J'avais décidé de rendre visite Brendan cet après-midi sans le prévenir comme à mon habitude depuis qu'il avait emménagé dans mon immeuble il y a de ça quelques mois déjà. Je pris un bon et long bain chaud avant d'en sortir en me rinçant à l'eau froide pour me réveiller. Je sortis de ma salle de bain avec une serviette autour de la poitrine et traversa mon appartement pour aller dans mon grand dressing une tenue que je pourrai mettre. Au bout de 20 minutes et après avoir mis mes tenues préférer par terre je trouvais un débardeur a carreaux bleus et noirs et un short noir. Je ne savais pas le temps qu'il fessait dehors je m'en fiche un peu, car il habitait dans mon immeuble donc je n'allais pas sortir. Je pars vers ma chambre pour m'asseoir devant ma coiffeuse pour me coiffé et me maquillé. Je n'allais rien faire à mes cheveux, j'allais les laisser sécher normalement. Je me regardais une dernière fois dans ma glace remit tout en place et afficha un sourire. Je pris mes clefs, mon portable est sorti en claquant ma porte pour quel soit fermé a clef. Je descendis tous les étages qui me séparaient de lui, car je vivais au dernier étage qui était rien que pour moi. J'arrivais enfin devant sa porte et tapa trois fois comme à mon habitude. En attendant qu'il m'ouvre je souris, car j'étais heureuse de venir le voir comme tout le temps. Soit on allé disputais ou alors couché ensemble, mais je découvrais quelque chose plus je passais des journées avec lui.

J'avais été forcé de prendre quelques jours de congés avec solde après cette folle histoire ou je m'étais fait tiré dessus, je bossais avec une nouvelle coéquipière et je lui avais prêter ma veste pare-balle , après tout je sortais souvent sans cette veste et il ne m'était jamais rien arrivé donc je me disais que je n'avais rien à craindre; je m'étais royalement trompé car en faisant notre patrouille quotidienne nous fûmes appelés à intervenir sur une scène de prise d'otage et alors que je voulais secourir les gens retenus contre leur gré je me pris une balle dans l'épaule … bien entendu je logeai un pruneau entre les deux yeux du fumier mais le mal était fait, j'avais maintenant une balle dans l'épaule et à ma sortie de l'hôpital mon patron m'apprit que j'étais suspendu avec solde. J'étais furax de me retrouver ainsi sur la touche car j'étais un homme d'action mais bon je comprenais aussi la décision de mes supérieurs et puis je dois admettre que je suis par moment la pire des têtes brûlées alors il incombait de faire un exemple de moi.

Il devait être près de 14 heures alors que j'étais encore au lit, j'étais en boxeur et en t-shirt, le bras dans une attelle et je me levai afin de me rendre à la cuisine...j'avais la dalle alors je tentais de me faire une tartinade au beurre d'arachide mais comme j'étais droitier et que mon bras droit était dans l'attelle tout ceci me semblait être une mission impossible. Alors que je commençais à m'énerver j'entendis frapper à ma porte, je décidai donc de planter une cuillère dans le beure d'arachide et de me la mettre en bouche afin de me nourrir et ensuite je rangeai le tout avant de rapidement boire un peu d'eau. J'entendis frapper à nouveau alors que je me dirigeai vers la porte et en ouvrant je vis ma belle propriétaire...je lui souris et l'embrassai sur la joue.

Bonjour Alicia, entre.

Je venais de lui ouvrir et je dois admettre qu'elle était tout simplement magnifique, la regarder était un véritable plaisir pour les yeux et sa voix des plus mélodieuses parvenait toujours à me charmer, m'envouter, me troubler et me transporter. Je lui souris faiblement, malgré la douleur, lorsqu'elle me demanda ce qui m'était arrivé et je refermai la porte derrière nous alors que je la poussais avec mon pied.

Un accident, je me suis pris une balle comme tu peux le voir.

Je lui souris alors que je noyais mon regard dans le sien, tout en lui caressant le visage , de ma main libre, alors que je vins l'embrasser sur la joue, lui effleurant le coin des lèvres peu avant qu'elle ne m'offre de m'aider.

J'ai essayer de me faire un sandwich au beurre d'arachide mais comme c'était trop difficile j'ai mangé du beurre d'arachide à la cuillère. Mais si tu veux tu peux me faire ta spécialité, ton petit massage secret auquel je ne résiste jamais.

Lui dis-je, alors que ma main qui était sur sa joue venais de glisser dans ses cheveux alors que je la regardais avec une envie complétement folle.

Elle me demanda si ce qui était arrivé de débile qui m'avait tiré dessus, moi je ne m'en faisais pas trop après tout cela faisait parti des risques du métier auquel j'acceptais de me plier.

Et il bien il est en prison.

Je l'avais ensuite embrassé en lui effleurant les lèvres et lui avait tout simplement demandé de me faire un massage, je n'avais pas vraiment faim après tout.

J'ai trop envie de sentir tes mains contre ma peau...rien ne me rend plus à mon aise.

Lui dis-je en m'installant sur le sofa tout en lui laissant de la place afin qu'elle puisse se glisser derrière moi.

Je lui souris lorsqu'elle me dit qu'elle se sentait rassurée de savoir que ce petit enculé soit en prison mais je n'osais pas lui dire que bientôt il serait remis en liberté car je savais qu'elle s'inquiéterait d'avantage.

En effet.

J'étais sous son charme et je me laissai faire lorsqu'elle s'installa derriere moi, j'adorais ces petits moments avec elle et puis je retirai mon t-shirt lorsqu'elle me le demanda...bien sur je le fis difficilement car la douleur était encore vive mais je finis par le faire.

Voila

Je grimaçai quelque peu lorsqu'elle me fit remarquer que je ne travaillais plus, en effet je n'appréciais pas tellement d'être mis de côté mais je comprenais pourquoi mes patrons l'avaient fait...après tout ils me connaissent parfaitement et savent très bien que je n'aurais jamais accepté de me retrouver assigné à du travail de bureau alors le congé forcé était une bonne chose.

En effet.

Je l'entendis me dire que j'aurais du faire appel à elle, qu'elle serait venue m'aider...ajoutant qu'elle était une amie après tout...elle avait raison mais je n'aimais pas dépendre des gens et puis j'avais peur de la déranger.

Tu as raison mais je ne voulais pas te déranger.

Je m'abandonnais à ce qu'elle me faisait, inclinant la tête vers l'arrière tout en fermant les yeux.

Il me dit qu'en effet il était en congés forcé. Ces patrons l'avait donc suspendu le temps qu'il se remette de cette balle je souris un peu intérieurement c'est gentil de la part de ces patrons de faire ça pour moi, car je pourrai passer du temps avec lui.

- Cela te ferait du bien que d'être enfermé dans un bureau au moins tu peux faire ce que tu veux ici.

Il me dit que j'avais raison et qu'il aurait du m'appelai mais, il ne voulait pas me dérangait. Il devait comprendre qu'il ne me dérangeait jamais même si je suis au travail il ne me dérangerait pas.

- Tu ne me déranges jamais tu sais.

Je vis qu'il aimai bien mon massage, car il inclina la tête vers l'arrière et qu'il ferma les yeux. Je descendais encore un peu et me retrouvais sur sa colonne vertébral je le massais toujours avec douceur et fermeté.

- Maintenant si tu veux un massage ou autre à toute heure du jour ou de la nuit tu sais que tu peux m'appelai.

Même s'il était 4H du matin je viendrai lui faire son massage, même si j'étais au travail je viendrai lui faire aussi. Car il devait se sentir bien même s'il avait mal.

- Tu ne veux pas un médicament pour la douleur peut être.

Je sais que j'ai l'air d'une mère poule mais, je savais ce que c'est que d'avoir mal quelque part certes je n'avais jamais eu de balle dans le bras mais j'avais déjà eu le bras cassé étant petite donc je savais que ça pouvait faire très mal.

Elle avait raison , j'étais mieux dans mon appartement qu'enfermer dans un stupide bureau...je lui souris lorsqu'elle m'en fit la remarque car elle avait tout simplement raison.

Je vais tâcher d'en profiter.

Je n'avais pas fait appel à elle uniquement parce que je ne voulais pas la déranger et je ne m'étais pas gèner pour le lui dire mais rapidement elle me dit que je ne la dérangeais jamais … ce qui me fit sourire.

Merci c'est gentil.

Lui dis-je alors qu'elle entreprit de me faire un massage...j'adorais trop ce qu'elle me faisait et puis je n'étais pas insensible a sa voix qui ne cessait pas de me troubler...elle venait de me dire que je pouvais l'appeler a toute heure de la nuit et cela me touchait.

Je voudrais pas tomber a un mauvais moment...une belle femme comme toi doit être fortement courtisée par d'autres hommes.

Lui dis-je en me retournant vers elle et je lui souris lorsqu'elle me demanda si je voulais un médicament contre la douleur mais tout ce que je voulais c'était elle.

Non tout est parfait...tant que je suis en ta compagnie.

Les choses allaient à la vitesse grand V alors que la belle était venu me rejoindre chez moi, elle avait alors entrepris de devenir mon infirmière personnelle. s'installant derrière moi elle me fit un massage auquel je ne pouvais que m'abandonner...elle savait trop y faire. Au cours de notre conversation elle me fit comprendre qu'elle se fichait des hommes qui la courtisait et que je pouvais me permettre de la déranger volontiers...elle avait le don de me faire sourire.Je suis heureux de te le dire. Lui dis-je après lui avoir dit que j'aimais sa compagnie et je fus surpris par son tendre et fougueux baiser que je me laissai aller à prolonger langoureusement.

J'aimais lorsqu'elle prenait les choses en main et elle ne tarda pas à me donner satisfaction alors qu'elle m'embrassa avec fougue et passion passant ses bras autour de mon cou et m'emprissonant entre ses jambes alors qu'elle venait de me pousser sur le sofa...elle me fit son regard de braise en me disant que j'étais à elle. Je ne veux que t'appartenir. Lui répondis-je tout en lui caressant le bas du dos.