Sujet: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 19:13
Winnie Tinsley Grant-Sparrow
« TU OUBLIS UNE CHOSE PRIMORDIALE L'AMI : JE SUIS LE CAPITAINE JACK SPARROW. »
NOM ϟ Grant-Sparrow, mes parents ont toujours fait dans le compliqué. ; PRÉNOMS ϟ Winnie Tinsley Sawyer ; SURNOMS ϟBubulle (ma Bebelle exclusivement ), Wiwi (c'est parti Oui-Oui!) Nini, Nounouche et tous les dérivés qu'on peut trouver. ; AGE ϟ vingt-deux ans. ; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ dix-neuf août à New-York, USA. ; NATIONALITÉ ET ORIGINES ϟ américaine pure souche. ; SITUATION AMOUREUSE ϟ consulte mon profil sur meetic. ; PROFESSION ϟ interne en médecine. ; ORIENTATION SEXUELLE ϟ hétérosexuelle. ; PARTICULARITÉ ϟ elle s'est fait tatoué Belle des supernanas au creux du rein lors d'une soirée arrosée. ; AVATAR ϟ blake lively ; GROUPE ϟ les diplomates caramélisés.
PRENOM ϟ loulou !; PSEUDO ϟ paper brain ; PAYS ϟ francia; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ϟ j'ai suivit le projet de très près ; COMMENT TROUVE-TU LE DESIGN ϟ magnifique !; INVENTÉ OU SCENARIO ϟ inventé PRÉSENCE SUR LE FORUM ϟ 7/7j; CODE DU RÈGLEMENT ϟ validé bitch
Dernière édition par Winnie T. Grant-Sparrow le Mer 20 Juin - 16:36, édité 4 fois
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 19:13
once upon a time ...
YOU MAY SAY I'M A DREAMER, BUT I'M NOT THE ONLY ONE.
Assise sur le rebord de la fenêtre, la fillette âgée de huit ans regardait en direction de sa mère, marchant sur la plage, son téléphone coller à l'oreille depuis bientôt une heure. Winnie était plus qu'habituée, voyant chaque jour que dieu lui offrait une longue liste de noms défiler sous ses petits yeux verts. Combien de déjeuner familiaux avaient été annulés à cause de cette liste ? Combien de rendez-vous avec les professeurs ? Combien de sorties mère/fille ? Combien de fois la blondinette avait-elle manger seule au bout de la longue table de la salle à manger, avec comme seule compagnie une rose posée en plein milieu de la table, qui perfectionnait l'élégance de la pièce décorée avec goût. Tout était minutieusement étudié, allant d'un grand tableau longeant le mur en face de la grande baie vitrée jusqu'aux pieds de chaise ornés d'or. Sa famille était bourgeoise, ce qui, parfois, n'était pas pour lui déplaire. Elle avait tout ce qu'elle souhaitait. Une éducation, un chien, une grande maison donnant sur la plage, trois salles de jeux et un lit baldaquin décorés de rubans roses. Mais aujourd'hui était un jour spécial. Elle avait huit ans aujourd'hui. Habillée d'une robe de princesse, sa tête blonde décorée d'un diadème, elle regardait sa mère rire avec un client, puis la montre du salon qui indiquait déjà seize heures trente passés. Elle sentait ses yeux lui piquer, pourtant elle ne pleura pas. Non, ce n'était pas le genre de Winnie. Jamais elle ne se laissait aller ainsi, même dans une situation aussi dramatique pour une petite fille. On le lui avait apprit. Alors elle attendit. Une heure, encore une autre, jusqu'à ce qu'enfin sa mère revint vers elle, un sourire contrarié aux lèvres. « J’ai plus de batterie ma chérie, je vais devoir le rappeler dans la voiture. Tu viens on y va ? » Incapable d’adresser une parole gentille à sa mère, Winnie se contenta de descendre de son perchoir et de filer vers la voiture, la tête baissée et le regard noir. Bien sûr, Eddie Grant ne remarqua rien, riant encore d’une blague que venait de lui faire son client. Elle s’assit sur le siège passager, bien que cela lui soit interdit. Après une évacuation express, elle se retrouva à l’arrière, et regarda sa maternelle s’énerver contre la technologie qui ne lui permettrait pas de rappeler cet homme si important qui ne lui apporterait sûrement rien d’autres que des emmerdes. Elle finit par abandonner dans une insulte, et regarda sa fille dans le rétroviseur. « Ne t’inquiète pas, je suis sûre qu’ils t’attendent avec impatience. Je n’ai jamais vu une princesse aussi jolie que toi ma puce. » Elle ne voyait pas la colère de la petite. Cela n’étonnait pas cette dernière ; sa mère se voilait la face sur beaucoup de choses. Comme par exemple, sur ce que faisait son mari en ce moment même. Avec une blonde, peut-être une brune ? Mais certainement pas à un séminaire. Winnie sourit à cette pensée. Elle se mit ensuite à rire, un rire joyeux qu’une enfant ne sortait quand de rares occasions franches. Puis elle reprit l’air renfrogné qu’elle arborait depuis le début du voyage, sous les yeux admiratifs de Madame Grant. Elles arrivèrent à dix-sept heures trente au mini disneyland que papa lui avait fourni pour son anniversaire. Cela réunissait quelques crétins déguisés en personnages disney, deux trois attractions intéressantes et un grand goûter. En sortant de la voiture, Winnie entendit les rires de ses amis fuser de toute part. Cela devait débuter sur les coups de quinze heures. Sa mère sortit avec son portable à la main, ayant finalement trouver de quoi le recharger. Winnie resta plantée là, à la regarder. « Mais qu’est ce que tu fais Wi', va donc jouer avec tes amis, tu les as déjà suffisamment fait attendre ! » Adressant un sourire faux à sa mère, qui avait déjà replongé son regard dans ses mails, la blondinette tourna les talons et se dirigea vers le parc d’attraction.
SOMETIMES WE HAVE TO SEE FOR OURSELVES. WE HAVE TO MAKE OUR OWN MISTAKES. WE HAVE TO LEARN OUR OWN LESSONS.
« T’as quoi à me proposer aujourd’hui ? » « Ca dépend, t’as envie de quoi ma belle ? » Souriant aux propos de son fournisseur, Winnie, déjà bien amochée par l’alcool, adressa un regard gourmand au jeune homme à peine plus âgé qu’elle. Il lui refila un paquet de petites pilules vertes, gravées de petits dessins tous plus attrayants les uns que les autres. Lui tendant largement plus que ce qu’il lui avait demandé de payer, elle tourna les talons soulevant la petite pochette par dessus son épaule pour mieux distinguer leur forme. Souriant, elle les mirent dans sa pochette, avant de rentrer à nouveau au Select, une boîte de nuit très animée et pas vraiment réputée. Cela faisait un an qu’elle était rentrée. Un an qu’elle était revenue de sa cure, un an qu’elle avait accouchée, un an qu’elle s’occupait de Jude tant bien que mal. Bien sûr qu’elle avait conscience que ce qu’elle faisait était irresponsable. Bien sûr qu’elle le savait en ce moment même seul dans sa chambre, à verser toutes les larmes de son corps parce qu’elle ne savait toujours pas comment le calmer. Elle n’avait que dix-neuf ans à cette époque. Elle avait eut la pire mère au monde, elle ne pouvait être que la pire mère au monde. Elle s’était évadé de sa prison dorée sous les coups de deux heures, après avoir passé trois bonnes heures à tenter tous les moyens possible pour calmer les ardeurs de son fils. Elle avait prit la voiture de sa mère, prit le babyphone -ce qui était inutile vu où elle allait- et avait adresser un clin d’oeil habitué au gérant de la boîte, en tant que cliente fidèle et courante. Après cinq bons verres de tequila, elle avait décidé de rentrer à contre coeur, après s’être rendue compte qu’elle se faisait pelotée dans les toilettes à côté de la salle vip. Elle rentra sans encombre, bien trop habituée pour avoir un accident ou même pour se faire repérer par ses parents en claquant la porte. C’était son quotidien, mais ce soir-là, c’était sa première vrai cuite après la naissance de Jude. Ca n’avait pas été simple de résister à la tentation et ces mois venaient de partir en fumée. Elle monta les escaliers sans un bruit, se dirigea vers sa chambre et en ouvrant la porte, découvrit sa mère, Jude dans les bras, enfin calme. Elle se redressa, presque fière de son état, se retint contre la porte pour éviter de tomber. « C’est bon je crois que je vais pouvoir m’en occuper maintenant, tu peux y aller. » « Où tu étais ? » « Ca c’est pas tes affaires. » C’était devenue une bataille quotidienne entre Winnie et sa chère mère. Que des piques, des insultes, des méchancetés. Et ce n’était pas prêt de se terminer. Se dirigeant vers celle-ci, elle fut stopper par Eddie, qui recula d’un pas comme pour protéger son petit-fils. « Et maintenant tu permets j’aimerais prendre mon fils. » « Regarde-toi Winnie, tu tiens à peine debout. Ne compte pas sur moi pour te laisser la responsabilité d’un gamin de douze mois. » Regardant sa mère avec dédain, elle tenta de ne pas se mélanger dans ses mots, ce qui devenait compliqué. « Parce que tu veux jouer à la mère responsable maintenant ? Je suis désolée mais t’as raté le coche, alors maintenant arrête de m’emmerder et donne moi mon fils. » Son regard s’était assombri, comme à chacune de leur dispute. Sa mère paraissait livide, presque outrée face au comportement de sa fille. Elle savait déjà que c’était peine perdue que d’essayer de la retenir. Au lieu de déposer l’enfant dans les bras largement trop ouverts de la blonde, Eddie le posa dans son berceau, avant de s’essuyer les mains et d’affronter une dernière fois le regard rendu fou par l’alcool et la drogue de sa fille et de sortir de la chambre. Souriant face à la faiblesse de sa mère, Winnie s’approcha du berceau, se penchant vers le petit garçon blondinet qui dormait à poings fermés. Déposant un baiser maladroit sur son front, elle lui caressa la joue, et le regardait. « T’inquiète pas, jamais je la laisserais te faire ce qu’elle m’a fait. »
I BELIEVE THAT BELIEVING WE SURVIVE IS WHAT MAKES US SURVIVE.
Il est 5h30 du matin, le réveil sonne, la journée commence. Le soleil ne s'est pas encore levé sur la ville de San Diego que Winnie repousse ses couvertures. Elle part se doucher, son bipper sonne. D'une main en dehors de la cabine de douche, elle regarde ce qu'on lui veut de si bonne heure. Sa garde de 48 heures est censée débutée dans une heure mais le destin semble en avoir décidé autrement. Elle appelle la nourrice un peu plus tôt que d'habitude, déjà en retard. Jude dort à côté, il est dans le lit de sa mère, il n'arrivait pas à dormir hier soir. Elle allume la télé et met les dessins-animés tout en avalant son café. Olivia se dit en bas de chez elle mais Winnie l'attend encore. Par un excès de bonté, la blonde prépare le petit déjeuner de Jude, sa bonne action du jour. Mon fils, ma bataille ne s'applique pas à tous. Elle avait beau l'aimer, avoir un enfant pour une interne en chirurgie n'était pas l'idéal. Elle était destinée à tellement plus, elle le savait. Olivia sonne enfin à la porte, Winnie sort alors que la jeunette entre. Elle lui indique rapidement que Jude n'est pas dans sa chambre aujourd'hui, qu'elle a été faible encore une fois en le laissant dormir avec elle. Elle ne reste pas écouter les moqueries de sa nounou, elle se contentera de baisser à nouveau son salaire. Elle monte dans sa voiture en bataillant quelques instants avec sa ceinture restée coincée dans le siège enfant de derrière. Elle tire un bon coup et démarre le contact, fonçant vers l'hôpital de San Diego. Son bipper sonne à nouveau lorsqu'elle se gare sur le parking réservé au personnel. Elle s'apprête à sortir lorsqu'elle remarque un énorme bouton sur son front. C'est moche. Attrapant la boîte de pansements qu'elle réservait à son fils dans la boîte à gant, elle en colla un joli à l'endroit du désastre. Un winnie l'ourson. Drôle. Elle arriva dans les vestiaires alors que les autres en sortait et rapidement elle enfila sa chemise et son pantalon d'un bleu commun à tous les internes ici présents. On s'y habitue avec le temps. Elle entamait sa deuxième année d'internat, la dernière avant son entrée dans le rend des résidents. Elle ferma son casier et partit rejoindre le reste du groupe qui commençait déjà les visites. Son résident la foudroya du regard avant de lui demander de faire le profil du patient. « Teddy Manson, 36 ans, admis pour une greffe cardiaque à cause d’une cardiomyopathie virale. Ce qui signifie que son coeur ne pas le sang normalement. » En quelques secondes, elle venait de se faire pardonner son retard et de se procurer une chirurgie géniale. Les visites continuent jusqu’à ce que son beau brun préféré l’attire jusqu’à la salle de repos. Berlioz et elle, c’était une histoire de cul. Ce qui peut sembler assez étrange vu ce qu’il s’était passé l’année dernière avec cette patiente, Jules. Ils l’avaient mené à la mort plus vite que prévu, un mauvais dosage. Jamais personne n’avait découvert leur erreur, Jules avait été jugé ‘prête à partir’, c’était un accident pour tout le monde. C’était un accident. Ou en tout cas, elle semblait s’en convaincre. Pour compenser la culpabilité, vous avez deux choix : vous terrez au fond de votre lit jusqu’à la fin de vos jours, ou faire face. Et ils avaient fait face, ou plutôt, ils avaient fait corps. Elle sourit alors qu’il la plaque violemment contre le mur avant de venir rejoindre ses lèvres. Elle enlève sa chemise alors qu’il commence à délasser le lacet de son pantalon. Il l’attrape sous les fesses et l’amène jusqu’au lit bancale normalement destiné à des activités plus douces. Les préliminaires n’ont pas lieu d’être dans un hôpital, le temps manque, ils se rattraperont plus tard. Elle est encore à moitié habillée lorsque son bipper sonne une nouvelle fois. Il râle mais ne bouge pas. Il descend ses baisers dans son cou alors qu’elle regarde l’écran au dessus de son épaule. Le nom d’Olivia apparait sur l’écran et Winnie se raidit. Elle dépose un rapide baiser sur les lèvres de Berlioz avant de le repousser pour récupérer sa chemise et son bipper. « Wi! Ca fait une semaine que j’attend ça, j’ai autant besoin de toi qu’un patient déjà froid! » « On remet ça à demain, c’est promis. » Elle n’attend pas sa réponse, il se laisse retomber sur le lit, frustré au possible. Elle s’enferme dans la salle de repos d’en face et regarde à nouveau le message que lui a laissé sa nourrice. Bien sûr Berlioz ignorait tout existence d’un fils de quatre ans dans l’appartement de Winnie. Et ça ne changerait pas de si tôt.
Dernière édition par Winnie T. Grant-Sparrow le Mer 20 Juin - 16:37, édité 5 fois
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 19:14
WINNIIIIIIIIIIIIE :couche4: :couche4: rebienvenuuuuuuue ma persoooooon berlioz et winniiiiiiie dans la salle de repoooos :couche4:
Isalyne-C. Grimaldi
isalyne ✇ la perfection existe, j'en suis la preuve..
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 19:23
REUUUUUUUUUUUUH je change en quoi ton pseudo?
Noëlya O. Archibald
et puisqu'on n'atteint pas le ciel à moins de s'y brûler les ailes.
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 19:53
BLAAAAAKE REEEEE Hâte de voir la suite
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 19:59
Berlioz M. Davenport a écrit:
WINNIIIIIIIIIIIIE :couche4: :couche4: rebienvenuuuuuuue ma persoooooon berlioz et winniiiiiiie dans la salle de repoooos :couche4:
BERLOZIIIIIIIIIE :couche4: :couche4: :couche4: salle de repos shut up you're my person
J-Z. Azur-Mayson Kerwood a écrit:
REUUUUUUUUUUUUH je change en quoi ton pseudo?
MERCIIIII AZURETTE alors euh Winnie T. Grant-Sparrow s'il te plaiiit :couche4:
Noëlya O. Archibald a écrit:
BLAAAAAKE REEEEE Hâte de voir la suite
JUMELLE merci beaucouuup :sourire: et évidemment on se réserve un lien entre bombasses sexuales
Isalyne-C. Grimaldi
isalyne ✇ la perfection existe, j'en suis la preuve..
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 20:28
Voilà madameeeeeeee
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 20:29
merciiiii honeyyyyy
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 20:37
Saluuuuuut la moche ** On garde notre lien ? Jeeeee t'aime,tu m'avais trop manqué,va falloir qu'on rattrape le temps perdu Et bon retour parmi nous ma grosse.
A. Elijah McKnight
Leave no man behind☆
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 20:40
Re bienv'nue à toi ^^
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 20:45
(re)bienvenue.
Silver Z. Avery-Leeds
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 20:59
reee et excellent choix :hii2:
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:03
(Re) Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche :cochon:
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:04
Kendall S. Lowds a écrit:
Saluuuuuut la moche ** On garde notre lien ? Jeeeee t'aime,tu m'avais trop manqué,va falloir qu'on rattrape le temps perdu Et bon retour parmi nous ma grosse.
mon moooooooooche, mojo jojoooooooo :couche4: :couche4: sûr qu'on garde notre lien Moi aussi je t'aaaaaaaaaaaime, tu m'as manqué fort fort, maooon merci mon gros
A. Elijah McKnight a écrit:
Re bienv'nue à toi ^^
merci beaucoup
S-A. Trish Holloway a écrit:
(re)bienvenue.
merci beaucoup
B. Trinity-Rain Wayne a écrit:
reee et excellent choix :hii2:
merciiii trini' :couche4:
et merci Loup-Ann
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:05
Bienvenuuuuuue
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:06
merci beaucoup Alek
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:16
BITCHYYYYYYYYYYYYYYYYYY lien attendu bien évidemment rebienvenue bitch de mon coeur
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:25
MA BITCHYYYYYYYYYY il était temps que tu ramènes tes jolies fesses ici lien obligatoire oui merci ma bitchy de mon coeuur
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:32
ouais je sais mais tu sais que j'suis toujours à la bourre moi :couche4:
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Sujet: Re: winnie grant-sparrow ∞ sorry, i get mean when i'm tired. Lun 18 Juin - 21:40