Après avoir trouvé quelques petits trucs à essayé -bon en fait juste un T-shirt et un short- je me dirigea vers les cabines d'essayage suivit de Cowel qui devait surement être heureux que j'ai déjà trouvé mon bonheur Oui parce que bon un mec reste un mec et il aura beau y mettre toute sa volonté cela n'empêche pas que si une fille passe trop de temps dans un magasin il en aura marre et je ne voulais pas qu'il en est marre de moi c'est pourquoi je fit vite. Avant de rentrer il m'attrapa la main et m'embrassa je sourit et ferma les yeux répondant à son baiser avant de finalement rentrer dans la cabine et me changer. Quand ce fut fait j'ouvrit le rideau pour montrer tout ça à Coco et cela sembla lui plaire puisque d'après lui j'étais magnifique. Un sourire en coin se dessina alors sur mon visage quand je répondit « Merci beaucoup, bon je fais vite je vais me changer »

Je retourna dans ma cabine et me changea assez rapidement, en 5 minutes à peine, je me regarda dans le miroir quelques instants remettant mes cheveux bien en place et je pris les deux vêtements que j'allais acheté. En sortant de la cabine je ne vis plus Cowel assit sur le fauteuil j'arqua un sourcil et m'avança donc à nouveau le cherchant dans les rayons, je regarda même dans des endroits improbables mais rien à faire il n'étais pas là, je commença finalement à vraiment m'inquiéter. Bon sang mais ou était-il passé ? Est ce qu'il en avait déjà marre de moi ? Qu'est ce que j'ai fait qui mérite ça Il ne s'était pas enfuit hein ? Pas comme mon ex ? Non pas au bout de quelques heures. Alors que je continuais de regarder partout je le vit alors arriver devant moi, je le regarda alors dans les yeux cherchant une explication à cette absence tout en soufflant tout de même soulager qu'il soit là, à la fin de sa phrase j'arqua un sourcil avant de le voir avec un bouquet de fleurs à la main. Mon sourire s'agrandit alors et toute ma peur s'en alla. Je prit alors le bouquet et je sentit les fleurs qui sentait merveilleusement bon avant de lui dire « Tu est adorable, merci » Je m'approcha de lui l'embrassa amoureusement sans le prendre dans mes bras puisque j'avais les deux mains prises Démodé ? Peut être mais alors j'aimais le démodé et encore plus quand cela vient de lui. « Mais la prochaine fois préviens moi j'ai eu une peur folle de t'avoir fait fuir » Bah oui quand même

Spoiler:

Quel délice de voir Sloan en tenue semi-légère. En la voyant de la sorte, en short et t-shirt, Cowel ne pouvait s'empêcher de fantasmer sur elle en maillot de bain par exemple. Elle et ses courbes à tomber par terre, les cheveux au vent, le sourire aux lèvres... Rien que d'y songer, il était subjugué. Oui il avait déjà vu Sloan en maillot de bain vu toutes les sorties qu'ils ont fait ensemble. Mais il c'était toujours obligé à ne pas la regarder ou ne pas trop la dévisager ni savourer sa beauté pour la simple raison que ça ne devait pas être. Étant de simple amis et ne voulant pas perdre ce statut privilégié, il devait se contenir. Mais à présent c'était différent, il pourra savourer avec délice le corps magnifiquement sculpté de sa Sloan sans avoir peur des représailles. Il pourra l'embrasser sans soucis et affirmer par des gestes qu'elle est sienne. Enfin il pourra jarter les dragueurs invétérés et faire détourner les regards trop insistants. Ce pouvoir lui plaisait car il l'aimait bien qu'il ne compte pas dire de suite ces trois mots magiques. Lorsqu'on baigne dans ce genre de pensées, le temps passe plus vite et finalement faire les magasins pour satisfaire les envies de la blonde ne le dérange pas. Néanmoins et avec une idée en tête, il décampa rapidement à peine avait-elle fermer le rideau. Car ses sentiments explosaient en lui et ses pulsions romantiques devaient être assouvies...

Il savait qu'il devait se dépêcher, qu'elle sortirait en quatrième vitesse et qu'elle ne comprendrait pas son absence. Il le savait et il faisait au plus vite justement, mais parfois même au plus vite ne suffisait pas et lorsqu'il pénétra à nouveau dans le magasin et qu'il la vit autant soulagée, Cowel ne put s'empêcher de sourire. Au moins elle tenait assez à lui pour remarquer son absence . S'approchant d'elle, les mains derrière le dos, il lui tendit un bouquet simple, ni trop volumineux, ni trop petit. C'était kitsch, démodé et ultra-romantique mais il s'en foutait, il était comme ça et même s'il ne lui disait pas et ne lui diraient pas les mots magiques, il voulait lui prouver par des gestes et des intentions ses sentiments. La fixant d'un regard doux et pénétrant, il ne put s'empêcher de sourire, presque rire à sa remarque. « Désolé Mademoiselle Fields, vous n'êtes pas prête de me voir partir ! » Répondit-il toujours tout sourire en la taquinant un peu. Attrapant les vêtements qu'elle souhaitait acheter afin de la débarrasser, il lui déposa au passage un baiser sur la joue. « Tu veux chercher autre chose ou c'est bon ? » Demanda Cowel toujours aussi doux. Peu lui importait, tant qu'il était avec elle. Qu'importe son choix, tant qu'elle était bien. « Et t'inquiète pour moi, ça va, moi tu sais tant que j'suis avec toi, puis j'ai Alice rappel toi, des aprèms dans les magasins, ça m 'connait ! :hii2: » Répondit-il en riant légèrement. Ba ouais, Alice fait partie de la gent féminine et elle aussi a le syndrome de l'acheteuse compulsive, même si elle préfère le nier. Étant rodé, même avec Parker parfois, cela ne dérangeait pas plus que ça Cowel, même si au fond, s'posait dans un parc à parler et s'embrasser lui allait aussi parfaitement.

Lorsque je sortit de cette cabine et que je ne le vit pas la sur ce fauteuil à m'attendre tranquillement je commença à m'inquiéter. Certains me diront mais enfin espèce de débile pourquoi veux-tu qu'il s'en aille comme ça hein Oui c'est vrai mais peut être qu'il avait pris peur peut être qu'en repensant à ma crise de jalouse du début d'après-midi il c'était dit qu'il ne pourrait pas supporter ça au quotidien que j'étais bien trop possessive et par conséquent pas faîtes pour lui. J'espérais de tout coeur qu'il n'est pas crut cela car oui je suis une fille jalouse, impulsive et possessive mais je sais me gérer, la crise que j'avais eu aujourd'hui était simplement une accumulation de toutes les fois ou je me suis retenu, de toutes les fois ou je suis resté là à regarder sans rien dire.

Ma peur redescendit rapidement quand je le vit devant moi, quoique pas entièrement car soit il était revenu car finalement il c'est rendu compte qu'il ne peux pas se passer de moi soit il est revenu pour m'expliquer tranquillement qu'il ne veux pas de moi Oui je suis le genre de fille qui se fait tout le temps des films, enfin le "genre de fille" non en fait je suis juste une fille En le voyant sortir son bouquet de fleurs je compris que c'était alors surement la première option. Je l'embrassa puis me mit à rire à sa réponse « Et bien j'espère bien mister Devihnson car je n'ai pas l'intention de te lâcher de si tôt crois-moi » Oui oui maintenant que je l'avais pour moi croyez bien que j'avais l'intention de toute faire pour que cela dur. Je le remercia avec un sourire lorsqu'il prit les vêtements puis répondit « Hum non on peut y aller » Je me dirigea donc vers la caisse, une fois devant je pris les vêtements et paya assez rapidement puisqu'il n'y avait personne donc pas besoin de faire la queue. En ressortant ensuite du magasin je sourit à sa remarque qu'il avait fait quelques secondes plus tôt et lui répondit « Ah ah oui c'est vrai tu est habitué au virée shopping alors » Une fois devant le magasin je regarda un peu autour de moi, mon sac à mains et mon sac de vêtements dans une main, le bouquet de fleurs dans l'autre et je lui demanda « Tu veux aller t'acheter quelque chose toi ? »

Un jour on pense que notre journée sera spéciale, unique, qu'il se passera quelque chose de spectaculaire au point qu'on ne l'oubliera jamais et au final on ne passe qu'une journée remplie d'embûche, de merde, de poisse et de blessure. Oui on ne l'oubliera pas, mais pas dans le bon sens. Et un autre jour on se lève, on sent que cette journée sera comme les autres accompagnée de pas et geste routinier dont on ne se lasse pourtant pas. On se dit que cette journée ressemblera aux autres à quelque détail près sans même savoir que cette journée sera celle qui bouleversera le plus notre vie, notre coeur, notre routine si plaisante. Nos sentiments et pressentiments ne sont que des ressenties, rien ne pourrait nous faire deviner la nature de notre journée. On ne fait qu'espérer, imaginer en fonction de notre humeur. En se levant le châtain avec une humeur banale, sentant que la journée serait tout aussi banale. Sa vie serait-elle bouleversée aujourd'hui ? Il en doutait, et pourtant ce fut le cas. La tornade blonde pénétra son coeur jusqu'au point culminant pour s'y faire un nid sans même avoir l'intention de ressortir. Les mains sur des fleurs un peu trop voyantes et trop kitsch, le jeune homme souriait. Heureux, sincère, fou amoureux, il était bien en compagnie de sa tornade qui a ravagé son coeur. Un bon ravage, pas un mauvais. Oui il ne comptait pas partir bien qu'au fond seule elle et rien qu'elle pouvait décider de quitter son coeur soit par l'entrée, sans trop de dégâts soit en se créant une sortie, ce qui s'avérerait fatal pour le jeune homme et son coeur en situation de faiblesse. « Puisque je ne compte pas partir et toi non plus, ça risque de durer trèèèèès longtemps alors. » Répondit il alors qu'il s'approchait de la jeune femme, sa tornade, pour prendre possession de ses lèvres sucrée, celle qu'il avait toujours désirée en secret et qu'il pouvait à présent librement embrasser. Croisant son regard souriant, le jeune homme lui demanda si elle avait fini. Ils avaient tout leur temps, il voulait qu'elle profite. Après tout c'était une fille digne de ce nom donc il ne voulait pas la contrarier ou la frustrait en lui refusant cette virée shopping. Attrapant les vêtements les coinçant dans ses bras, il suivit la jeune femme jusqu'à la caisse, s'appuyant contre le rebord de celle-ci, laissant la tornade payer ses biens. Il l'aurait bien fait à sa place mais pour le coup il n'était pas sûr de sa réaction, donc il préféra s'abstenir et regardait la maigre clientèle arpenter les allées de vêtements à la recherche du précieux. Alors que Sloan le rappela à l'ordre par le bruit d'un sac en plastique, l'architecte sorti à la suite de la tornade pour respirer le bon air. Il n'a jamais compris pourquoi, mais dans ces magasins de filles ça put toujours le parfum à gogo créant une odeur très désagréable. « Ouais assez, au moins j'peux mater comme ça. :hii2: » Répondit alors le jeune homme spontanément avec un large sourire sans même remarquer sa bourde. Mater. Le truc à pas dire lorsqu'on vient d'avoir une copine... Mais c'était sortie tellement vite, tellement spontanément qu'il ne pût rattraper ses paroles. Intérieurement, Cowel espéra que Sloan ne lui en voudrait pas. C'était un homme, il aimait regarder des belles filles - Pas Alice, oui elle est belle, mais c'est Alice quoi - et regardait ça ne fait jamais de mal, surtout si comme lui, ça ne va jamais au-delà d'un regard. « Non, c'est bon, je sais jamais quoi m'prendre t'façon. Ça te dit d'aller manger ou boire un truc ? J'ai un p'tit creux. » Proposa t-il alors qu'il passe son bras autour de sa taille en ne regardant qu'elle. Car oui, elle ne le sait peut-être pas mais dès que Sloan rentre dans son champ de vision, toutes les autres filles n'existent plus....

Spoiler:

« Et c'est bien ce que j'espère en tout cas » Bah oui j'avais pas l'intention de le laisser partir ou que tout cela s'arrête comme cela du jour au lendemain, si cette "histoire" si notre histoire que je ne savais pas vraiment comment appelé devait se finir ou décliné vers le bas croyez moi que je ferrais tout pour la récupérer, je me battrais pour garder tout ça. Oui je suis peut être pas du genre à tomber amoureuse du jour au lendemain mais croyez moi que après la perte de ma famille j'ai appris à aimer les gens et surtout à ne plus les lâcher une fois que je les ai. Les gens qu'on aime sont bien trop important pour les laisser partir si facilement. On passa finalement à la caisse quelques instants après et une fois cela fait on sortit du magasin ou je lui répondit avant qu'il prenne la parole à son tour en me disant que comme ça il peut mater Non mais euuuuuh il y a quelque chose qui cloche dans sa tête la ou quoi il veux que je le massacre à coup de tronçonneuse, que je lui mette mon sac plastique sur la tête et que je le laisse s'étouffer. Enfin bon je ne voulais pas m'énerver et puis j'ai toujours su gérer mes sautes d'humeur alors j'essaya de prendre sa remarque avec le sourire et je répondit tout simplement « J'espère que je suis quand même celle que tu préfère "mater" » Manquerez plus qu'il dise que non quoi Bon apparemment le pauvre s'en voulait enfin il avait l'air en tout cas :étrange: alors lorsqu'il me proposa d'aller manger un truc j'acquiesça d'un sourire et passa donc mon bras autour de lui pour commencer à marcher vers un endroit ou l'on pourrait manger. Je jetais des regards vers lui de temps à autre avant de lui dire « Finalement cette journée n'est pas si mal je trouve » Oui après un début plus que catastrophique je trouvais que l'on s'en sortais bien. Je resserra mon étreinte autour de lui ne pouvant déjà plus me passer de sa chaleur contre moi. On finit par arriver quelques instant plus tard devant un petit endroit ou l'on pourrait manger dehors -oui parce que il fait trop chaud pour manger dedans - Je lui demanda donc s'il voulait que l'on s'arrête la pour manger ou s'il voulait que l'on aille plus loin.

Spoiler:

« Comme on dit si bien, qui vivra verra ! » Répondit-il en souriant. Non pas qu'il soit pessimiste ou négatif, non, il était juste préventif. Cowel ne voulait pas en attendre trop de cette relation, trop de cette histoire. Il a bien trop peur d'être déçu ou que ça se termine mal. Entre nous, Cowel n'a jamais été du genre à faire des plans sur la comète et même si penser à un avenir avec Sloan l'attirait réellement il préférait se stopper net. Le nombre d'histoire qui se termine suite à une déception ou a de la précipitation... C'est tellement affolant que Cowel ne voulait pas que ça leur arrive. Pas à eux, pas avec elle. C'était même pas envisageable. Donc oui, qui vivra verra, Carpe Diem. Autant profitait de l'instant présent à fond. Et même si Cowel à fait une bourde avec son histoire de matage, il fut assez soulagé par la réponse de la blonde. Au moins elle ne l'avait pas mal pris, ce qui était un très bon point pour elle. « Peut-êtreeeeee » Répondit-il, taquin. « Quelle question, bien sûr ! Ya pas plus jolie que toi Sloan » Renchérit-il histoire de ne pas pousser le bouchon un peu trop loin. Elle avait bien réagi, certes, mais vaut mieux pas trop la chercher ni la provoquer, une Sloan en colère, ça fait mal et il a pu le constater il y a peu de temps avant. D'ailleurs il ne pensait qu'une si petite femme et si douce blondinette pouvait avoir un caractère si fort et une grande gueule à ce point. Comme quoi on en découvre tous les jours chez quelqu'un, même chez quelqu'un qu'on connaît depuis longtemps. Sentant la jeune femme contre son corps, Cowel se sentait bien. Oui, elle avait raison, la journée s'annonçait bien meilleure que comme elle avait commencé. Non pas qu'un début de journée avec Parker soit désagréable, loin de là, ça reste son meilleur ami aussi chiant soit-il, mais l'histoire avec la brune avait bien foutu la merde même si au final, elle les avait bien aidé quand même. Car franchement, qui aurait pu prédir, sans elle, qu'ils auraient fini ensemble ? Pas lui et surement pas elle. Dans un sens, il pouvait la remercier. Regardant sa main où figurait encore le numéro de la fille, Cowel souriait malgré lui.« Ouaip, faudra la remercier d'ailleurs. » Dit-il en montrant son poignet. Encore une fois il ne faisait pas gaffe à ce que pouvait ressentir la blonde. A vrai dire dans sa tête et son coeur tout était claire, c'était Sloan qui le possédait. La brune les avait aidé, il voulait simplement la remercier sans songer que cela pouvait blesser la blonde. Arrivant devant une petite brasserie, Cowel et Sloan s'installèrent à une table en extérieur et un serveur vint rapidement à eux pour prendre une commande. Sans réfléchir, il commanda une grande coupe de glace. « Prend s'que tu veux, c'est moi qui paye. » Répondit-il en souriant tout en posant sa main sur la sienne.

J'étais tout à fait d'accord avec lui et je ne voulais absolument pas presser quoi que ce soit entre nous, tout ce que je voulait c'était une histoire simple, naturelle, juste être avec quelqu'un que j'aime et qui m'aime c'est tout ce que je demandé. Je ne voulais en rien gâcher et j'espérais que cela ne serait pas le cas. Mater, oui il avait bien dit mater, bon restons zen restons zen j'allais tout de même pas me prendre la tête avec lui juste pour ça non ? En plus des yeux sa sert à regarder alors il a bien le droit de regarder tant que ce n'est que ça m'enfin tant qu'il reste un minimum discret aussi sinon je risque de ne vraiment pas apprécier Bon enfin il c'était bien rattraper en disant que c'était moi la plus zolie On continua donc de marcher bien tranquillement, moi me collant à lui telle une sangsue ? Non juste telle une fille amoureuse en fait m'enfin bon voyait sa comme vous le voulait. Non mais wtf il se fichait de moi la ou bien il essayait de faire de l'humour ? J'esquissa un sourire forcé avant de finalement reprendre en le regardant dans les yeux « Hum ouais... ben il vaux mieux que tu t'en charges car je risque de ne pas être très commode... » Oui bon ben faut pas exagérer hein oui c'était "en minime partie" grâce à elle tout ça m'enfin j'avais pas l'intention de lui sauter dans les bras quoi «Ou au pire euuuuh on la remercieras dans 10 ans d'accord ? » Hihi bah quoi peut être que dans dix ans j'en rirait qui sait, m'enfin pour le moment pas vraiment Après plusieurs minutes on arrivera devant un genre de pitit resto ou l'on s'installa, un serveur arriva rapidement et je sourit à la réplique de Cowel. Je commanda alors moi aussi bonne grosse coupe de glace parce que c'est tellement bon quoi Non mais attendez c'est vrai une bonne glace à la vanille, avec du coulis de chocolat, de la chantilly, des fraises et un pitit gâteau Bon redescendons sur terre, je posa mon autre main par dessus la sienne et lui demanda « Dit j'espère que Parker ne m'en voudra pas trop » Bah oui je tenais tout de même pas à m'attiré les foudres du meilleur ami de mon copain