En cette fin d'après-midi, j'avais besoin de me reposer enfin, tranquillement dans mon domicile. En ce moment, je ne faisais que penser à plusieurs choses, qui se sont passés dans ma vie, récemment. Je mettais décider à rester dans mon chez moi, ne rien faire justement. Quelque minutes après, j'étais vêtu d'un jean foncé, simplement. Ainsi, qu'un haut blanc, ça allait faire l'affaire. Au bout de quelque minutes, je m'installais quelque instants dans mon canapé simplement, sans m'attendre à recevoir une super visite. Mais, finalement, je me redressais pour aller directement vers la cuisine afin de me prendre un bon et chaud café. Mais, au bout de quelque minutes la porte se mit à retentir & n'ayant aucune idée de qui cela pouvait être, je décidais de me redresser. Ooh ; je n'avais personne qui devait venir donc, bon c'était un suspens en ce jour-ci. Me mettant debout, direction la porte de ma villa, je l'ouvris en tombant nez à nez avec mon ex enfin ; je crois ? Sachant qu'elle m'avait quitter comme ça, du jour au lendemain, ça me faisait bisard. Enfin, bon, d'après moi, elle devait venir par erreur et non me voir moi ? Je dis : « Kohélie ? » Dis-je, étonné et surpris de la savoir devant moi.

Je ne mettais pas attendu à tomber sur mon ex, qui m'avait largué du jur au lendemain, sans trop encore comprendre la raison. Alors que je buvais tranquillement un bon café, la porte se mit à retentir. Je n'attendais strictement personne donc, ça me faisait bisard tout de même. Je finis par ouvrir la porte, pour tomber nez à nez avec cette dernière. Je fus sous le choc, certes, mais content de la revoir après ce temps. Ecoutant les paroles de cette dernière, je dis : « Tu veux que la répare, peut-être ? .. » Dis-je, toujours étonné et surpris de la voir devant moi. Je crois même que j'avais besoin de ses explications, mais elle n'était apparamment pas venu pour cela. Mais, c'était en effet trop tard, pour faire demi-tour. Je finis par plonger mon regard au travers du sien, sans trop dire autre chose. Je dis : « Je m'y connais un peu. » Dis-je, simplement par la suite.

Mon regard se plongeait dans le sien, alors que je l'écoutais simplement s'expliquer. Elle se trouvait devant moi et pour une voiture en panne? quel chance, dis-donc ! Pour ma par, je ne savais pas quoi lui dire, quoi faire et comment m'expliquer. Cela devenait de plus en plus compliqué pour ma personne. Ecoutant les paroles de cette dernière, je dis : « Même si, c'est ceux que j'aimerais faire, j'ai envie de t'aider. » Dis-je. En effet, ma conscience me disait de la laisser se débrouiller ou d'appeller une dépanneuse mais, mon coeur me disait de l'aider moi-même. Alors, c'était ceux que j'allais faire évidemment ! .. Quelque minutes plus tard, cette demoiselle en détresse commençait à m'expliquer la raison du pourquoi, elle se trouvait devant chez moi. Je l'avais écouter jusqu'au bout et sans rien dire de plus que maintenant. Alors, je finis par me mordre les lèvres et ajouter : « Je m'y connais et c'est pourquoi je vais t'aider. Mais, c'est pas de chance pour toi, d'être tomber sur ma porte hein? » Dis-je. Quoi ? C'est vrai, non ? .. A la base elle ne savait pas du tout que j'étais dans cette villa, là et voulait demander de l'aide à la première personne en vu. Manque de bol, moi. Je pris ma veste avec moi ainsi, que mes clefs & partit voir sa voiture, pour l'aider.

Ceux que j'avais envie de lui faire passer comme message, c'était que je n'avais aucune envie de l'aider. Je repensais toujours aux moments passés ensemble et je ne comprenais pas qu'elle puisse me quitter comme tel. Puis, revenir par enchantement, pour que je répare sa voiiture. Voilà, mes pensées en quelque sortes que j'avais envie de lui faire passer. Enfin, le passé reste là et on ne peut le changer. Mon regard se plongeait dans le sien, toujours alors qu'elle m'expliquait d'avantage sa situation. Je dis : « Je ne vais tout de même pas te laisser planter là, sans rien faire. Mais, je t'avous que l'idée du dépaneur m'a vraiment effleuré l'esprit. » Dis-je. Elle n'allait pas tout de même arrivée comme une fleur et attendre qu'ont lui rende service pour quitter après, non? .. La seule chose qui me faisait sourire c'était de la voir mal à l'aise à ce point. Mais, après tout, c'était elle qui avait prit peur, qui m'avait larguer comme un moin que rien. Alors, je finis par me mordre les lèvres et ajouter : « Il n'y a pas à en faire autant, c'est normale. Tu le pense sincèrement ? Quoi que, je sais plus maintenant. Mais, juste heureux de savoir que je t'ai manqué. » Dis-je. Enfin, juste un peu seulement. Je finis par délicatement atteindre sa voiture & voir où ça posait problème. Facile.

Dans ma façon de causer, on voyait très bien que je n'avais pas encore digérer la rupture entre cette dernière et moi. Non, je ne m'y faisait pas encore malgrès que mes amis me disant d'aller de l'avant et d'oublier tout ça. Pour moi, c'était comme innimaginable enfin de compte. Alors, que je finis par plonger mon regard au travers du sien, je souriais pour faire genre. Quelque minutes après, elle me rassura. Apparamment, elle serait venu me rendre visite quand même ? Il faut croire que oui. Je dis : « Je pensais que tu étais juste venu, par hasard et par erreur juste pour une voiture en panne, après ceux que tu m'as fais. Tu me rassures et ça fait plaisir en tout cas. » Dis-je. Je me dirigeais vers sa voiture pour l'examiner et enfin, essayer de la remettre en route. Bon, certes j'étais mannequin mais, je savais aussi métriser les voitures. Avant de la réparer, elle me sortit de mes pensées et je tournais mon regard vers elle. Je dis : « Attends, tu m'as quitté parce que tu avais peur de souffrir, en restant auprès de moi ? Mais, comment ça se fait ? Et, ton coeur contenait quoi, pour avoir peur à ce point ? » Dis-je. Puis, je levais le capot de la voiture pour trifouiller à l'intérieur et voir ceux qui clochait. Je vis ce qui n'allait pas & répara cela en quelque minutes.

Alors, que je finis par plonger mon regard au travers du sien, tout en souriant. Je ne pouvais tout simplement, pas me lasser de la regarder vu que je tenais encore et toujours à elle. Je dis : « Oui ; j'en avais aussi besoin. Tu as eu raison dans ce cas-là. » Dis-je, un léger sourire aux lèvres. Puis, une fois la voiture réparé, j'entendis également les paroles de cette dernière, je tournais mon regard vers elle et je dis : « Je t'avous que maintenant, je vois plus clair. Mais, je ne suis pas ce type-là et je ne t'aurais surement pas fait souffrir comme lui l'a fait. Mais, en partant, tu m'a brisé le coeur mais, je tiens toujours à toi autant. » Dis-je, en l'observant doucement du coin du regard. Oui ; mon coeur l'aimait toujours autant en tout cas car, je n'ai jamais pu l'oublier. Quelque minutes après, je refermais le capot et souriait en lui avouant que c'était réparé enfin.

Alors, que je finis par plonger mon regard au travers du sien, tout en souriant, sans pouvoir m'y détacher. Puis, cette dernière se mit à me parler délicatement tout en se rapprochant de moi. Cela me fit frissonner, j'étais sensible à cela; évidemment. Je dis : « Oh ben ; je suis content que tu le sache au moins. Je comprends mais, j'ai eu du mal à le supporter aussi. » Dis-je, un léger sourire aux lèvres. Mais, franchement, je ne comprenais plus trop. Enfin si ; elle avait toujours des sentiments profonds pour moi et son coeur m'appartenait aussi pour toujours. Je finis par déposer ma main sur sa joue, pour la caresser délicatement. Ces paroles me touchaient énormément. je dis : « C'est pareil pour moi. Mes sentiments et mon coeur t'apparteront toujours. » Dis-je, en l'observant doucement du coin du regard. Je me mis doucement à avancer vers elle, quelque minutes après.

Mon regard se plongeait directement dans le sien, sans que je ne dise quoi que ce soit. Puis, elle m'avoua ensuite qu'elle tenait toujours à moi & que son coeur m'appartiendrait toujours. Je pensais exactement la même chose de mon coté donc, un léger sourire aux lèvres se fit naitre sur mon visage. Enfin cela dit; j'étais toujours blessé par notre histoire. Finalement, ma main je la posais au niveau de sa joue et la caressait doucement. Je ne m'attendais surement pas à ceux qu'elle ferme les yeux, à ce contact mais, ça me faisait plaisir. Je me mordillais les lèvres, à ses paroles et je dis : « Tes lèvres me manquent aussi, alors, fait-le, ma puce. N'attends pas. » Dis-je, en observant ses lèvres de mes yeux. Je mourrais aussi d'envie de l'embrasser terriblement, mais c'était à elle de faire le premier pas. Oh oui ; après tout, c'est normale. Mais, j'avançais mon visage quand même d'un peu plus près d'elle.

Mon regard se plongeait directement dans le sien, tout en me mordillant les lèvres quelque instants plus tard. Je sentais que tout redevenait comme avant et j'attendais cela depuis vraiment longtemps. Finalement ; je fixais ses lèvres, tout en approchant mon visage de cette dernière.. Elle devait certainement faire le premier pas et j'en mourrais d'envie. Mon coeur se mit à frissonner d'avantage lorsque ses lèvres s'approchaient de plus en plus de moi. Je prolongeais ce doux et tendre baiser, délicatement, qu'elle m'offrit quelque minutes plus tard. Je le regarde dans les yeux, à ses paroles et je dis : « Tu ne peux pas savoir à quel point ça me fait du bien aussi, de t'embrasser. Mais ; tu ne l'as jamais quitté aussi mon coeur ma puce. » Dis-je, en souriant délicatement. Je l'aimais et ça c'était sûr à cent pour cent. Tout ceux que j'espèrais c'était qu'elle ne me ferait plus cela maintenant. Je finis par poser ma main, sur la sienne puis, prendre sa main & la mettre sur mon coeur aussi. Je décidais de l'embrasser à nouveau tendrement.

Mon regard se plongeait directement dans le sien, tout en me mordillant les lèvres quelque instants plus tard. Finalement ; je fixais ses lèvres, tout en approchant mon visage de cette dernière et l'embrasser tendrement, pendant plusieurs minutes. N'ayant même pas remarquer à quel point il pleuvait, mais, je venais de le voir sur le visage de celle que j'aimais. Je la calais contre mon torse, tout en marchant vers ma villa. Je le regarde dans les yeux, à ses paroles et je dis : « Je suis heureux, tu peux pas savoir ! Evidemment ; je n'ai pas envie que tu prennes froid aussi. Vas-y entre et fait comme chez toi (: » Dis-je, en souriant délicatement, une fois après avoir ouvert la porte de ma belle et magnifique villa. Je la laissais passer en premier, galant comme j'étais. Mais, une question me trotait dans la tête. Nous étions un couple ? Nous avions pas clos ce point-là, mais, ça répondait déjà avec le baiser échangé.

Une fois plus tard, nous arrivions tous deux dans ma grande villa. Je lui disais de faire comme chez elle, évidemment. Je faisais toujours comme ça et n'avait rien à cacher. Brefouille, doucement, je mis mon regard délicatement dans le sien, en écoutant ses paroles. Cela me faisait chaud au coeur, bien entendu et elle venait de répondre à la question que j'allais lui demander. Mon regard dans le sien, je dis : « Le plaisir est partagé en tout cas et de mon coté, je nous considère de nouveau ensemble. Oui ; un couple heureux. Je suis soulagé de le savoir et heureux à la fois, ma belle. » Dis-je, en souriant délicatement, caressant doucement sa joue d'une de mes mains. Tout était vraiment tout nouveau et cela faisait longtemps que j'attendais ce moment-là. Doucement, je m'approchais d'elle pour passer mes bras autour de sa taille et la rapprocher de moi. J'approchais mes lèvres des siennes tendrement et amoureusement.

Je me croyais dans un rêve, sincèrement. Comprenez-moi, hein? D'un coup cette dernière arrive devant chez moi, une voiture en panne et sonne chez moi. La seconde d'après, je me retrouve de nouveau avec celle-ci. Je n'y croyais toujours pas mais, il fallait bien que je m'y face. Au bout de quelque minutes, un léger sourire s'empêra de mon visage délicatement. Je me sentais revivre, heureux et de nouveau amoureux. Une fois plus tard, mon regard dans le sien, je dis : « Oh ! Tu ne sais pas comment ça me touche énormément, ceux que tu viens de me dire. Tu m'as tellement manqué aussi, ma chérie. Ce mot, te va parfaitement et ça me fait plaisir de t'appeller ainsi. » Dis-je, en souriant délicatement. Lorsqu'elle me proposa d'aller prendre une douche avec elle, un sourire vint sur mes lèvres. Cela remontait à longtemps, la dernière fois qu'ont avaient fait cela et ça me fairait du bien. Je dis : « Ce serait avec très grande joie. On y va ? » Dis-je, en entrecroisant ma main à la sienne.