L'estime d'elle-même qu'avait Lennon était juste impressionnante. Alors comme ça, madame pouvait deviner tout ce que ressentait Spencer à propos d'elle ? Il allait s'empresser de lui faire fermer son clapet à la miss là. Il ne se donna même pas la peine de cesser de se rincer le visage pour lui répondre, ça aurait été trop poli. C'est donc en continuant de se rincer la figure qu'il répondit à Lennon ;
« Oooh vraiment ? Quand je dis miasme ? C'est dommage, j'aime bien ce mot ; miasme. On dirait un mélange de miam et de .. Truc en « asse ». Tu vois, ça donne miasme. C'est bizarre tout de même. »
Non non il ne se payait pas la tête de Lennon, c'était tellement pas son genre D'aillleurs Spencer se rendit compte qu'il avait du lui rincer les neurones au passages, parce qu'elle se mettait à faire des truc chelou Quoique non, fausse alerte, c'était juste Lennon... Lennon qui avait envie d'elle, bah oui, quand on a pas de mec dans sa vie on utilise les moyens du bord. Enfin je vais pas vous en faire un récit, je suppose que vous voyez très bien ce que je veux dire.
La rouquine proposa à Spencer de se nettoyer le visage avec le rince doigt. Non mais quelle sadique ! Déjà il l'avait plus le rince doigt. Et puis même s'il l'avait toujours eu, faudrait être dingue pour se rincer le visage avec ça. Oui bon ok, Spencer l'avait déjà fait quelques heures plus tôt, mais c'était pas pareil ! Il n'avait pas eu le choix. Alors que là il y a un beau lavabo blanc-vert à sa disposition C'est donc sur un ton faussement enjoué qu'il rétorqua ;
« Haaaaan trop bonne idéée ! Décidément, t'as que de bonnes idées Lennon. Attends, tu sais quoi ? J'ai mieux qu'un rince doigt pourri avec une mini dose d'alcool. Et si j'allais directement ouvrir le placard qui se trouve juste ici, pour prendre une bouteille de solvant et ma la jetée sur le visage ?  »
Il joignit le geste à la parole et désignant le placard en métal entreposé au fond de la baraque. Il espérait que Lennon comprenne que c'était des sarcasmes, mais bon, faut pas trop lui en demander, elle n'est jamais que.. Bah elle-même, justement.. Ayant terminer de se rincer la figure, il ferma le robinet et s'essuya le visage sur la serviette.

Suscéptibilité du jour, bonjouuuur. Non mais n'importe quoi, juste parce que Spencer avait dit 'miasme', voilà que Lennon se mettait à ronchoner. D'où elle lui disait de se taire ? Il voulait juste être sympa et tout, lui expliquer ce qu'était qu'un miasme tout ça tout ça. Mais non, môôôôdame en avait décider autrement. D'ailleurs, ce n'était pas elle qui décidait toujours de tout ? Aussi, il rétorqua, juste avant qu'elle ne sorte ;
''Hemingway, t'as aucun sens de l'humour, achète toi un vibro !''
Le vibro, 'parait que ça détends Ça avait le mérite d'être clair. Pas très élégant, mais clair. Bon ok, il n'aurait pas dû être aussi explicite dans ses propos. Car ouiiii, il admettait que parfois, il était un tantinet relou. Mais avec de la chance, la rouquine n'avait rien entendu. Il termina rapidos de se débarbouiller -vi, coumme les pitits n'enfants - avant de sortir à son tour. Youpiiii, qu'il se disait, je vais continuer de peindre un putain de mur de merde, alors que je pourrais être tranquille chez moi. Et pour une fois, j'ai rien fait !. Bah oui, pour une fois, il n'avait rien fait de mal, c'était ces 3 gorilles qui lui avaient causés des emmerdes il revint donc prendre place auprès du boutonneux qui, étrangement , semblait avoir peur . Il garda ses distances avec Lennon et continuait son boulot lorsqu'une voix retentit, sur le mur adjacent à celui que les jeunes peignaient. Une voix d'homme, visiblement en colère, débitait très rapidement des paroles.. Peu compréhensibles. Un agent arriva en courant vers lui, et, une poignée de sondes plus tard, un coup de feu retentit. La personne touchée n'était pas l'homme en orange, mais l'agent de police. Une mare de sang se formait petit à petit autour de sa tête. Les gens qui étaient ici n'avaient pas commis de gros délis, et la vue du policier abbattu en effraya plus d'un. Pourquoi un type se mettrait à tirer dans le tas ? Les gens ici étaient tout au plus des voleur de superette, rien de bien méchant. Ce type était juste un détraqué, voilà tout. Il cria au second et dernier agent présent sur place de lui faire glisser son arme à terre, ce qu'il fit. L'homme en orange éait fier de lui, au point qu'il se mit à crier que ceci était une prise d'otage, et que tout le monde devait se réunir face au même mur ; sans quoi il tirerai dans le tas. Spencer n'avait pas envie de finir comme le flic et s'éxécutat, restant interdit.

Après avoir foiré sa tentative d'évasion, Lennon s'aligna auprès des autres personnes. En entendant la rouquine maugréer, Spencer se demandaient quelles étaient les motivations qui poussaient le type à faire ce qu'il faisait. Il en avait vu plusieurs en 3 ans des types de ce genre au FBI. Alors il savait que les causes étaient multiples. Simple besoin d'attention ? À moins qu'il n'ai toujours été traité comme une merde étant gosse, et qu'il tienne à montrer aujourd'hui qu'il est fort. Le plus fort, même. Il opta pour la seconde option, à la vue du poignet rougit de Lennon. Spencer cherchait un moyen pour sortir tout le monde de ce pétrin, mais honnêtement, les idées ne fusaient pas vraiment. Autrefois, il avait tout le matériel nécéssaire à disposition. Tableau, feutres, papier et stylos. Il pouvait s'enfermer et réfléchir, mais pas là. Il ferma les yeux et posa sa tête sur ses genous, essayant de visualiser des hypothèses en se mettant dans la peau de l'homme en orange. De temps à autre, il lui jetait un coup d'oeil, cherchant des tocs ou des moments de doutes dans ses gestes. Spencer se renfermait peu à peu sur lui même, seul moyen de se concentrer. Il avait beau susurrer des hypothèses, il n'arrivait pas à se concentrer comme d'habitude. En colère, il envoya valser un caillou contre la voiture de police. Mais oui bien sûr si le poste de police restait sans nouvelles de la part des agents, ils enverraient une ou plusieurs patrouilles sur place. Maintenant, soit ils restaient tous là à attendre que d'autres flics rappliquent, soit quelqu'undevait tenter quelque chose.. Ce que fit Spencer ;
''Vous êtes le plus fort là, c'est ça ?''
Voyant qu'il avait attiré son attention, Spencer continua sur sa lancée ;
''Vous vous y prenez mal. Réfléchissez, si vous nous tuez tous ou que vous nous prenez en otage, on parlera de vous aux informations et dans les journaux une semaine tout au plus.. ''
Non, Spencer n'était pas dingue. Mais rentrer dans le jeu de ce genre de personne était le meilleur moyen d'obtenir des choses d'elles. Restait à ésperer que cela fonctionne.

Faire cela rappellait de mauvais souvenirs à Spencer, qu'importe, il n'en laissait rien paraître. Et voilà que Lennon s'y mettait, mais crotte de bouc au ketchup, il sait ce qu'il fait, à la fin. Personne n'a confiance en lui ou quoi ? Ne voulant en dire trop, il dit à Lennon, tout bas ;
"S'il y a bien une fois dans ta vie où te devrais me faire confiance, c'est maintenant. Fais moi confiance, bordel !"
Oui enfin là, il en demandait beaucoup. C'était Lennon, elle lui ferait jamais confiance le mec en orange surveillait tout le monde, et lorsque Lennon lui proposa une nuit avec elle contre leur libération, Spencer équarquilla les yeux et ne put s'empêcher de fixer la rouquine. Aaaah mais elle jouait à quoi là ?? Elle pensait que tous les mecs lui tombait aux pieds ? Non seulement sa tentative foira, mais en prime, le type lui rabaissa son caquet. Merci monsieur le pisscopatte il ne put s'empêcher de rétorquer ;
"Merde alors, un mec qui te dis la vérité, ça doit faire mal hein ? "
l'heure n'était pas aux gamineries, mais là, on lui avait tendu une perche. Même carrément.. Qu'est-ce-qui est plus grand qu'une perche ? Une maxi-perche ? Une échelle, voilà. On lui avait tendu une échelle, une graaaande échelle. Baladant son regard autour d'eux, Spencer identifia l'arme de l'homme en orange. Enfin, il ne conaissait pas la marque et la série, mais il était sûr d'une chose ; c'était un trois coups. Et avec de la chance, le mec ne le savait pas. Et si on récapépètte depuis le bédut, en supposant que le revolver ait été chargé totalement.. Une balle dans l'agent de police, une seconde dans l'autre flic et.. 1 balle. Une bon sang de balle :furious: il fallait qu'il lui fasse vider son flingue à l'autre, avant que quelqu'un s'en prenne une ou que le type ne disjoncte. Ah non, ça c'était déjà fait, plus ou moins bref, il fallait détourner l'attention de l'orange géante afin de lui soutirer son arme. Maintenant fallait trouver un moyen. Voyant une canette de bière vide au sol, une idée lui vint. S'il réussissait à l'éblouir un moment, il pourrait courir lui choper son arme. Mais il ne pourrait pas faire les deux à la fois, il aurait besoin d'aide. Lennon étant plus près de la canette raplapla, elle n'aurait que peu de mal à choper cette dernière. Aussi, il lui demanda en essayant de ne pas se faire remarquer ;
"À moins d'un mètre de toi, t'as une canette applatie. Fais la glissée sur le sol et passe la moi."
Spencer prit un caillou dans sa main et ferma le poing dessus pour le cacher, attendant que Lennon coopère.. Ou non. Dans quel merdier s'étaient ils encore fourrés ?

Plusieurs options se présentaient. Soit Lennon était suicidaire, dans ce cas son comportement serait tout à fait normal, soit elle était miro et ne voyait pas que le déglingué avait une arme, chargée qui plus est, soit elle était bornée. Spencer allait lui ouvrir le crâne avec une tronçonneuse pour faire rentrer de force que l'heure était grave, dans son cerveau. Il immaginait bien la scène en plus, le sang, les cris de douleurs de Lennon :furious: :complot: et surtout, il allait faire une grande avancée dans le monde scientifique. Comment un humain peut il vivre avec un cerveau de mouche ? Il sentait déjà l'odeur de pisse du costume 3 pièces du présentateur foireux qui lui remettrait son Pulidzer, qu'il brandirait comme un tromlphée Lennon le fit revenir sur terre en lui rappelant que.. Qu'ils avaient couchés ensembles. Eh oh c'est bon, le message est passé, fin du sujet ! il se défendit et renchérrit ;
"Eh oh elle va se calmer oui ? J'étais pas conssentant, c'était un viol ! "
On va dire ça comme ça hein de toute manière, si Lennon continuait sur cette pente savonneuse - huileuse - peau de bananeuse - cirageuse, Spencer montrerait qu'il a dents, lui aussi par chance, Lennon coopéra - t'façon, elle avait pas vraiment le choix, je suis sure qu'au fond d'elle même elle voulait se tirer d'ici, Spencer le savait - et envoya à Spencer la canette applatie qu'il lui avait demandé. Il la cacha derrière son pied, ayant les jambes fléchies. Il posa son caillou à côté, avant de répondre à Lennon ;
"Je te remercie de t'interesser à mes hobbies, mais côté saloperies, j'ai ce qu'il faut à porté de main "
Il joignit le geste à la parole et tappota l'épaule de Lennon. Mini vengeance vu que cette dernière lui avait refilé tout un tat de.. Miasmes. après quoi, il prit le caillou et la canette de bière posés au sol, et commença à gratter la peinture sur cette dernière. La canette étant faite d'aluminium, cela réfléchissait parfaitement les rayons du soleil. Il grattait la peinture aussi discrètement que possible, prenant garde de ne pas se faire repérer par le type en orange.

De la drogue ! Mais oui, là était la seule explication, Lennon avait drogué Spencer afin qu'il couche avec elle, je ne vois que ça Rigolez pas hein, mon Spencer il couche pas avec n'importe qui... Ou là en l'occurrence, n'importe quoi mais.. Attendez attendeeeez.. Qu'ouïs-je ? Qu'entends-je ? Tu étais bien entreprenant... alors comme ça, Lennon se souvient ? Mais c'est qu'elle aurait apprécié plus qu'elle ne le dit, la cachotière Spencer renchérrit donc ;
"Je suis sûr que tu avais mis de la drogue quelque part, pour violer la première personne qui rentrerait dans la chambre d'hotel que tu nettoyais. Si ça se trouve, tu as fait brûler un bâton d'enscens à l'héroïne, un truc du genre ! "
Hors de quesqtion d'admettre ou même de suputer que Spencer était conssentant. Non non non, Lennon avait forcément user de stratagèmes super chelou pour le mettre dans son lit en parlant de stratagème, Spencer devrait vite en trouver un pour neutraliser le dingue au flingue. Il prit une poignée de sable qu'il applica sur la combi de Lennon juste pour se venger, et se mit à réfléchir. Il avait deux idées ; soit il mettait le feu aux herbes sèches qui étaient derrière le type, chose risquée puisque la voiture des agents de police était juste à côté. Ça aurait fait un joli feu d'artifice au moins. Solution deux, et il aurait besoin de Lennon, il fallait aveugler momentanément le type afin de courir lui choper son arme. Pendant que cette dernière idée serait la bonne, et doutant foooortement avoir deux éssais, Spencer tenta, brûlepourpoint ;
"Lennon, tu pourrais prendre cette canette et aveugler le type suffisemment longtemps pour que je lui prenne son arme ?"
Il fallait qu'elle dise oui, le boutonneux à côté de lui tremblait comme une feuille, il ne pourrait jamais tenir cette canette

Des fois, Spencer s'étonnait lui même. Il allait lui dire quoi à la rouquine maintenant ? Il avait l'air aussi malin qu'un type qui a fait ses courses en prévisions d'une troisième guerre mondiale... Et qui a oublié sa carte de crédit, wondeurfoulle. Ne sachant trop que répondre, il lâcha ;
"Ça ne te regarde pas."
C'était clair, au moins. Pas besoin qu'elle s'éternise sur ce sujet puis de toute façon, elle croirait surement que Spencer est un violeur mais bon, peut-être devait elle mieux penser ça que de découvrir ses secrets. La rouquemoute accepta d'éblouir le type - enfin, pour être exact c'est la canette et le soleil qui éblouissaient le type, pas Lennon - il s'empressa de répondre à Lennon afin de ne pas perdre trop temps, sait-on jamais. C'est donc sur un ton mielleux, assez je-m'en-foutiste d'ailleurs qu'il lui répondit ;
"SteupléMeeeerciiiiii "
Lorsque Lennon commença à chercher la bonne méthode pour aveugler le bonhomme momentanément, Spencer se tint prêt. Il savait qu'il y avait tout de même un risque qu'il tire au hasard sa dernière balle dans le tas, histoire d'effrayer tout le monde. Mais le brunet préfèra se concentrer sur son objectif que d'immaginer un bain de sang. La lumière crue dans les yeux du type, Spencer couru jusqu'à lui pour lui sauter dessus, afin de le plaquer au sol. Dans la précipitation, un coup de feu retentit, la troisième et dernière balle venait d'être tirée.. Je ne sais où. Il fallait espérer que ce soit une balle perdue. Spencer arracha l'arme des mains du type qui plissait les yeux afin de mieux voir, et lui ordonna de se tourner face contre terre, mains dans le dos. Coup de bol, l'homme ne devait pas savoir que l'arme était un trois coups et se retourna lentement. Spencer prit l'arme par le canon et assena au type en orange un coup derrière la tête, suffisemment fort pour qu'il tombe dans les pommes, mais pas assez pour le tuer. Il vérifia qu'il ne l'avait pas fait passer de vie à trépas en prenant son pouls aux carotides, il était toujours en vie. Il se releva, lentement, fixant le détraqué, des fois qu'il se relèverait. Il se mit à fouiner dans le break de police, à la recherche de menottes ou au pire, quelque chose pour l'attacher. Il trouva une paire de menottes et le lui mis ; mains dans le dos.

Quelle journée de dingue. Entre les accusations bidons des anciens collègues du FBI pour faire pression, les coups dans la gueule, la lingette au citron et maintenant la prise d'otage.. Il y a des jours où l'on ferait mieux de rester couché. Ils devaient maintenant tous partir d'ici, mais comment faire ? Le break ne prendraient pas la dizaine de personnes présentes, et la ville était à plusieurs kilomètres de là. Heureusement, Spencer se souvenait des codes à envoyer dans ce genre de situation. Il alluma la radio, expliqua la situation et lança plusieurs codes aux autorités qui répondirent qu'ils arriveraient aussi vite que possible. Vérifiant encore une fois que l'individu était bel et bien neutralisé, Spencer se dirigea en marchant vers les tigeurs.. Des tigeurs appeurés. Mais par quoi ? Le type était menoté, totalement innofensif. En se raprochant, Spencer distingua une tâche rouge sur l'un des tigeurs. Une tâche rouge à l'épaule de Lennon d'ailleurs.. Une seconde, le dernier coup de feu.. ?! Spencer se précipita, s'agenouillant auprès de Lennon. Et merde ! Désolé, il lui fit remarquer, froidement ;
"Tu as dit toute à l'heure qu'un jour tu me connaitrais par coeur.. Dis moi comment tu compte t'y prendre, personne n'y est encore arrivé."
Il lui fit un petit sourire pour s'excuser, enfin ce n'était pas ça qui allait la soigner. À cette pensée, son visage devint grave et il ôta la main de Lennon de la blessure. Le sang coulais, il fallait le stoper rapidement. Il couru de nouveau jusqu'au break, envoya une demande pour une ambulance, joignit les coordonnées du terrain et se mit à retourner le break à nouveau, cherchant une bande ou quelque chose qui s'en approcherait. Il tomba sur une malette en plastique, dans laquelle se trouvait des bandes de tissus, des gazes stériles, des bandes adhésives, une couverture de survie et d'autres objets de premiers soins. Il prit une bande en tissus ainsi que la bande élastique, une gaze et retourna rapidement vers Lennon. Une fois près d'elle, il lui dit ;
"Des policiers arrivent, ils ammènent une ambulance également."
Il regarda la blessure avant de reprendre ;
"Il faudrait que tu enlève ta manche, Lennon."
Attendant qu'elle réponde, il s'excusa, à voix basse ;
"Je.. Je suis désolé, j'aurais dû faire plus attention avant de.. Enfin de le mettre à terre."
Il se sentait, étrangement, horriblement mal à l'aise, en plus, il avait dû s'excuser auprès de Lennon . C'était l'un de ses rêves de trucider Lennon, mais face au fait accompli.. Il aurait préféré se la prendre lui-même, la balle.

Visiblement, le fait de s'être pris une balle dans l'épaule n'inquietait pas Lennon plus que ça. Pourtant, c'était impressionnant quoi, il y avait pas mal de sang, et rien que le fait de se prendre une balle.. Voilà quoi. Lorsque la rouquine lui répondit qu'elle était Superman, il ne pu s'empêcher de rire 3 secondes, avant de rétorquer ;
"Superman elle a un coup dans l'aile, je voudrais pas dire.."
Il lui aurais bien tapoter l'épaule en lui disant que tout allait bien se passer, mais ladite épaule était plutôt... Sensible. :sifle: c'est de sa faute, je sais. Mais apperemment, Lennon allait encore plus le haïr car mademoiselle détestait les hôpitaux. Eh oh fallait bien qu'elle se fasse soigner, et puis là bas c'est moderne c'est pas comme si on allait la soigner à la façon du film "The first loved" d'ailleurs je suis même plus sûre du titre bref, dans ce film on balance du sel et autres truckipik sur des blessures profondes et à vif. Mais attendeeeez, si ça se trouve, c'était ça le perception des hôpitaux selon Lennon voyant qu'elle n'était pas fan des hôpitaux, Spencer tenta de la rassurée ;
"T'aimes pas les hôpitaux mais là tu penses pas en avoir un petit peu besoin ? Je veux dire, même si les filles aiment être à la mode, je pense qu'un trou par balle à l'épaule soit un chouille avant-gardiste."
Ah sisisi, le trou de balle bis à l'épaule faut pas l'attendre avant Été 2025 dans le teenVOGUE US. Lennon sexecuta à déboutonner sa combinaison puis, ne pouvant bouger le bras, Spencer lui ôta sa manche avec précaution. Le brunet déchira ensuite la pochette dans laquelle se trouvait les gazes stériles et essuya le sang autour de la plaie. Le point d'entrée était maintenant visible, mais il fut rapidement masqué à nouveau par le sang de la jeune femme. Spencer s'activa pour terminer le pansement ; il placa deux compresses sur la plaie et la fit tenir en enroulant une bande autour de l'épaule de la jeune femme et de son buste. Ça ferait l'affaire au moins jusqu'à l'arrivée des secours. Terminant d'attacher correctement la bande, il répondit à la rouquine ;
"Faut croire. Après, chacun ses méthodes, les miennes sont plus.. Originales."
Spencer avait dit cela sur le ton de la plaisanterie, comme s'il pouvait lui tirer dessus juste pour la voir nue. Mais apperemment, Lennon, elle, était sérieuse ! Elle continua ses questions chelous en lui demandant.. Si elle pourrait garder la balle. Ma foi, valait mieux ça plutôt qu'elle tourne de l'oeil ou meurt ici. Il lui répondit donc, dubitatif ;
"Ça j'en sais rien. Tu leur demandera."
Il ne releva pas le mot "alliance". Mais en regardant discretos sa main.. Effectivement, elle portait une alliance. une nuée de sable rouge vola au loin, il s'agissait surement des secours et de la police qui arrivaient, il l'annonça à Lennon ;
"T'es sauvée, tu vas pouvoir avoir des vacances sans moi un bon moment, voilà l'ambulance et la police."

Spencer se demandait pourquoi Lennon aimerait avoir une cicatrice. C'est vrai quoi, en général, les filles n'aiment pas avoir des cicatrices puisque ça abîme la peau, et patati et patata. Alors que Lennon, elle, avait l'air de bien vouloir. c'était étrange, toutes les filles que Spencer avait dragué, n'en avaient pas, au passage. aussi, il rétorqua ;
"Attends, tu aimerais avoir une cicatrice ? "
Oui bon, pitètre que lui n'avait rien à dire de son côté, faut dire qu'il avait donné côté cicatrices. Étant gosse, il se faisait beaucoup de mal physique, son corps est aujourd'hui parsemé de cicatrices en tout genre. Sexy, I know Lennon sortit Spencer de ses pensées et, celui-ci lui rétorqua ;
"Attends, parce qu'en plus tu crois que je drague toute les filles comme ça ? la balle a dû te griller un ou deux neuronnes au passage, j'sais pas comment mais le résultat est là ! "
Ah sisisi je vous jure que c'est vrai, Lennon était la première à tester le méthode pot de peinture feat balle dans l'épaule. Après toutes les filles ne se vallent pas. Breeeeef, Spencer s'écarta lorsque les policiers et les brancardiers arrivèrent, afin qu'il puissent aider Lennon. D'ailleurs, entendant la remarque de cette dernière, il lui lança, un chouilla vexé ;
"Eh oh, le service il a fait ce qu'il a pu mais t'inquiète maintenant que tu vas être avec des experts, le service il rentre à San Diego. "
Il hésita à demander un désinfectant, puis renonça. Il tourna les talons, marchant vers San Diego.

Se mordant l'intérieur de la joue, Spencer fit finalement demi-tour, allant vers l'ambulance. Il signala aux ambulanciers qu'il accompagnerai Lennon, ambulanciers qui, visiblement passionnés par leur métier, acquiecèrent d'un haussement d'épaules bref. Ils fermèrent les portes blanches derrière le jeune homme, qui s'installa à côté de l'infirmier qui surveillait la rouquine. Il se sentait limite comme un cheveu dans la soupe là, un pitit peu responsable. Non pas qu'il lui avait lui même tiré dessus, mais il n'y était pas pour rien. Raaaah, mais quel sentiment horriiiible, à mi-chemin entre la culpabilité et la colère. Oui, de la colère contre le guedin qui avait fait tout ça. Puisque après tout, c'est lui qui avait tiré, fait la prise d'otage et tout. Spencer n'avait fait que l'arrêter dans son délire. Tordant sa bouche dans une moue de réflexion, il fut tiré de ses pensées par l'homme en blanc qui finissait d'accrocher diverses éléctrodes et autres patchs sur la jeune femme. Ce dernier demanda à Spencer qui il était par rapport à la victime, ouaaah bonjour le truc mortuaire mais c'est vrai quoi, il allait répondre quoi ? Genre "Oui bonjour alors moi je suis Spencer Wellins , je suis un type qui, après avoir peinturluré la jeune femme que voilà, lui a tiré dessus, enfin c'est pas de ma faute vous voyez, enfait il y avait un mec... " et blablabla et blablabla. Il était qui vis-à-vis de Lennon ? Un ami, oui voilà ça allait le faire ça. À condition qu'elle ne se manifeste pas à ce sujet. il répondit donc ;
"Je suis un ami, j'étais présent ici et.."
L'homme lui répondit en le toisant, lui disant que ça se voyait à sa tenue et son allure.. :ROOHH: Ouais bon ça va, ils étaient ici en travaux d'interêts généraux, pas dans un spa de luxe, fuque, espèce de sale caca de chameau au Tabasco. Il lui aurait volontiers planté une seringue dans les yeux à celui là, sale marmotte du Sahara déshydratée oui je sais, les insultes animalières, ça me connaît. Roulant depuis un moment, Spencer jetai, de temps à autre, des coups d'oeils furtifs à l'éléctrocardiogramme, aux fils qui reliait Lennon à ladite machine et.. À Lennon. Ça lui faisait limite mal de la voir là, surtout qu'il ne s'enlevait pas de la tête que c'était plutôt de sa faute tout de même.

Se mordant l'intérieur de la joue, Spencer fit finalement demi-tour, allant vers l'ambulance. Il signala aux ambulanciers qu'il accompagnerai Lennon, ambulanciers qui, visiblement passionnés par leur métier, acquiecèrent d'un haussement d'épaules bref. Ils fermèrent les portes blanches derrière le jeune homme, qui s'installa à côté de l'infirmier qui surveillait la rouquine. Il se sentait limite comme un cheveu dans la soupe là, un pitit peu responsable. Non pas qu'il lui avait lui même tiré dessus, mais il n'y était pas pour rien. Raaaah, mais quel sentiment horriiiible, à mi-chemin entre la culpabilité et la colère. Oui, de la colère contre le guedin qui avait fait tout ça. Puisque après tout, c'est lui qui avait tiré, fait la prise d'otage et tout. Spencer n'avait fait que l'arrêter dans son délire. Tordant sa bouche dans une moue de réflexion, il fut tiré de ses pensées par l'homme en blanc qui finissait d'accrocher diverses éléctrodes et autres patchs sur la jeune femme. Ce dernier demanda à Spencer qui il était par rapport à la victime, ouaaah bonjour le truc mortuaire mais c'est vrai quoi, il allait répondre quoi ? Genre "Oui bonjour alors moi je suis Spencer Wellins , je suis un type qui, après avoir peinturluré la jeune femme que voilà, lui a tiré dessus, enfin c'est pas de ma faute vous voyez, enfait il y avait un mec... " et blablabla et blablabla. Il était qui vis-à-vis de Lennon ? Un ami, oui voilà ça allait le faire ça. À condition qu'elle ne se manifeste pas à ce sujet. il répondit donc ;
"Je suis un ami, j'étais présent ici et.."
L'homme lui répondit en le toisant, lui disant que ça se voyait à sa tenue et son allure.. :ROOHH: Ouais bon ça va, ils étaient ici en travaux d'interêts généraux, pas dans un spa de luxe, fuque, espèce de sale caca de chameau au Tabasco. Il lui aurait volontiers planté une seringue dans les yeux à celui là, sale marmotte du Sahara déshydratée oui je sais, les insultes animalières, ça me connaît. Roulant depuis un moment, Spencer jetai, de temps à autre, des coups d'oeils furtifs à l'éléctrocardiogramme, aux fils qui reliait Lennon à ladite machine et.. À Lennon. Ça lui faisait limite mal de la voir là, surtout qu'il ne s'enlevait pas de la tête qu'il y était pour quelque chose et il n'osa pas lui adresser la parole, fixant le sol du véhicule.

Mais mais mais mais maiiiis Spencer devait connaître Lennon pour rester à l'hôpital avec elle, sinon il ne pourrait pas rester ! Non pas qu'il kiffait à fond les hôpitaux, mais comme Lennon semblait pas hyper rassurée, -et qu'il devait trouver un moyen de se racheter, quand même - il avait décidé de rester avec elle. Mais visiblement, cette dernière préferait flipper que d'être accompagnée par Spencer. qu'est-ce qu'il ne faut pas enttenre de nos jours tant pis pour elle, il descendrait quand ils seraient arrivés.. Et qu'il se sera fait soigné correctement (oui, parce qu'aux dernières nouvelles, le rince-doigt c'est pas hyper réglementaire et tout). Bref, voulant remuer la couteau dans la plaie, il répondit, narquois ;
"Aaah tu me fais riiiire Lennon, même sur un brancard tu trouves toujours le moyen de me faire rire. Tu me fais tellement rire que j'en oublierais presque qu'on va dans un hôpital froid et blanc."
Pour une fois qu'il voulait être sympa, Lennon faisait genre qu'ils ne se connaissaient pas . Lennon ne doit pas connaître Jean-Pirre, lui il t'apprends que c'est pas bien de trikiter ! Peu rancunier et se doutant que Lennon allait lui faire payer 20 fois son geste, il se contredit lui même en annonçant, juste avant que l'ambulance ne se stoppe ;
"T'as pas à avoir peur des hôpitaux Lennon, ces gens là savent ce qu'ils font."
Sûrement plus facile à dire qu'à faire, et d'ailleurs d'où venait sa phobie de l'hôpital ? il lui poserai la question plus tard car l'ambulance s'étant arrêté, les infirmiers se pressaient pour conduire la rouquine au plus vite en salle d'opération. Quant à lui, il suivit un infirmier qui le prit en charge quelques minutes plus tard.