2002 ❝ Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, on est bien obligé de faire avec... La belle famille s'impose à nous pour le meilleur et pour le pire ! . ❞ « Tu sais que t’es un merdeux de la première classe ? » Je regardais mon frère ainé prendre une raclé monumental au poker. Il croyait que son petit frère était dépourvu des matières grise, en fait, entre nous deux, c’était bien moi qui savait mettre en action mon intelligence. « Arrête de pleurer comme une gonzess et file moi le fric » Il me jeta un regard noir avant de fouiller dans la poche arrière de son jean et en sortit son portefeuille en cuir. Il me tendit les cinquante euro qu’il me doit et j’empochais mon trophée avec joie. « La prochaine peut-être Jazz » je riais a ses dépends avant de m’arrêter en entendant la porte principal de la demeure Oackley s’ouvrir. La silhouette d’un homme imposant se découpa de sa place initiale avant de se diriger droit vers le salon où moi et mon frère étions. Je savais qui venait de faire son entré et je sentais déjà les fourbes arrivé sur ma personne. Je déposais le jeu de carte sur la table basse avant de prendre mon vers de whisky et le boire d’un trait. « Les garçon. » saluèrent notre cher père, nous regardant chacun de haut. Et dire que cet homme était mon générateur. Un être aussi froid ne donnait pas vraiment l’impression d’être une forme parentale. Tout le contraire de ma mère. Tandis qu’elle restait à la maison s’occuper de ses enfants ayant l’horreur qu’une autre femme prenne sa place, mon père passait ses jours et ses nuits cloîtrer entre son bureau et son travail. J’avais l’impression même qu’il fréquente des femmes dans le dos de ma mère, mais ne voulant pas voir son visage briser par la tristesse, je me taisais mais n’en pensait pas moins. « Salut pa’ » dis mon frère ainé Jasper, qu’il aime bien qu’on le surnom Jazz. Âgée de 25 ans, il était le prochain héritier de l’empire Oackley. Il ne se plaignait pas de son avenir tout tracé, il savait qu’il qui ne pourrais pas en dévier. Je n’étais ni triste ni en colère de ne pas être l’héritier choisi, j’étais euphorique de ne pas l’être. J’avais la possibilité de faire ce qu’il me plait sans en connaitre les représailles. Sa ne voulait tout de même pas dire que je suis exclus du manque d’affection paternelle. Ayant grandis dans cet ambiance, je m’étais fait a l’idée que cet homme, ne pourrais jamais me donner un amour aussi pur et jovial que celui de ma mère. Il était que le spermatozoïde qui a aidée à la développassions de l’embryon que j’étais autrefois. Alors maintenant vous connaissez une partie de mon histoire concernant la famille, êtes vous prêt à connaitre la suite ? Je crois que oui si vous n’avez pas décroché aux trois premières lignes.

2004 ❝ u.c ❞