Jamie, ça n'est pas n'importe qui, c'est ma meilleure-amie et entre nous, c'est la guerre et pas qu'un peu. Nous avons eu une très grosse altercation durant laquelle, n'oublions pas de préciser que j'étais sous l'effet de la drogue, je lui ai écrasé mon poing en pleine figure. Elle ne s'est pas laissé faire et nous nous sommes battues. Depuis, nous nous adressons plus la parole et ça commence vraiment à me peser comme situation. Elle me manque terriblement et j'aimerais bien enterrer la hache de guerre comme on dit ou encore, fumer le calumet de la paix. Nous avons toute les deux nos secrets et nous avons toute les deux mal agi en regardant bien, même si je l'ai frappée la première. Je regrette mon geste mais c'est trop tard car comme on dit, ce qui est fait, est fait. Installée à une table du Dinosaur Café, devant un grand café noir sans sucre et bien corsé, je pense à Jamie et à la manière dont je pourrais essayer d'entrer en contact avec elle. Il est temps que l'on discute, non ?

Déjà quelques temps que je me retrouvais seule avec mes angoisses, avant j'avais ma meilleure amie Spencer elle ignorait mon vraie métier mais je pouvais compter sur elle pour toujours me faire rire et oublier ce quotidien. Il faut dire qu'elle avait craqué après tout mes mensonges, mes départs sans nouvelles elle m'avait enfin fait des reproches je m'y attendais mais pas à ce que ce soit si violent. Je lui avais même courru après en essayant de la cherché et une fois trouvé c'est une énorme claque que j'avais prise ou plutôt un poing puisque qu'elle était drogué et elle ne contrôlait plus rien. Une fois cet évênement passé j'avais choisi de partir en mission pour évacuer. J'étais de retour en ville depuis quelques jours et toujours aucune nouvelle j'allais au Dinausor Café histoire de prendre un peu l'air, j'avais envie d'un capouchino. Une fois entré j'allais vers le contoire et commendais alors que je jettais un coup d'oeil à mes arrières je vis une jeune femme blonde. Spencer ?!

Installée à une table, je sirote mon café en pensant à tout à et rien comme souvent sauf que cette fois-ci, et depuis quelques temps maintenant, mes pensées sont toute dirigée vers Jamie. Je cherche depuis quelques temps à la manière dont je pourrais m'approcher d'elle pour m'excuser déjà et essayer de réparer les morceaux cassés. Je sais que c'est pas gagné d'avance mais pourtant, c'est pas ça qui va m'arrêter. J'ai beau avoir un caractère de chien, je sais reconnaître mes erreurs quand il le faut bien que là, ça vient des deux côtés. Je suis sa meilleure-amie merde et des meilleures-amies, ça n'a aucun secret. Jamie sait tout de ma vie et A à Z et moi, j'en sais qu'une infime parcelle. Elle avait pas le droit de disparaître comme ça sans donner de nouvelle et j'en passe. Faut savoir que moi, de mon côté, j'étais morte d'inquiétude et c'est logique que ma colère se fit montrer même si c'était plus sous l'effet de la drogue qu'autre chose. En temps normale, je suis franche mais j'ai mes limites tandis que défoncée, je n'en ai plus aucune. Quand on pense au loup, on en voit la queue. Quand j'entends la voix de Jamie raisonner, je lève les yeux. Jamie ?

J'avoue que ces dzerniers temps j'avais pas mal de mission ou enfaite une en particulier j'étais sous couverture donc toujours une présence pour ps me faire prendre, je ne pouvais rien dire à Spencer et dieu seul sait à qu'elle point j'en avais envie. Je suportais plus de lui mentir elle était tout pour moi donc je voulais qu'on arrête cette guerre débile qui était énormément de ma faute ces derniers temps. Une fois dans le café je commandais et alors que je jetais un oeil à la salle je vis Spencer, mon coeur fit un bond dans ma poitrine il faut dire que la discution que je redoutais devait avoir lieu et le moment était sans doute venue je devais lui dire la vérité mais elle aussi elle me devait une explication sur l'état dans lequel je l'avais trouvé, elle aussi elle me cachait des choses. Je m'aaprochais et m'asseyais en face d'elle. Je pensais pas te voir là ! .... Comment vas tu ? Je ne savais pas comment lançé la conversation alors je lui offrais un sourire amicale.