Depuis que tu étais revenue à San Diego, tu ne cessais de penser à Luckaël. Après tout, tu étais revenue pour lui et si tu étais là, c'était pour te faire pardonner auprès de lui. Tu l'avais fait énormément souffrir et tu t'en mordais les doigts. Tu payais bêtement pour des erreurs que tu avais faites quand tu étais plus jeune et que tu avais perdu ton père. Bon tout n'était pas négatif dans ton retour en ville. Tu avais retrouvé Sweeny, et plein d'autres personnes, bizarrement. Comme si San Diego était l'endroit où tout le monde se retrouvait après avec vécu sa vie dans les quatre coins de la Terre. Cette après-midi, après avoir révisé un peu, ce que tu venais de faire, tu comptais aller voir Luckaël, pour lui présenter tes énièmes excuses, ce que tu t'apprêtais à faire. Tu étais venue en voiture, tu étais devant chez lui et tu avais encore une fois, peur de son regard, peur qu'il te rejette. Tu sortis de ta voiture, tu traversas la rue et alors que tu voulais sonner à son portail, une fille se planta devant toi pour t'en empêcher. Elle semblait furieuse après toi mais tu ne l'avais jamais vu, inquiétant. « Pousse toi. » Tu souris faussement en lui rendant son regard mauvais.

Je déteste les grandes blondes espiègle qui se croient tout permis. Celle qui ne pense toujours qu’a elle après tout et qui même si elles ont pris une désisions il y a longtemps décide de changer d’avis et que du coup tout redeviennent parfait du jour au lendemain parce qu’elle l’on ainsi décidé. A vrai dire ce n’est pas toutes les blondes que je n’aime pas, mais surtout une en particulier, et j’avoue que si je pouvais être une arabe comme les autres (je blague, je préviens à l’avance) Arabe, j’aurais pu jeter une bombe par la fenêtre et toucher avant tout sa voiture de pouffe! « Pas de bière? Tu me déçois là! J’y vais, t’as qu’à trouver un bon film! » Que je dis à Luck, je ne voulais pas qu’il voit. Je descendis pour arriver au portail en fermant vivement la porte avant qu’elle passe pour me foutre devant pour éviter qu’elle ne sonne. Je l’ai reconnu aisément, sans lui avoir jamais parlé avant, je sais reconnaitre une vipère briseuse de cœur quand j’en vois une. « Rêve, toi bitch! Ferais mieux de faire demi-tour et retourné d’où tu viens! »

Tu t'apprêtais à sonner à la porte de Lucka pour avoir une autre discussion avec. Mais une femme se planta devant toi, te lançant un regard mauvais. Qu'est-ce qu'elle avait celle là ? Elle sortait d'où et puis surtout, qui était-ce ? Gentillement, pour l'instant tu lui avait demandé de se pousser. Tu voulais absolument voir Lucka et ce n'est pas elle qui allait t'en empêcher. Tu avais fais du judo pendant un trimestre dans ton année de 3ème, alors tu n'avais pas peur. Tu tentais de garder ton calme, mais quand elle te traita de bitch, mot pour mot, tu commenças à t'énerver. Elle ne te connaissait pas, elle ne savait pas d'où tu venais et elle osait de traiter comme ça. « Et pour me dire ça, t'es qui ? Franchement, à part une brune décolorée avec un gros cul, sérieusement, t'es qui là ? » Tu levas un sourcil, elle s'obstina à rester devant toi. « Laisse moi voir Luckaël, sale poufiasse. » Qu'elle te traite toi, tu n'en avais rien à faire, mais qu'elle t'empêche de voir Luckaël, c'était autre chose.