Mon histoire commence en cet heureux jour où est-ce que ma mère me donna naissance entre tous ses cris, ses pleurs et dès que je me suis montré le bout du nez, elle a souri et elle m’a fièrement appelé Lewis. Mon père avait la joue intérieure en sang et la main bleue tellement que ma mère lui faisait mal, mais il était fier d’avoir un garçon pour commencer une nouvelle famille avec ma mère. J’ai grandi dans la belle et grande ville de Londres, un endroit magique et très intéressante pour les tourismes qui vienne en vacance pour la visité. On ne peut pas dire qu’il n’y a rien à faire lorsqu’on vient dans ma ville natal. Il faut comprendre qu’elle détient beaucoup de moment historique et surtout fascinante. Mon père est un professeur d’histoire à l’Université de Londres. Le fait qu’il soit aussi un historien, j’ai commencé très rapidement à aimer ce qu’il écrivait et surtout que j’étais curieux de savoir qu’est-ce qu’il désirait trouver pour continuer ses recherches sur plusieurs événements qui l’intéresse. Pour ce qui est de ma mère, elle est une employer très importante pour le gouvernement britannique et elle est dans le domaine de la santé. Tous mes petits bobos, elle a été capable de les soignés parce qu’elle connaissait comment bien les traités. Pour ma part, j’étais un petit garçon extrêmement actif lorsque j’étais jeune. À la petite école, les professeurs avaient de la difficulté à me tenir assis tellement que moi, je voulais aller jouer dehors et avoir du plaisir. Je courrais pratiquement partout et c’est à l’âge de 8 ans que mes parents on fait installé une piscine dans notre cour arrière pour que je puisse me baigner durent l’été. La piscine municipal était trop loin de chez moi, mais cela en valait la peine de mettre une piscine chez moi parce que j’étais toujours dedans et aussi j’avais le droit d’invité des amis et cela me rendais encore plus heureux. Mon père n’était pas fan de baignade, mais il venait pareille pour me faire plaisir et ma mère me montrait à comment faire des longueurs avec plaisir technique que les athlètes olympiques utilises. Je voulais faire rire mes parents lorsque je leurs est dit que je voulais devenir un athlète olympique, mais ils m’ont pris au sérieux. Je ne pensais pas que ma pensé était pour devenir quelque chose de réelle dans leurs têtes parce que je savais que je n’étais pas encore à la hauteur pour devenir comme eux et de me sentir fier de moi pour avoir une médaille à l’entour de mon cou.

J’ai oublié cette idée lorsque je suis entré dans le monde de l’adolescence. Mes parents ne m’ont pas redemandé cette question et j’étais content qu’ils respectent cela. Ma détermination au sport était très grande parce que je voulais me sentir fort et je voulais me sentir en bonne forme. Lorsque je suis arrivé au secondaire, la piscine municipal était à quelques minutes de marche et mes parents m’avaient donné la permission d’y aller et à une condition que je les appels pour qu’ils puissent venir me chercher. Je passais beaucoup de temps à cette endroit et je me pratiquais énormément dans mes longueurs et surtout que j’avais gardé en mémoire tous les trucs que ma mère m’avait donné. Je n’avais pas peur des hauteurs et lorsque je me suis essayer pour la première fois sur un tremplin, en me donnant un élan de courage et de me sentir tournée tout en tenant mes jambes dans les airs, je me suis sentie comme si j’étais une plume d’oiseau qui s’envolait avec le vent. Lorsque j’ai sentie l’eau caresser ma peau, s’était le début d’une nouvelle aire pour moi. Je n’avais dit à personne dans mon groupe d’ami que je désirais devenir un athlète olympique. Oui, cette idée est revenu aussi vite dans ma tête et elle me tient réveiller la nuit tellement que je veux aller m’entraîné pour surpassé mes objectifs. Par contre, je me suis confié à mes parents. Ils étaient fiers de savoir que je voulais le devenir pour vrai. Mon père connaissais quelqu’un qui lui aussi avait une passion pour le sport aquatique et il me le présenta à l’Université. Monsieur Campbell a toujours voulu avancé sa carrière et nous lui avions donné la chance de pouvoir l’avancé en me donner des jours et des heures d’entraînement pour que je puisse devenir un athlète jeune et remplis de détermination. J’ai réussi à me classé pour aller aux Jeux Olympiques. J’étais stressé et parfois ma tête me disait de retourné chez moi. Je n’avais que 16 ans lorsque je suis monté sur le tremplin de 10 mètres au-dessus de l’eau. Nous n’avions pas été jusqu’à gravé les échelons et de se dire que tout allait bien aller, mais j’avais installé très fort en moi une confiance absolu. À un jeune âge, je ne croyais pas me voir dans une situation pareille. J’avais peur et je ne le cachais pas parce que j’ai toujours eu peur de faire des erreurs. Toujours faire plaisir à quelqu’un était un de mes gestes les plus spéciaux que j’avais en moi, mais faire des erreurs me hantait beaucoup. La surprise d’avoir gagné la médaille d’argent, cela m’a donné une énorme claque avec les marques rouges qui reste gravé dans la mémoire. La nostalgie que mes parents m’ont apportée, la joie que mon entraîneur m’a apportée et les autres britanniques qui m’ont félicités et en me disant qu’ils étaient impressionner avec mon jeune, je me suis sentie complètement sur un nuage.

Avoir terminé deuxième contre les meilleurs, s’était passionnant pour moi. Je ne voulais plus reculé de mon rêve parce que cela était une réalité que je n’imaginais pas avant, mais aujourd’hui, je voie cela comme une nouvelle-vie. Lorsque nous sommes revenus à Londres, j’avais quatre ans devant moi avant de recommencer à être un athlète, mais cela ne veut pas dire que j’abandonne les entraînements. Au contraire, il y a beaucoup de compétition à venir et je ne voulais pas lâcher l’école pour autant parce que j’adore aussi me sentir près de mes amis qui connaisse maintenant ma vrai personne. Aujourd’hui, j’ai 18 ans et je suis à ma première année d’Université à San Diego en Californie. J'avais décidé d'aller étudier aux États-Unis parce que je voulais apporté une éducation différente à ma culture européenne et je dois dire que je ne suis pas déçu. Tout comme ma mère, je me suis dit que d’aller étudier dans le domaine de la santé serait une bonne idée, donc s’était un choix assez spécial. Il me reste deux ans en avant de moi et je veux bien en profité tout en me gardent des journées pleines à moi pour ne pas perdre l’athlète que je suis.