« - Et pourquoi vous avez posé le carrelage ? Il fallait faire passer les évacuations d’eau, d’abord ! Va falloir tout recasser maintenant.
- Ah monsieur Malococsis, j’suis pas architecte moi, j’suis carreleur. On me dit de carreler, je carrèle, on me dit de pas carreler j’carrèle pas. » zelda et rayburn ♥

Généralement, le jeune homme travaille la nuit en tant que barman dans une boite de nuit de grand renommé sur San Diego. Mais, il avait pu avoir un long week-end de trois jours et c'est pour cela aussi qu'il profitait depuis de ses trois fameux jours de ramener de jeune minette écervelés chez lui, enfin dans l'appartement qu'il partage généreusement avec Zelda. Une jeune femme qu'il aime bien faire tourner en bourrique et la faire vache par la même occasion. Quand il dit la rendre vache, il veut dire par la qu'il essaye de la rendre complètement folle en quelques sortes. Passons, si vous lui permettez. C'était sa dernière grasse matinée, si on peut appeler cela ainsi. Étant donné, qu'il devait être dans les environs de 07h30 - 08h00 du matin quand soudain Rayburn vient à sentir la lumière qui venait directement de dehors venir caresser son visage mal réveillé. Elle n'avait donc peur de rien cette brunette, elle savait qu'elle risquerait de gros dégâts permanent à vouloir faire ce genre de choses envers le jeune damoiseau qu'il était. Après avoir compris que quelqu'un avant finalement ouvert les rideaux de sa chambre pour le réveiller, Rayburn vient à s'accouder tranquillement sur son lit avant de fixer Zelda dans les yeux. Le jeune homme qui était déjà de mauvaise humeur et c'était pas un bon signe pour la journée.

« - Et pourquoi vous avez posé le carrelage ? Il fallait faire passer les évacuations d’eau, d’abord ! Va falloir tout recasser maintenant.
- Ah monsieur Malococsis, j’suis pas architecte moi, j’suis carreleur. On me dit de carreler, je carrèle, on me dit de pas carreler j’carrèle pas. » zelda et rayburn ♥

Foutage de gueule. Cette phrase était celle d’ordre qui raisonnait dans l’esprit de la belle rousse de l’appartement numéro #24 de l’immeuble Woody Allen. Deux jours qu’elle se coltinait ce bon à rien, ce paresseux, ce… nous allons nous arrêter là cela pourrait choquer les plus jeunes. Pour résumé, la belle rousse, qui portait le délicieux nom de Zelda, oui comme le jeu vidéo, avait un gros ras le bol à crier au monde entier de si bon matin. Réveillée de manière spécial, un pète d’un chat en pleine face c’est très spécial comme réveil vous l’admettrez. Ce réveil s’en suivit d’une course poursuite à travers l’appartement, mais le fourbe –autant que son idiot de maître- s’était réfugier dans les jupons, enfin-là plutôt dans le monticule de linge sale de monsieur Bardsley, dans la chambre de ce dernier. Elle avait eu beau pestiférer des menace de mort contre l’animal celui-là n’était pas sorti de sa cachette. Contrariée, voir furax, Zelda était partie se préparer un café qu’elle allait utiliser pour bien faire comprendre aux deux monstres de sa vie qu’elle ne se laisserait pas faire. Munie d’une tasse tiède de café et surtout bien odorante elle entra dans la ZONE. Vous savez souvent dans votre vie vous rencontrer des lieux infestés de truc abominable que personne n’y met les pieds, et bien pour miss Stone c’était ça la ZONE, la chambre de Mister Bardsley. Elle déposa en poussant du bout du pied, ce qui se trouver sur ce qui devait être une table de nuit, la tasse pour que l’odeur chatouille les narines du démon de la ZONE. Et avec un courage sur humain elle ouvrit les rideaux pour affronter le capharnaüm de la pièce. C’était bien la ZONE d’un mec, elle était bordélique mais pas autant –ça c’est qu’elle croit-. Elle fixait avec haine la tête brune qui venait de se lever et se précipita sur lui telle une furie. Sans une parole et déversa le café, dont l’odeur, elle le savait, horripilait son colocataire. « La prochaine fois que ton satané chat s’introduit dans ma chambre et me pète au nez, je te vide de l’eau des chiottes sur la gueule et ton matou passe par la fenêtre ! » Et cela sous entendait que ça risquait de faire mal pour la bestiole, car jeter du 6ième étage même pour un chat il était peu probable qu’on le récupère vivant. Une fois ses paroles proliféraient elle quitta la ZONE. Et alla se préparer un autre café. La journée débutait sur les chapeaux de roues.

« - Et pourquoi vous avez posé le carrelage ? Il fallait faire passer les évacuations d’eau, d’abord ! Va falloir tout recasser maintenant.
- Ah monsieur Malococsis, j’suis pas architecte moi, j’suis carreleur. On me dit de carreler, je carrèle, on me dit de pas carreler j’carrèle pas. » zelda et rayburn ♥

Généralement, le soir je m'endors avec Tigrou mon petit chat mais, hier il ne m'avait pas rejoins il avait dû préférer traîner dans le salon où aller faire chier ma colocataire poilue et qui pu le raz mort aussi. Bref, je dormais encore paisiblement quand soudain je sentais le soleil venir caresser mon visage délicatement. D'ailleurs je m'étais accoudé rapidement pour fixer la demoiselle qui se tenait devant mes yeux à ce moment précis avant de me rallonger pour me cacher sous la couette. Au final, j'étais loin de me doutait que j'allais me recevoir une tasse de café chaude sur la tronche -en quelques sortes- elle se risquait à un jeu dangereux la petite rousse où plutôt l'espèce de babouin décolorée. Du coup, je me lève totalement énervé suite à cet événement qui avait ruiné sa grasse matinée du moins sa dernière grasse matinée. Puisque dès demain il devait aller remplacer un professeur de sport à l'université. Bref, à cet instant précis je dois avouer que mon chat je le haïssais au plus haut point mais, d'un autre côté je l'aime tellement cette petite boule de poil roux que je ne pouvais pas l'engueuler. Puis quand je viens à entendre les paroles de la demoiselle, je viens à éclater de rire avant de me lever pour finalement rétorquer. « La prochaine fois que tu me réveilles pour des conneries pareilles tu pourras déguerpir d'ici rapidement, tu m'as compris ! Et si tu touches à un seul poil de Tigrou, ça se pourrait bien que le soir-même tu retrouves Link dans ton assiette.» Dis-je avant d'attraper un boxer de rechange pour ensuite la regarder filer dans la cuisine pendant que moi je me faufilais dans la salle de bain pour prendre une douche pour retirer tout ce café qu'elle venait de me renversait comme une attardé mentale. Après une vingtaine de minutes sous la douche, je viens à sortir de la salle de bain vêtu d'un simple boxer après avoir mis mes habits dans la machine à laver et d'aller dans la cuisine pour me préparer un café tranquillement tout en caressant mon chat vu qu'il venait de me rejoindre comme-ci rien ne c'était passé y a quelques minutes de cela maintenant.

zelda et rayburn ♥

Joyce Jonathan: Je ne sais pas

Non mais elle était en train d’hallucinée ce n’était pas possible autrement. L’autre macaque sans poil il rigolait alors qu’elle venait de lui verser une tasse de café bien chaud sur la tronche. Que la vie était injuste elle avait nullement réussit à le faire enrager de si bon matin, ce n’était vraiment pas drôle. La roussette en avait presque envie de pleurer de ce foutage de gueule monstre. « La prochaine fois que tu me réveilles pour des conneries pareilles tu pourras déguerpir d'ici rapidement, tu m'as compris ! Et si tu touches à un seul poil de Tigrou, ça se pourrait bien que le soir-même, tu retrouves Link dans ton assiette.» Et nia nia et nia nia, toujours la même menace. Cela voudrait-il dire que Zelda l’avait poussait au bout de ses limites et de ses menaces ? Il n’était guère imaginatif. Pfff elle allait surement s’ennuyait à rester avec lui. Elle prêta même pas à la sans gêne qu’il prenait à se rhabiller devant elle d’un sous vêtement. La galanterie était surement passé de mode que pouvait-elle faire contre ça. Vraiment rien d’intéressant à voir où à faire dans la ZONE, Zelda partie se préparer un petit déjeuné. Elle comptait bien virer ce bon à rien pour son unique journée de repos à fin de potasser ses notes afin de passer le concours qu’elle rêvait de réussir. Mais pour qu’elle réussisse à bosser elle ne devait pas avoir un singe dont le QI avironnait celui d’une moule, être dans ses pattes, et si elle pouvait aussi le matou le plus dégueulasse du monde ça aurait été le rêve. Avachi bol de céréale à la main elle fixait l’arrivée imminente de Rayburn dans l’encadrement de la porte. Son cerveau était en pleine ébullition. Elle essayait de trouver divers stratagèmes pour le mettre dehors. Les uns étaient brillant bien plus que d’autres, mais déjà utilisé sur sa personne. Zelda rageait, elle ne trouvait pas le moyen de se débarrasser de ce parasite. « Si seulement il existait un produit contre cette puce sérieux…, se lamenta-t-elle. » Elle soupira d’un air déterminé et alluma sa PS3 peut être que qu’une partie Wii sport allait l’aider à trouver une solution. Elle se mit alors à penser que si seulement une partie pouvait l’éjecter de l’appart ça aurait été trop bien. Et puis si seulement Link pouvait jouer avec elle ça aurait bien, le seule partenaire de jeu c’était ce primate de seconde zone…. MAIS C’EST CA. Voilà la solution, que dit, la brillante solution pour jarreter Rayburn de l’appart. Elle n’attendit même qu’il comprenne qu’elle le suivait et lui sauta au cou et d’une voix mielleuse dans son dos. « J’ai un défi. Une partie à la Wii, le gagnant gagne l’appart pour la journée ! » Elle n’y allait jamais par quatre chemin, elle détestait tourner autour du pot, surtout pour une chose si simple. Elle se détacha de lui, d’une car si c’était peut-être une occasion pour le fourbe de Ray’ de lui voler encore un baiser, et de deux car ce nudiste exhibait encore son corps de lavette. Tsss, il ne connaissait surement pas les vêtements dans la ferme d’où il venait selon elle. « Alors partant ? » Elle se posa sur le plan de travail à côté de lui –pas de chichi entre ces deux là- et lui piqua une tartine de pain qu’il venait de beurrer.

« - Et pourquoi vous avez posé le carrelage ? Il fallait faire passer les évacuations d’eau, d’abord ! Va falloir tout recasser maintenant.
- Ah monsieur Malococsis, j’suis pas architecte moi, j’suis carreleur. On me dit de carreler, je carrèle, on me dit de pas carreler j’carrèle pas. » zelda et rayburn ♥

Joyce Jonathan: Pas besoin de toi

Certes, je manquais généralement d'imagination pour envoyer balader les gens mais, c'est aussi comme-ça qu'on m'aimait à la basse. Après c'est sûr que ça reste encore à voir. Surtout avec cette roussette, elle me faisait tourner en bourrique mais, pourtant j'ai ce sentiment inexpliqué envers elle. Un sentiment que j'avais plus jamais ressenti pendant des années, où plutôt un sentiment que j'avais préféré oublier suite à une histoire d'amour dramatique. Bref, je venais en quelques sortes de lui mettre un vent immense, une rafale en toute beauté. Elle venait de me renversait une tasse de café bouillante mais, ça m'avait rien fait à partir m'être éclater de rire suite à ses paroles. Elle n'avait très certainement pas apprécié mais, d'un autre côté je m'en fichais un peu. Après ce maigre foutage de gueule, je viens à me changer sous les yeux écarquillé de la demoiselle puisque je n'avais aucune pudeur pour elle. Puis ça lui montrait aussi que je n'avais pas un tout rikiki kiki. Ça lui fermera le clapet quelques minutes, c'est déjà assez bien à mes yeux. Bref, après être sorti de ma chambre je viens à me faufilé dans la salle de bain pour prendre une bonne douche pour enlever le café chaud qui traînait encore sur mon corps d'apollon. Je pensais être au final tranquille tout seul dans l'appartement mais, voilà à peine sortir de la salle de bain qu'une silhouette vient me sortir dans le dos en me disant qu'elle voulait faire une partie de Wii en laissant un défi totalement puéril mais, qui me boté bien. Mais, avant toute chose je me devais de prendre un bon petit-déjeuner c'est-à-dire un bon café, une bonne tartine et un jus d'orange. Sauf que ma tartine elle venait de me voler ma tartiné pour la bouffée en traître. Je ne préférai rien dire pour éviter une seconde guerre mondiale avec la roussette. Je viens donc à me faire une autre tartine de nutella avant de croquer dedans et d'entendre les secondes paroles de celle-ci. « Si je suis partant ? Tu ne peux même pas imaginé comment ma face de rat. » Dis-je en buvant quelques gorgées de mon café au lait tranquillement en ayant ce petit sourire en coin que toutes les femmes raffole.

zelda et rayburn ♥

Joyce Jonathan: Je ne sais pas

Impatiente, Zelda trépignait d’impatience telle une gamine le matin de noël. En la regardant de plus près, on aurait pu dire qu’elle avait tout d’une gamine, sa peau pâle, style porcelaine faisait ses pommettes légèrement rougies. Pourquoi elle ne savait pas vraiment mais quand il lui avait souri ainsi, elle avait cru que la température de la pièce avait brusquement montait. Elle fit comme si de rien n’était, et sauta sur ses pieds, faisant rebondir au passage ses jolies boucles rousses au-dessus de ses épaules. « Tu vas voir ce qu’elle va te faire la face de rat, espèce de limace visqueuse ! » Elle accompagna ses paroles par un joli sourire, très rare chez la demoiselle qui ne souriait rarement pour le plaisir. Elle fila dans le salon et s’arma de sa jolie manette bleue turquoise en attendant la larve de Rayburn. « Sérieux Bradlsey ta maman elle t’a jamais appris à ne faire attendre les gens surtout une fille ? » Miss Stone adorait le taquiner, c’était un de ses passe-temps favoris. Cela ne faisait que trois mois tout plus qu’ils cohabitaient, et même si cela semblait tumultueux entre eux, elle se déplaisait pas avec lui. Bon les gros inconvénients étaient que d’une, monsieur était populaire avec les filles et que les conversations tournaient très vite autour de ce sujet. Pas que cela déplaisait Zelda, mais c’était tellement inintelligent comme sujet qu’elle s’en passait bien. Le second gros inconvénient était probablement qu’elle n’aimait pas sa façon de se comporter quand elle l’ignorait. Monsieur Rayburn était du genre, selon elle, à être le centre de l’attention de tout le monde, et quand elle avait le malheur de l’ignorait il venait la charger comme pour lui signaler qu’il existait. Oui elle le savait ça mais si elle lui prêtait pas attention c’était qu’elle était occupée à faire quelque chose. C’était pour cette raison qu’en ce si bon matin elle avait tout fait pour trouver une raison de le virer pour pas qu’il l’embête, et c’était un gros pro de l’emmerde. De plus une petite partie de Wii du matin l’avait mis dans une très bonheur humeur. Trop rares étaient ses moments où il acceptait de jouer aux jeux vidéo avec elle. Quand il acceptait c’était toujours car Kendall son meilleur ami était venu jouer avec Zelda et comme un enfant possessif, il s’incrustait pour veiller au grain que Zelda ne lui pique pas son pote. Pauvre chou, cela faisait bien marrait la rousse quand cela arrivait. Mais arrêtons de divaguer. La jolie rousse est prête, ses muscles étaient à travailler un peu et elle était préparée pour sa victoire sur ce vermisso. Elle fixa son adversaire du coin de l’œil. « Le premier qu’il remporte 2 victoire gagne l’appartement. » Elle avait mis ses closes mais elle sentait qu’il aurait quelque chose à redire, tous ses membres le sentaient. Qu’est-ce qu’il allait encore trouver come fourberie à faire. Elle se tourna pour lui faire face et d’un geste négligé s’attacha sa chevelure de feu. « Quoi ? Qu’est-ce qui ne va pas ? » Elle se mit à taper du pied contrariée qu’il retarde la partie qu’elle allait gagner.