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Invité | Sujet: Andreas ✗ tu me ferais un câlin même si j'étais un cactus ? Lun 25 Juin - 17:11 | |
| Andreas Caliste St-John « YES YOU CAN HOLD MY HAND IF YOU WANT TO ! caus' ... i wanna hold yours too. » | NOM ϟ St-John; PRÉNOMS ϟ Andreas Caliste; SURNOMS ϟ Andy (généralement); AGE ϟ 19 printemps; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ La pirée, mars 1993; NATIONALITÉ ET ORIGINES ϟ américain, née en Grèce; SITUATION AMOUREUSE ϟ célibâtard; PROFESSION ϟ Étudiant bb. Futur cuisinier étoilé avec la toque et les ustensiles, sisi; ORIENTATION SEXUELLE ϟ Homosexuel ou gay ... as you want.; PARTICULARITÉ ϟ comme tout humain chevelu il a ce tic de toujours remettre ses mèches en place, il se lèche aussi souvent les lèvres mais il a le corps pur, pas de tatouage ou autre cicatrices, wesh.; AVATAR ϟ CHOUCROUTE SUR LE CÔTÉ Louis Tomlinson, en fait; GROUPE ϟ Les bisous sucrés |
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PRENOM ϟ Capucine; PSEUDO ϟ Je change trop souvent :fatigué: ; PAYS ϟ Réunion (île de la); COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ϟ Bazzart RPZ.; COMMENT TROUVE-TU LE DESIGN ϟ asdfghjkl. fuckin'hotbabe ; INVENTÉ OU SCENARIO ϟ inventé; PRÉSENCE SUR LE FORUM ϟ 4/7 et H24 pendant les vacances !; CODE DU RÈGLEMENT ϟ OK par harper | |
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Dernière édition par Andreas C. St-John le Mer 27 Juin - 16:55, édité 6 fois |
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Invité | Sujet: Re: Andreas ✗ tu me ferais un câlin même si j'étais un cactus ? Lun 25 Juin - 17:13 | |
| once upon a time ... Mes parents étaient un couple d'archéologues américains passionnés. Tellement passionnés qu'ils sont restés longtemps en Grèce pour dépoussiérer des vestiges issus de l'époque où la Grèce était un pays abritant une civilisation pleine de vie, de connaissance et en avance sur son temps. Je n'ai jamais trouvé cela très passionnant ; ils ont même trouvé cela intéressant de me donner des prénoms à la mode dans la Grèce antique. Ma mère était une accroc au travail, mon père semblait un peu plus consciencieux qu'elle. Je parle au passé, ils ne sont pas morts pourtant mais, tout a changé depuis qu'ils sont séparés. Ils se sont battus pour m'avoir et le gagnant a rapporté son lot aux States, pays d'origine. La Pirée, mars 1993. Un cri perçant ricoche sur les murs pour faire sourire les adultes présents dans la salle et répandre de l'amour, de la vie sous le toit de l'hôpital de fortune. L'infirmière tire sur le drapé et titille le nez de l'enfant avant de le poser sur le ventre encore légèrement bombé de la mère essoufflé ; « C'est un garçon. » elle souffle doucereusement en offrant un sourire plein de compassion à la maman qui se sent déjà débordée et se munit de ses mains pour empêcher les gestes mal agencés du bébé de le blesser. Au bout de quelques babillements, le bébé s'était endormi dans les bras maternels et respirait en harmonie avec les battements du coeur de cette dernière. Un dernier sourire avant qu'elle aussi ne se laisse plongée dans les abysses du sommeil ; le bébé fut placé dans le landau latéral avant que le père ne daigne quitter le campement de fouilles pour jeter son premier regard sur le poupon et en tomber sous le charme. Andreas Caliste St-John est né. Octobre 1998, Quelque part en Grèce. Les feux de l'ambulance tournent à toute vitesse, emporte le corps comateux de l'épouse St-John à l'hôpital le plus proche. Un éclaircissement de la situation ? Prise d'une colère monstre après avoir fait une découverte lui ayant brisé le coeur, la pauvre femme s'est engagée sur la route à une vitesse dépassant toute entente. Quelle découverte ? Son mari, discret et fourbe trouvait cela excitant de se faire la meilleure pote de sa femme ; mal tombé le pauvre Mr St-John. Son coeur ayant manqué un battement, entre deux hoquets, elle avait perdu le contrôle du véhicule et se retrouvait dans un coma pendant lequel Andreas restait des heures à son chevet. « Andy, on rentre chéri. » il lui lance un regard noir. Comment il peut lui donner des ordres, lui ? « Non, je reste ici parce que c'est ta faute si elle dort aussi longtemps ! » cinq ans, naïf comme une bille qui roule et ne manque pas de jugeote. Il ne faut prendre tous les enfants pour des idiots, Andy avait très compris que ce qu'il faisait avait été mal. Tellement mal qu'elle en était devenue paraplégique et stérile ; merci papa d'avoir fait un aussi beau cadeau à maman. Il ne fallut pas longtemps après le réveil de la belle au bois dormant pour que les procédures soient mises en place ; divorce + indemnisation. Le combat d'une mère paraplégique pour avoir la garde de son enfant ; le juge avait pour réputation d'être très sensible et ça ne manqua pas. Il lui suffit de remarquer à quel point l'enfant ne voulait pas rester avec son père pour offrir la garde à la pauvre mère dorénavant incapable de marcher. Décembre 1998, Aéroport d'Athènes. Une légère brise fouette le visage souriant d'Andy qui marche aux côtés de sa mère assise dans son fauteuil. Ses yeux brillent, il fixe les tableaux de départ et s'assoit avec précaution sur les cuisses de sa mère. « Je ne sens rien tu peux sauter si tu veux. » elle lui dit en posant le doigt sur son nez. Ils rient à l'unissons puis Andy fixe sa mère avec appréhension. « On va où maman ? » d'un geste nonchalant, elle lève le doigt et pointe une pancarte avec de jolies photos ; San Diego. « Là-bas mon chéri, c'est de là-bas que je viens. » dans un rire enfantin il enfouit sa tête dans le cou de sa mère. Elle dépose un baiser sur sa tête et caresse avec soin le cheveu luisant de son fils.
[passage à la 1re personne voulu] Vous savez, on a pas toujours une chance inouïe dans la vie. Moi qui pensait vivre avec ma mère toujours, ne plus revoir mon père, j'avais tord. Il ne fallut pas des masses de temps pour que papa ne se mette en tête de venir me chercher à San Diego chez maman. Je n'avais vraiment pas idée de pourquoi il voulait me prendre avec lui. C'était idiot, tellement idiot que je n'avais qu'une envie ; qu'il perde le procès et que je reste avec maman. Apparemment il avait peur pour mon éducation ; des idioties comme lesquelles maman n'était pas capable de s'occuper pleinement de moi. C'était vrai, je m'occupais plus d'elle qu'elle de moi. Mais en somme, je préférai de loin cette situation. Maman semblait tellement confiante, comme si rien ne menaçait notre petite bulle ; comme si elle allait gagner une fois de plus. Je n'avais pas le droit de choisir, 14 ans et aucune raison d'avoir ce pouvoir aux yeux de la loi. J'étais plus qu'inquiet et les jours passés dans cette salle avec papa, maman et le juge. Une vraie horreur. « Monsieur St-John, vous avez officiellement la garde. » timbre de voix sec, grand froid laissé dans la salle à ces paroles, je toisai l'impitoyable représentant de la justice avec un regard écoeuré. « Dites, ça vous amuse d'emmerder les familles qui sont tranquilles, monsieur ? Non parce que, je vois pas ce que je vais foutre avec mon père, j'ai grandi en affirmant que je n'avais PAS de père. Merci, au revoir. » j'attrapai ma veste et poussai le fauteuil de ma mère jusqu'au taxi où je donnai des instructions pour qu'elle soit prise en charge ; triste destin. Je n'avais plus le choix, mon père m'attendait les bras ouverts près de la voiture aux vitres tintées. « Je monte derrière. » je lâchai froidement en contournant son câlin et en me glissant dans la voiture, les bras croisés. Clairement pas emballé par cette nouvelle vie. Je n'avais tout d'abord aucune idée de la raison pour laquelle il avait quitté son site historique pour venir s'installer ici, à San Diego. Ensuite, il fallait avouer qu'avoir le culot de me retirer de chez maman pour me placer dans sa stupide maison hors-de-prix était vraiment déplacé. Comme si maman chauffait la place pour qu'il puisse me récupérer en justifiant par un simple "Il ne peut pas se trouver avec une mère en état précaire ! Sans vouloir te vexer Sasha ..." Sans vouloir la vexer ? C'était pire que l'avoir vexée, il l'avait clouée sur place ; le plus grand des connards et il l'avait déconcertée de telle façon qu'elle m'avait glissé un simple "Tu seras mieux avec ton père." si je ne l'aimais pas ma chère mère, je lui aurai bien répondu ce que je pensais. Je serai mieux avec un menteur, quelle éducation digne de moi. Je chercherai mieux l'amour qu'elle, tomber sous le charme du premier con l'a bien eue. « Ta chambre est au premier tu veux ... » un silence s'installa lorsque je lui lançai un regard pleins de reproches. « J'ai pas besoin de ton aide j'suis un grand garçon, papa. » dis-je en insistant ironiquement sur le dernier mot. Pourquoi j'étais ici ? Je ne voulais rien, surtout pas de son aide. Je me débrouillerai bien tout seul. Non, je ne voulais ni dîner, ni partager un quelconque repas avec lui. Le seul point positif : une bonne femme qui faisait le ménage. Ça m'étonnerait pas qu'elle lui serve de pute personnelle, d'ailleurs.
« J'habite juste à côté, mes parents bossent toute la journée tu veux venir ? » il faisait froid, moins de 15 degrés, une température peu commune à San Diego, c'était une minimale qu'on pouvait qualifier de légendaire pour un climat méditerranéen. Et je venais de découvrir que j'avais de voisins, au bout d'un mois passé dans ce quartier chic, moi qui pensait être entouré de personnes chiantes et sans intérêt, les voisins n'étaient pas comme ça. Thyméo était ... différent des autres gamins BCBG que j'avais croisés jusque là. Il était gentil, tellement accueillant et il me comprenait de la même façon que moi je le comprenais. C'était pour ainsi dire ; mon meilleur ami. Un vrai coup de foudre, comme si nous avions été liés depuis toujours puis séparés pour être mieux rapprochés ; j'avais du mal à passer une journée sans le voir escalader le pommier et venir me tirer de mon sommeil. « Je viens. » dis-je en l'attrapant par la main et en le traînant hors de mon jardin. Je ne m'en rendais pas compte, j'étais pour ainsi dire ... long à la détente. Je savais que les filles n'attisait aucun désir chez moi je ... je n'arrivais tout simplement pas à l'expliquer. Je pensais que c'était passager, simplement en retard. Mais j'avais essayé maintes et maintes fois ; lorsqu'elles me prenaient la main, je ne ressentais rien, pas un frisson. Alors que la main de Thyméo lançait des piques statiques, comme s'il avait un pouvoir, comme s'il était magique. Attablé en face de papa, je jetais un dernier regard sur l'immonde pizza aux anchois qui trônait au milieu de la table. « Je suis allergique aux anchois. » je me levai, presque en colère de voir qu'il ne savait rien. Absolument rien. De moi. Alors que je montais les escaliers, je jetais un regard vers mon père et lâchai d'un ton désinvolte « J'aime les garçons. » il ne m'adressa pas un regard et me répondit comme si de rien n'était « Tu veux que je te commande une autre pizza ? Sans anchois ? » sans même relever l'idiotie aveuglante, mes épaules se haussèrent légèrement. « Non j'ai plus faim je vais dormir. »
- Une pluie battante cognait sur les carreaux, les yeux perdus dans le vague je contemplais les arbustes qui se battaient avec les rafales de vent d'une journée où la tempête grondait dans la petite ville. Des bruits de pas pressés montèrent les escaliers, je m'apprêtais déjà à ce que la porte soit ouverte violemment alors je fermais les yeux pour ne pas être trop surpris par la nouvelle qu'on pourrait venir m’annoncer ; maman se faisait opérer ? Papa serait en retard ? Un brigand venait de pénétrer dans la maison ? Bien pire ... bien pire que cela. Lorsque la porte s'ouvrit, la femme de ménage se débattait pour empêcher une femme grande, mince aux cheveux noirs comme le charbon et luisants comme l'onyx. Son souffle était court, elle semblait paniquée et je l'aurai reconnue entre mille ; la mère de Thyméo. Je courrai vers elle, dégageai la bonne femme en lui disant de la laisser tranquille et attrapai par ses larges épaules la digne mère de mon ami. « C'est Thyméo ! Tu dois venir vite ... » elle me tira par le bras, je la suivais volontiers, désireux de savoir quel était le problème sans réellement avoir envie de voir ce qui lui était arrivé. Au pas de course nous dévalâmes les escaliers, j'attrapai un coupe-vent, m'engouffrai dans la voiture de la mère de mon meilleur ami et rapidement nous fûmes arrivés à l'hôpital ; pourquoi lui ? Sans même faire attention je semais la mère de mon ami et je déboulais à toute vitesse dans la chambre où les infirmières s'affairaient autour du corps ensanglanté de Thym. J'attendais là, avec sa mère, des heures entières, les larmes aux yeux prêtent à s'échouer sur mes joues au moindre signe de vie. Je collais mon visage sur la vitre lorsqu'il remua les paupières, je me précipitais dans la salle où les fils reliés à ses veines me donnèrent le tournis ; une torture pour mes délicats yeux. « Andreas ... » j'approchais doucement de lui, attrapai sa main avec douceur et la posai sur ma joue tout en retenant quelques larmes, esquissant un sourire amical. « Je suis là Thym, je suis là. » il tourna son visage délicat et souriant vers moi, les yeux luisants. « Dis, tu m'en veux pas trop hein ? » j'approchais mon visage et posais mon front contre le sien, l'espace d'un instant j'avais cru ne plus le revoir ; j'avais eu peur de le perdre et je m'étais ainsi rendu compte à quel point il comptait pour moi. Je le savais déjà. « Non Thym, je ne t'en veux pas, je ne t'en veux pas du tout ... » lorsqu'il ferma les yeux de nouveau, je serrai sa main et m'éloignais lentement sans le quitter des yeux. La pluie s'était arrêtée, j'avais tellement peur pour lui. Tellement peur que mon coeur avait raté plusieurs battement, la panique s'était installé dans ma ronde nocturne ; je faisais les cents pas guettant chaque mouvement significatif de mon ami. Il me manquait déjà. Fort heureusement, Thym s'en est sorti. Sinon, je ne sais pas ce que j'aurai fait. Ce que j'aurai fait sans lui et ses bêtises irréparables dont on se sort constamment. Un peu plus et il aurait terminé dans un fauteuil roulant comme maman ; le pauvre, j'aurai été vraiment désolé pour lui. Il aurait eu du mal, lui qui escaladait toute les façades pour venir me chercher chez moi. Papa n'était pas toujours présent, je voyais maman tout les week-end mais la plupart du temps, je le passais avec Thym. J'avais compris qu'il suffisait d'une minute d’inattention pour perdre ce qu'il y avait de plus cher à nos yeux ; j'ai failli perdre Thym et ça m'a cloué sur place, comme un grand coup de barre. Les fêtes de noël approchaient, avec toute leur joie contagieuse ; même moi j'étais touché par cette joie ce qui m'attendrissait de telle façon que j'avais acheté ce fameux t-shirt dont Thyméo me parlait sans cesse. Ses grands yeux envieux m'avaient tout de suite donné l'idée et je ne pouvais pas m'empêcher d'aimer le voir sourire ; c'était pire qu'un shoot son sourire, on dirait une pub Colgate en direct. Lui, il croquait dans la vie à pleine dents : c'était un téméraire depuis son accident. Il était devenu presque intouchable. Je passais pour un faible à côté, j'étais son copain gay, ça amusait la galerie la plupart du temps. D'autres fois, je me prenais des trucs dans la tête mais ça ne m'atteignait pas plus que cela, Thym était toujours là pour me réconforter et moi, j'étais là pour le défendre. Le sapin était merveilleux, maman avait été invitée par la famille de Thym, j'avais dans cette maison que je connaissais par coeur pour y être resté des heures entières, la réunion de ceux que j'aimais le plus au monde ; ma mère, Thym, la famille de Thym. Les cadeaux trônaient sous le sapin et le dîner avait été délicieux ; je n'étais pas un débutant et j'adorai la cuisine, j'aimais faire exploser les papilles et déclencher des Huumm et des miam. C'était ma vocation. Puis lorsque Thym me lança un clin d'oeil, nous quittâmes la table aussi rapidement que possible pour filer déballer les cadeaux ; la veille c'est mieux tout le monde est là pour profiter du moment magique. Lorsque j'allais ouvrir mon paquet, sa main effleura la mienne. Dans un murmure, Thym me demandait ; « Même si ça ne plaît pas, tu m'aimeras toujours un peu ? » nos rires se mêlèrent avant que je ne pose à mon tour ma main sur la sienne. Je hochais la tête de haut en bas en affichant un sourire amical ; j'avais tellement de mal avec les mots. C'était parce que je prenais tout au premier degrés, et ça me réchauffait le coeur tout en me poignardant l'échine ; il était mon meilleur ami, pas vrai ? L'an prochain, on vivrait au campus de l'université, plus de parents. Plus de papa attardé et de maman gâteau. C'était fini, on devenait des adultes. Des mecs. Même si certaines personnes hésitaient quand à mon sexe, tant pis pour eux, ils ne méritent même pas qu'on se retourne pour les foudroyer du regard. Le papier cadeau tombait en lambeaux sur la moquette, Thym leva le t-shirt et me regarda avec les yeux presque larmoyants. « Andy comment t'as deviné ? » je lui répondis par un clin d'oeil puis il m'attrapa dans ses bras. Je n'allais pas lui dire qu'en regardant ses yeux j'avais vu l'envie pendant qu'on faisait les magasins l'autre jour. Je savais déceler chacune de ses émotions, c'était mon meilleur ami.
Dernière édition par Andreas C. St-John le Mar 26 Juin - 10:33, édité 7 fois |
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V. Bianka-Lynn Hart
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✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 19/05/2012
| Sujet: Re: Andreas ✗ tu me ferais un câlin même si j'étais un cactus ? Lun 25 Juin - 19:32 | |
| Oh ouais, Louis, mon préféré Bienvenue parmi nous |
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Isalyne-C. Grimaldi
isalyne ✇ la perfection existe, j'en suis la preuve.. ✖ PÂTISSERIES VENDUES : 4247
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 26/04/2012
| Sujet: Re: Andreas ✗ tu me ferais un câlin même si j'étais un cactus ? Lun 25 Juin - 21:11 | |
| BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUE :grenouille: |
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