A. Marshal Zilber le Sam 28 Juil - 18:16, édité 7 fois |
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Invité | Sujet: Re: MARSHAL ▬ " Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ? " Ven 27 Juil - 13:10 | |
| Sucker love is heaven sent “ Zibler ! Parloir ! “. Un coup ce fit entendre dans la porte métallique. Allongé sur sa « paillasse », le jeune homme se releva péniblement, un « cure-dent » entre les lèvres. Un « déclic » se fit entendre, sa porte était ouverte. Il sortie de sa cellule et toisa le gardien. « C’est qui ? ». Le gardien, un homme dans la quarantaine, un peu joufflu, au bouc mal entretenu entama la marche dans le long couloir. « Une belle blonde. La vingtaine, jolie comme un cœur… » Marshal eu un sourire accroché aux lèvres. Il aimé bien ce gardien, Jo’, il était plutôt cool et contrairement a beaucoup d’autre de ses collègues, il était humain. Il respecter les « prisonnier », et cela, c’était rare. En arrivant dans la grande salle du parloir, Marshal donna une petite tape dans le dos du gardien, toujours en souriant, il lui dit a l’oreille, « Touche pas a ma sœur ». Sa sœur… La seule qui venait encore le voir ici. La seule qui était venue depuis le début de sa peine. Elle était la, radieuse, comme à chaque fois qu’elle venait le voir. Assise derrière une table, elle regarder par la fenêtre prêt d’elle. Ses long cheveux blond était délicatement attaché par un ruban, une belle robe blanche protéger ses belles formes. Malgré sa taille svelte, Rachel avait toujours était très belle. Et sa beauté lui avait souvent donné des problèmes. Il s’était déjà battu pour elle un bon nombre de fois, et était prêt à recommencer pour sa sécurité. Rachel était sa petite sœur, et il l’avait toujours protégés, c’était comme un devoir pour lui. Il ne voulait que son bonheur. Malheureusement, ses mauvais plan l’avaient mené ici, et Rachel était maintenant « forcée » de rendre visite à son frère dans un cadre… pas forcément idéal. Il détesté l’idée de la voir ici, il trouver ca dégradant pour elle, et il ne pouvait pas s’empêcher de se sentir coupable. Elle, elle n’était pas gêné, et elle ne voulait pas que Marshal ce soucis de c’est quelques « détails ». Marshal s’approcha doucement de la table ou était assise sa sœur, un sourire aux lèvres il la prit dans ses bras quand celle-ci se leva. Même si Rachel venait le voir tout les mois, ses visites lui faisaient plaisir et la laisser repartir était toujours très dur. Durant leurs enfances, les enfants Zibler avait toujours était très proche. Leur père était partie peu de temps après la naissance de la petite Rachel, Marshal n’avait que dix huit mois à cette époque. Tout ce qu’il savait de leur père s’arrêter a quelques photos, et a l’héritage de leur nom. Leur mère éviter toujours le sujet, elle n’aimé pas en parler et vivait très bien son absence. Du moins en apparence… L’enfance des Zibler fut très modeste : une mère célibataire, un boulot a temps plein et peu de temps à accorder a ses progénitures. Néanmoins, Marshal et Rachel n’eurent pas a ce plaindre. Les choses se gâtèrent pendant leur adolescence, le temps de la rébellion et des mauvaises fréquentations…
« Est-ce que… est ce qu’elle va bien ? », sa voix était hésitante, son regard fuyant, comme s’il était gêné de poser cette question. En fait, il l’était. Il savait pertinemment que Rachel ne pouvait pas l’encadrer et que parler de ce « sujet délicat » la fâcherait. Il n’en avait jamais parlé ici. En trois ans il n’avait jamais pris de ses nouvelles, pas une seule fois, mais aujourdui, il avait craque. Dans un long soupire, Rachel releva la tête et lui jeta un regard froid. « Marsh ! Cette fille a causé ta perte et tu te préoccupe de savoir comment elle va ?! ». Il détestait l’entendre dire sa. Non ce n’était pas sa faute si j’avais fini au trou, elle n’y était pour rien. Visiblement énervé, il lui répondit en détournant le regard une nouvelle fois, « Laisse tomber ». Un long silence s’installa entre eux, tout les deux plus ou moins énervé par cette simple, et banale question. Rachel craqua au bout de quelques instants et lui dit en se jetant dans le fond de son siège. « Si tu veux tout savoir, elle ta pas attendu… Il parait qu’elle se marie a la fin du mois ». On y était. Il avait sa réponse. Voila donc pourquoi elle n’avait pas dénié venir le voir en trois ans…
KISS ME HARD BEFORE YOU GO San Diego, la ville du renouveau comme disait ma sœur. Trois semaine que j’avais retrouvé la liberté et j’avais déjà plié bagage. Je m’étais taillé. Finis New York, finis le Bronx et toute cette merde environnante. Rachel avait souhaité que je quitte NYC, elle disait que c’était mieux pour moi, et que de toute manière je n’avais rien qui me retenait la bas. Le pire dans tout ca c’est qu’elle n’avait pas tord. Elle c’était chargé de tout, elle avait organisé mon départ, ranger mes petites affaires et m’avait « dégoté » un petit appart dans le quartier populaire de San Diego. Les clefs en mains, j’allais bientôt découvrir mon nouveau « chez moi ». Et qu’elle fut ma surprise en entrant, de voir quelques petites lueurs dansé dans la pièce du fond. Je posais délicatement mon sac sur le plancher de la salle et me dirigea vers cette pièce qui se trouvait être la cuisine. C’était elle. Mon cœur l’avait su à l’ instant que mon corps avait passé la porte. Elle était la, assise sur le plan de travaille, des bougies allumé autour d’elle, une cigarette a la main. J’aurais pu être heureux de la voir si seulement je n’avais pas attendu ce moment depuis trois ans… Elle tourna doucement la tête vers moi, le visage serein. Je m’empressais de lui demander : « Comment ta eu mon adresse ? » Elle eut un sourire. « C’est ta sœur qui me la donner » Je ne pu m’empêcher de rire. Elle était ridicule. « C’est impossible. Rachel peut pas te blairer, elle t’aurait jamais donné les moyens de me retrouver… » D’un geste nonchalant, elle écrasa sa cigarette dans un petit récipient contenant une bougie. « Rectification. Elle déteste Andy Brennan, la salope qui a envoyé son frère en taule comme elle aime le dire. Mais pas Vicky la gentille amie du lycée qui a appris son départ en Californie et qui meurt d’envie de le revoir ». Elle était formidable. A cet instant, je me rappeler exactement pourquoi j’aimé cette fille. Notre rencontre avait était comme quand un couteau rencontre le corps d’un homme. Un coup violent, une douleur immense, un coup au cœur et une plaie saignante, qui jamais ne se referme. A l’époque elle vivait de l’autre coté de New York, dans les quartiers chics. Son père était un chirurgien très réputé, et très « a cheval » sur l’éducation de sa fille. Il m’avait toujours eu en horreur. Sa fille adoré le provoqué, le défié et faire exactement le contraire de ce qu’il voulait. Elle adoré trainer dans le Bronx et se la « jouer mauvaise fille ». C’est ainsi qu’on c’est connu. Elle est la première fille que j’ai aimée. Réellement. Vous savez aime. Aimé a un tel point que vous avez envie de le hurler au monde entier, a un tel point qu’une simple parole, un simple regard vous remue les tripes. L’attendre trois ans avait était un vrai supplice. Un silence s’était installé entre nous. Je la regarder du coin de l’œil. Elle n’avait pas changé, elle était toujours aussi belle. Pas le genre de beauté fatale. Elle ne rentrait pas dans les critères de beauté classique. Elle avait plein de défaut. Comme ses dents du bonheur, ses fossette marqué, son regard malicieux, ses yeux de biches… Elle était pleine de joli défaut. « Tu sais combien ca fait trois ans ? Ca fait 1095 jours. Et en 1095 jour t’en a pas trouvé un seul pour venir me voir… » Il fallait crever l’abcès La faire parler. Me faire parler. J’y avais trop pensé, j’avais trop ressassé le fait qu’elle ne vienne pas me voir, son absence m’avait bien trop manque. Accoudé contre un petit meuble, je relevais doucement le regard vers elle. Elle était descendu du plan de travail, mais y rester appuyer, les bras croisé, le regard fermé. Presque noire. « Trois ans ca fait aussi 26280 heures, et quelques minutes… Et j’en ai pas passé une seule sans penser à toi Marshal. Y’as pas que pour toi que c’était long » Je ne pu retenir un rire méchant, et en la toisant du regard je lui dis méchamment : « Et pourquoi t’es pas venu me voir alors, si c’était si long que tu veux bien le faire croire… » Elle me fixa un long moment avant de détourner le regard et de répondre « Parce que je voulais pas voir l’homme que j’aime enfermer entre quatre mur » Et bam ! Comme si une main transparente me noué l’estomac, me noué les boyaux et tout le reste. Cette sensation aussi agréable qu’étrange me plaisait. Néanmoins, elle avait réussi a me cloué le bec cette peste ! Je ne pouvais rien dire, rien répliqué. Au lieu de cela je me suis approché d’elle doucement, j’ai saisi sa main, c’est petit doigt entre les miens et j’ai contemplé sa bague. « Alors c’est vrai ? Quel guignol ton père a encore trouvé pour te marier ? » Elle retira rapidement sa main et la cacha en croisant ses bras. Furax, mais amusé, elle eu un sourire avant de me dire : « Sois pas jaloux, ta rien à lui envier » Et bon dieux qu’elle avait tord ! Au contraire, je lui envier tout le temps passé avec elle, toutes les belles choses qu’il arriver à lui dire, tous leurs sourires partagés, tout son courage pour la demander en mariage… « Si. Ta main ». Et la, sans que je pu le prévoir, ou l’imaginer, sa patiente disparu. Elle était sorti de ses « gongs », et je savais pertinemment que j’allais « en prendre plein la gueule »… « Nan mais tu plaisante la ?! Pendant plus d’un an j’ai attendu que tu te bouge ! Que t’officialise enfin notre relation ! Je te demander pas un mariage, juste un truc qui me prouve que toi et moi c’était bien réel ! Et aux lieux de ca ta su me « sauter » régulièrement pour me faire croire que j’étais importante a tes yeux… » L’événement se déroulé si vite que mon esprit avait du mal à les analyser. Une succession de geste. Elle attrapa son sac et commença à marcher vers la sortie .Comme un automatisme je la suivis. « … Tu sais quoi Zibler ? T’es un qu’un gamin. Un putain de gamin égoïste qui veut utiliser son jouet juste quand un autre s’y intéresse… » Le pire dans tout ca, c’est qu’elle avait raison. Enfin en partie. J’avais voulu lui demander sa main, je savais a quel point c’était important pour elle, et j’y avais pensé. Il me fallait juste la bague. Et pas n’importe laquelle. Je voulais le meilleur pour elle, le meilleur bijou que l’on puisse trouver. Et j’avais eu la folle idée d’entrer dans cette bijouterie, la nuit. J’ai eu la folle idée de voler. Et puis le plan a foirée, trois ans fermes, sans pouvoir lui expliquer. Sans pouvoir lui dire que je l’aimé comme un fou…. Une fois de plus elle était devant moi, prête à m’échapper, à partir. Je lui saisis le bras d’un geste rapide et la tourna vers moi. « C’est prévu pour quand le mariage ? » Elle fut étonnée de cette question, et hésita un instant. « Dans trois semaine » J’attrapais ses deux mains, et les serra entre les miennes. « Reste-la alors. Appel le. Dis lui que t’es chez une amie… qui a le cancer de la prostate, ou un truc du genre. Ce sera ton enterrement de vie de jeune de fille » Elle ne pu s’empêcher de rire, et je me rendis compte que c’était son rire qui m’avait le plus manque. Elle accepta ma propostion. Je savais pertinemment que cela était une très mauvaise idée et que la cohabitation ne serait pas facile. Mais je la voulais avec moi, au moins pour les trois dernières années de sa vie… Et puis, au fond, ca me donner trois semaines pour lui avouer mes sentiments…
Dernière édition par A. Marshal Zilber le Sam 28 Juil - 21:50, édité 8 fois |
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Noëlya O. Archibald
et puisqu'on n'atteint pas le ciel à moins de s'y brûler les ailes. ✖ PÂTISSERIES VENDUES : 5723
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 06/05/2012
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Isalyne-C. Grimaldi
isalyne ✇ la perfection existe, j'en suis la preuve.. ✖ PÂTISSERIES VENDUES : 4247
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P. Harper Levinson
parce que Harpeur a pas peur ✖ PÂTISSERIES VENDUES : 3332
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| Sujet: Re: MARSHAL ▬ " Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ? " Ven 27 Juil - 18:21 | |
| REEEE & bonne chance pour ta présentation :coca: |
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Invité
Invité | Sujet: Re: MARSHAL ▬ " Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ? " Ven 27 Juil - 20:15 | |
| Fight Club, j'approuve Même moi je le connais, c'est le mec de la pub pour du shampoing ou du gel je sais plus Bienvenue parmi nous et bonne rédaction de fiche :mdrr: |
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A. Elijah McKnight
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| Sujet: Re: MARSHAL ▬ " Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ? " Sam 28 Juil - 4:51 | |
| Re bienv'nue à toi et bon courage pour ta fichette ^^ |
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P. Lyra-Weverly Fields
PANDORA ✝ i want to live in my world✖ PÂTISSERIES VENDUES : 3301
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| Sujet: Re: MARSHAL ▬ " Maintenant une question de protocole. Pour passer je vous présente mon cul ou bien ma queue ? " Dim 29 Juil - 9:44 | |
| REEE & code validé Bon courage pour ta fiche |
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Noëlya O. Archibald
et puisqu'on n'atteint pas le ciel à moins de s'y brûler les ailes. ✖ PÂTISSERIES VENDUES : 5723
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 06/05/2012
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