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 ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson

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MessageSujet: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:41

allyn maëlys rowell-jackson
« TU M'A(B)IMES ET J'EN (C)REVE »
ϟ profil personnel
❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129554730 Née le 16/02/1990 ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129554973 réside actuellement San Diego ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129554798 parle anglais (et un peu le français) ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129555927 Situation professionnelle : étudiante en psychologie ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129555076 Je suis célibataire. ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129555280 Intéressée par hommes ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129556022 Je désire faire partie des diplomates caramélisés. ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129556088 Activités et intérêts : études, études, études ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129555823 J'utilise emma stone comme avatar.
ϟ derrière l'écran d'ordinateur
❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129555280 je suis slighty bread/sandra ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129554730 j'ai seize ans ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129555927 ma fréquence de connexion sera de 5/7 jours ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129557847 j'ai découvert le forum par Marine (Az) ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129557931 Je possède aucun double-comptes ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129555823 Non mon avatar n'a pas été réservé ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1129556022 le code du règlement est OK BY CHINOOK





Dernière édition par Allyn Rowell-Jackson le Ven 4 Mai - 19:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:42

once upon a time ...

► when she was just a girl, she expected the world. Quatre avril mille neuf cent quatre-vingt-dix, dans un quartier des plus douteux de Birmingham, en Angleterre, la quatrième fille des Rowell venait tout juste de pointer le bout de son nez, au bout de dix heures d'effort. « Bienvenue chez toi, petite Allyn. » chuchota mademoiselle Jackson, épuisée suite à l'accouchement. Le père de famille, présent également, poussa un soupir de soulagement et observa cette petite chose gigoter dans tous les sens, émerveillé. Allyn Ivyanna Lennon Rowell-Jackson. Allyn, reprise du nom de sa grand-mère maternelle, un prénom auquel mademoiselle Jackson tenait particulièrement étant donné le récent décès de cette dernière ; Ivyanna, à l'hommage à ses deux sœurs jumelles aînées Ivy et Anna ; Lennon, le père étant un fan incontesté de John Lennon ; et enfin le nom de famille, comme ses aînées, était tout simplement les noms de familles combinés de ses parents encore non-mariés. Son nom entier avait été décidé des semaines à l'avance, voire des mois. Elle avait tant été attendue, tant désirée. Malgré leur pauvreté, malgré leur trois enfants déjà présents, lorsque mademoiselle Jackson avait appris qu'elle attendait un quatrième enfant, dès la première seconde, elle l'avait chérit plus que tout au monde. « Si tu savais depuis combien de temps on t'attendait, ma chérie. » Heureuse, épanouie, la jeune mère était aux anges. Elle baisa le front de sa merveille endormie une énième fois alors que monsieur Rowell s'introduisit silencieusement dans la pièce en compagnie de trois autres petites filles. Sa famille était dorénavant au complet, ses quatre petites filles au près d'elle, elle ne pouvait mieux rêver. Les aînées découvrirent le nouveau membre de leur famille, toutes réjouies, en l'admirant sommeiller. Nous voilà devant un joli tableau familiale, un tableau parfait, sans tâche, sans défaut. Ou presque. Tout allait si bien ce jour-là, pourquoi tout avait tant changé ? ► Le temps passe, la petite Allyn avait grandit, passant de quelques heures à six ans, le petit ange était toujours présent et avait adopté une merveilleuse chevelure rousse qui lui descendait jusqu'au dos. Adorable. C'était le premier mot qui nous venait en bouche lorsque l'on croisait pour la première fois cette petite fille malgré son allure des plus désastreux. Contrairement à ses sœurs jumelles aînées, la demoiselle était l'incarnation d'un ange pur. La famille Rowell vivait dans des conditions les plus déplorables ; dans un petit appartement de trois pièces pour six personnes, au milieu d'un quartier le plus douteux en plein centre de Birmingham, leur source de finance étant des plus minimes. Mademoiselle Jackson ne travaillait pas, était au chômage et monsieur Rowell également, malgré ses efforts pour se dégoter un bon travail - en vain. De ce fait, leur pauvreté atteignait son apogée. Et tout ceci ne plaisait guère à tous les membres de la famille, certains s'en contentaient, d'autres non, dont les jumelles et leur mère. Après des années à vivre parmi les rats, à partager leur chambre à quatre en compagnie de leurs sœurs, toutes les trois poussaient la gueularde, s'en prenaient au pauvre père de famille qui tentait tout pour les sauver, sous le regard juvénile de la petite dernière. « Marre de cette misère, plus que marre ! Je m'en vais ! Avec MES filles ! » La goutte d'eau qui avait fait débordé le vase : les fuites du plafond dû à la pluie constante de cet automne. Petit à petit, l'eau avait commencé à ronger le bois qui leur servait de toit et petit à petit, les petites avaient une vue direct sur le ciel. Monsieur, Maxwell, Rowell se contenta de lever les yeux au ciel en seule réponse à la crise que sa femme venait de lui faire, ne jugeait pas utile de croire aux menaces de cette dernière tant elles étaient répétitives. Pourtant, il aurait dû. Oh oui. Le lendemain, en se réveillant, il ne trouva personne dans l'appartement, n'entendit aucun bruit. Mis à part quelques gémissements provenant du seul armoire. Et avec stupeur, il découvrit, enfermée dans le noir, sa petite dernière, Allyn, pleurant à chaudes larmes, abandonnée par sa propre mère.


► smile, though your heart breaks in two, smile, smile. Le dessin, bien plus qu'une passion. A six ans, suite au départ de sa génitrice, la demoiselle, sous un coup de tête, gribouilla. Étrange pour un âge aussi bas, pourtant, sentir le crayon entre ses doigts l'apaisait, lui procurait le calme dans sa tête. Gribouiller, encore et encore. Peu importe à quoi sur quoi, où, à quoi ce gribouillage ressemblera, son but était autre : épuiser la mine de ce crayon. Lorsqu'on découvre à un âge aussi prématuré le sentiment de liberté à travers une activité, toute votre vie, celle-ci ne vous quittera plus, soyons-en sûr. « Allyn ? Encore à dessiner ? Pourquoi ça ne m'étonne pas ? » Un ami de classe débarqua par surprise derrière elle, mais malgré tout, elle ne sursauta pas, ayant finement entendu ses pas venir à elle quelques secondes auparavant. Allyn, quatorze ans, mince et belle, accoutrée de quelques tissus ne la mettant guère en valeur, se contenta de sourire à son camarade de classe lorsque celui-ci se plaça à ses côtés, tout en observant dans la même direction qu'elle. Un jeune couple discutait tranquillement, les mains liées, assis sur un banc, en face d'eux. La jeune rousse les reproduisait avec exactitude, sans omettre aucun détail, aucun trait de leur visage. Fasciné, le garçon qui ne lui avait presque jamais adressé la parole auparavant, fixait avec stupeur la façon dont Allyn faisait glisser le crayon sur la feuille. Il était évident qu'elle possédait une aisance admirable dans ce domaine. « Tu connais mon prénom ? Magnifique. » ironisa-t-elle tout en lui adressant un sourire. Non, elle n'était pas haineuse quant à au fait qu'il ne lui avait jamais adressé un seul regard depuis le début de l'année, le fait que personne ne lui ai adressé une simple parole dans cette classe, le fait d'être seule, mis à part par tout le monde, non, elle faisait juste une simple remarque. Remarque dont le jeune homme passa outre, continuant d'admirer la reproduction du couple qui se dessinait en direct sous ses yeux. « Tu es libre samedi ? » lança-t-il tout en quittant des yeux pour la première fois le carnet pour les poser sur Allyn. Une Allyn stupéfaite, tellement sidérée par la question que le jeune garçon venait de lui adresser qu'elle en laissa déraper le crayon. Un grotesque trait noir immonde traversait dorénavant le visage de la blonde sur le banc. Samuel, le camarade de classe qui n'allait sans doute pas tarder à devenir plus, lui adressa un regard désolé avant de doucement caresser du bout de ses doigts le doux visage d'Allyn. Lors d'un instant, elle eut le souffle court avant de secouer la tête de haut en bas, aux anges. « Parfait ! Et ... essaie de te dégoter une belle tenue. » lui lança-t-il en la jugeant de la tête aux pieds, avant de s'en aller en vitesse. La jeune fille s'examina également à son tour et désespéra à la vue de son jean à moitié délavé et déchiré et sa pauvre veste recouvrant un haut datant de plusieurs années. ► Humiliée. Durant sa tendre jeunesse, on lui avait infligée toutes les pires choses de la vie, pourtant rien ne lui avait fait aussi mal que ce soir. Pleurer, pleurer encore et encore jusqu'à s'épuiser de larmes, c'était dorénavant tout ce qu'elle pouvait faire. Elle se remémorait la fête, cette fête, cette soirée qui venait tout juste de s'interrompre, les rires, les moqueries, Samuel riant aux éclats en compagnie de quelques ami(e)s lorsqu'elle avait fait son entrée dans la maison, l'argent qui avait fait passe-passe entre lui et ses copains. Ce dernier s'était bien moqué de sa figure, ils l'avaient tous fait. Une fête, parlait-il ! Non, c'était juste un coup monté pour humilier une bonne fois pour toute la mal-aimée de la classe. Allyn. Elle pleurait, pleurait dans son lit, gâchait sa nouvelle robe dont son père lui avait fait offert quitte à être à découvert sur son compte (encore). Ce n'était qu'un bout de tissu immonde de toute manière, quelques torchons assemblés par-ci par-là pour donner l'effet d'une robe. Elle le savait, jamais, ô grand jamais, dans tous les cas, elle ne ressemblerait à une princesse, jamais un garçon ne s'intéressera à elle, jamais personne ne la comprendra. Elle était seule au monde, seule contre tous, ignorée, délaissée. Qui voudrait d'une jeune fille aux allures pitoyables et négligés, aux habits toujours déchirés ? A l'instar de Quasimodo dans le Bossu de Notre Dame, elle était la bête de cirque de sa propre classe, et en souffrait. Énormément.


► pretty, don't you ever ever feel like you’re nothing ? Allyn, seize ans, presque autant solitaire que ses quatorze ans, malgré le changement de classe, le changement d'école. Presque, oui, car le temps passe, et de nouvelles personnes font irruption dans notre vie. Marion qu'elle s'appelait, une petite française venant de débarquer, mise à l'écart tout comme elle. Toutes deux, depuis peu, étaient aussi soudés que les deux doigts de la main, les deux jeunes filles étaient des deux rejetées de leur classe, de leur école, mais peu importe, l'une était toujours là pour l'autre et c'était tout ce qui importait. Allyn retrouvait petit à petit la joie de vivre, on découvrait une autre facette cachée de la petite rousse, une Allyn joyeuse et drôle. Peu de malheurs lui étaient arrivés ces derniers temps, ce qui l'enchantait. Ou du moins, jusqu'ici. Quand elle pensait que la vie lui laissait enfin de répit, tout s'écroula, de nouveau. « Papa ? PAPA, qu'est-ce qui se passe ? Où est-ce que tu vas ? Lâchez-le bordel, lâchez mon père ! » La police. La police, en ce jour ensoleillé d'été de deux mille six, avait débarqué chez eux, embarquant par la même occasion le géniteur de la demoiselle, qui ne semblait pas protester. Au contraire, il afficha une mine affligé et coupable. Lorsqu'il posa son regard sur sa fille, il eut un hoqueté de surprise et la panique qui monta en lui se vit petit à petit sur son visage devenait dorénavant blanc comme linge. Tandis que celle-ci se débattait contre les autorités afin de libérer son père, celui-ci se débattait contre son propre sang pour qu'elle le laisse partir. Mais ne comprenant pas sa réaction, Allyn continuait ses injures à l'égard des messieurs, alors monsieur Rowell leur murmura quelque chose à l'oreille et ils s'en allèrent quelques instants. « Papa, qu'est ... » L'incompréhension totale se lisait sur son visage tandis qu'elle observait la police attendre son père à quelques mètres d'ici. « Une lettre est cachée dans ta chambre, dans ton coffre-fort, avec des instructions. Suis-les à la lettre, et ne pose surtout pas de questions. J'ai tout prévu, Chloé sera là pour toi. Je suis désolé ma puce, tellement désolé. » Sur ce, il s'en alla, menottes en mains, escorté par les autorités, laissant derrière lui, une orpheline. ► « Chère Allyn, si tu découvres cette lettre c'est que mon heure est venu : la police vient tout juste sûrement de m'arrêter. Fraude à l'assurance est un délit parait-il, et équivaut à cinq ans d'emprisonnement. Si j'étais désolé, je m'excuserais mille fois au près de toute la justice et clamerait mon innocence, mais je ne le suis pas. Grâce à ceci, ton avenir est assuré pour quelques années ma chérie. Aux côtés de Chloé et sa fille, tu seras heureuse, enfin. Plus jamais tu n'auras à subir la pauvreté auquel tu as été confrontée depuis ta naissance. Pour ceci, par contre, je m'excuse énormément, tout est ma faute. Jamais je n'aurais dû t'élever dans ces conditions. Mais tout va changer, vraiment. Tu vivras heureuse, comme je te l'ai dit grâce à l'argent que j'ai récolté, tu iras à l'université, tu auras une belle maison, une belle famille, une belle vie. Apprends bien, le secret de la réussite est le travail, ma chérie. Sache que je t'aime plus que tout, et que je ne regrette en rien tout ce que j'ai fait pour toi malgré les conséquences. On se revoit dans cinq ans. Je t'aime. Ton tendre papa. » Pour la millième fois, Allyn lut cette lettre, tout en pleurant toutes les larmes de son corps et en écoutant les caprices de sa nouvelle demi-sœur à l'autre bout de la maison. Encore une fois, la vie s'acharnait sur elle. Jamais on ne la laissera tranquille, jamais.

► in our family portrait, we look pretty happy, normal. Hailey Jackson ne s'est jamais plainte de la pauvreté de son mari, ni lorsqu'ils se sont rencontrés ni lorsqu'elle a vécu durant plus dix ans à ses côtés. Au contraire, elle l'a toujours soutenu, a toujours essayé de faire de son mieux pour l'aider. Mais arriva un jour, arriva ce jour où elle craqua, sans raison particulière. Et elle partit, accompagnée de ses trois grandes filles, délaissant derrière elle la petite dernière, la jugeant assez mûr pour vivre dans la misère, contrairement aux autres. Depuis, le temps a passé, Hailey Jackson a littéralement changé de vie, étant passée de statut de ruiné à millionnaire en près de dix ans. Aujourd'hui, possédant enfin une vie stable, elle voudrait récupérer cette petite fille dont elle été contrainte d'abandonner mais à laquelle elle n'a jamais jamais cessé de penser. Aujourd'hui, comme depuis quelques temps, elle est à la recherche de sa fille. Et aujourd'hui, elle venait tout juste de découvrir que cette dernière demeurait chez la dernière personne au monde à laquelle elle aurait pensé : sa propre mère, madame Reed Jackson, à San Francisco. Après un an à souffrir chez sa marâtre belle-mère prénommée Chloé, Allyn avait retrouvé la trace de sa grand-mère maternelle, et avait utilisé l'argent délaissé par son père pour partir, aux Etats-Unis, vivre chez cette dernière. La meilleure décision qu'elle ait jamais prise ; sa grand-mère l'avait accueilli à grands bras ouverts. Aujourd'hui, nous étions le quatre avril deux mille huit, et Hailey Jackson allait offrir le plus beau et inoubliable cadeau d'anniversaire à sa fille. « Mamie, tu es là ? » Tout juste rentrée de l'école, Allyn se devait de raconter sa journée à sa grand-mère, comme tous les soirs. Aujourd'hui n'avait pas été une journée extraordinaire malgré la date particulière, mais elle devait le relater à sa grand maman qu'elle apprécie plus que tout. Pourtant ce soir-là, elle ne la trouva pas, après avoir parcouru les pièces habituelles où elle pouvait se trouver. Sa chambre, la cuisine, le salon, toutes les salles avaient été minutieusement examiné par la jeune étudiante, pourtant madame Jackson ne s'y trouvait pas. « Allyn ? » Une voix retentit, et étrangement, au lieu d'une voix rauque et chantante, ce fut une voix douce et inattendue qui résonna dans sa chambre. Elle sursauta avant de découvrir avec stupeur qui se cachait dans le noir, assise sur son lit. Entre milles elle aurait reconnu cette voix, ce visage, chaque trait de ce visage, ce parfum malgré le temps. « Maman ? » chuchota-t-elle, haletante sous l'effet de l'émotion. Pour la énième fois de sa vie, Allyn se mit ensuite à pleurer, mais pour la première fois, ses larmes étaient des larmes de joie. Lui en vouloir ? Jamais de la vie. Ou du moins, pas autant qu'elle le pensait en la voyant. C'est ainsi que mère et fille se retrouvèrent, en pleurs. ► Lésion cérébrale. Méchant mot, méchante maladie, qui avait fait irruption dans la vie de la jeune rousse. Un mois suite aux retrouvailles avec sa mère, le bonheur retrouvé, un nouveau malheur s'était abattu sur elle. Dans quelques mois, elle était censée entrer dans une grande université américaine, vivre pleinement une vie heureuse, découvrir les joies de l'université, pourtant non, ces prochains mois, elle les passerait à l'hôpital, au lit, sa petite famille à ses côtés. Entre temps, elle avait également retrouvé ses sœurs, grâce à Hailey Jackson, tout avait été parfait, jusque là. Ou presque. Son père manquait toujours au tableau familiale, toujours en prison. Mais d'un côté, Allyn s'en était réjouie ; il ne verrait pas l'état dans lequel était sa tendre petite fille, son physique totalement détruit à cause de cette fichue maladie. Elle était tombée dans le coma plusieurs jours, avait subit des crises impressionnantes, et connaissait dorénavant des problèmes importants au niveau de la mémoire, ainsi que sa capacité à réagir rapidement. En somme, elle était détruite, de a à z, toute sa vie l'était maintenant. Le verdict des médecins était clair et net : Allyn devrait vivre avec cette maladie durant quelques années, voire à tout jamais. Pour une fois, après l'apprise d'une mauvaise nouvelle, elle ne se mit pas à pleurer, au contraire, mais à rire. Rire aux éclats.


► san diego, here she comes. Trois ans ont défilé, tellement de choses se sont déroulées, mais qu'importe, elles ne sont pas bien importantes. Ou pas toutes du moins. Le fait le plus important datait de quelques mois : Allyn venait d'apprendre la guérison quasi-complète de sa maladie, après des années à ingurgiter tous sortes de médicaments, après des années à souffrir, des années à espérer. Aujourd'hui, en cette année de deux mille onze, Allyn pouvait enfin respirer normalement, agir correctement, sans risque de fatigue soudaine, sans se balader tous les jours en compagnie d'une pharmacie complète, c'était la liberté, du moins une presque liberté. Première nouvelle. Deuxième nouvelle : plus qu'un an pour que son père soit libéré, si tout se déroulait comme tout avait été prévu. Trois ans qu'elle ne l'avait pas vu, son seul désir était de le retrouver. Jamais elle ne lui avait rendu visite, pour la simple et bonne raison qu'elle avait totalement changé physiquement durant ces années, à cause de sa maladie. Elle voulait tout, sauf inquiéter son paternel. Attendre, elle devait maintenant attendre. Et troisième nouvelle, le troisième fait le plus important : Allyn allait pouvoir intégrer l'université dont elle rêvait depuis trois ans. Grâce à ses études, à sa bourse, à l'argent de son père et la richesse de sa mère, elle était parée à pénétrer dans cet établissement gigantesque qui lui procurait plus d'excitation que de peur. Mais cet établissement se situait à San Diego, loin de San Francisco. Bientôt, elle allait entamer une nouvelle vie dans cette nouvelle ville, et rien ne l'excite davantage !






Dernière édition par Allyn Rowell-Jackson le Ven 4 Mai - 20:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:43

Owww une autre Stone ! Bienvenuuuuue ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2916035490
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:43

Bienvenue parmi nous ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2916035490
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:44

SUPERBE STONE ! Bienvenue parmi nous ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2916035490
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:44

stoneeee ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 619667412 bienvenue sur le forum I love you
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:45

BIENVENUE ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1748372203
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:46

SAAAAAAAAAAAAAANDRIIIIIIIIIIIS MOOOON BEEEEBEEEEE ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 117745182 ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2916035490 ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1879637317 :couche4:
ça fait tellement plaisir que tu sois faible tu sais ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 4153354820 surtout pour ça ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1879637317
looooove yooooou (niaaaaaaise ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2472899277 ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2472899277 )
Bienvenue ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2176505670
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parce que Harpeur a pas peur
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:46

La magnifique stone ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2357399559
Bienvenuuuuuue
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:47

bienvenue parmi nous ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2916035490 STONE ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 117745182 excellent choix d'avatar ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 619667412
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:50

Oh une Stonichou ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2357399559
Bienvenue ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1034520638
Bonne chance pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:55

Bienvenue & bon courage pour ta fiche ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 3691148241
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:55

    Très bon choix d'avataaaaar ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1879637317 ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 1518395336
    WELCOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUME !!! :renard:
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 19:59

Bienvenue parmis nous :)
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitimeVen 4 Mai - 20:06

Je valideeee ! ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson 2176505670
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MessageSujet: Re: ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson   ❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson Icon_minitime

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❝ les princes sont au rayon biscuits, première à gauche ❞ rowell-jackson

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