Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~
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Sujet: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 15:38
Théodore Preston Hallinger
« It's too cold outside, for angels to fly »
NOM ϟ Hallinger; PRÉNOMS ϟ Théodore; SURNOMS ϟ Théo; AGE ϟ 24 ans; DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ Londre le 27/01/1988; NATIONALITÉ ET ORIGINES ϟ Anglaises; SITUATION AMOUREUSE ϟ célibataire; PROFESSION ϟ Fleuriste; ORIENTATION SEXUELLE ϟ attiré par les femmes ; PARTICULARITÉ ϟ amnésique suite à une accident de voiture ; AVATAR ϟ Alex Pettyfer; GROUPE ϟ Les Misérables chocolatés
PRENOM ϟ Pauline; PSEUDO ϟ Polochon; PAYS ϟ France; COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ϟ sur top site; COMMENT TROUVE-TU LE DESIGN ϟ très beau; INVENTÉ OU SCENARIO ϟ scénario de Morgane et Kirby ; PRÉSENCE SUR LE FORUM ϟ régulière; CODE DU RÈGLEMENT ϟ CODE OK BY ZAMANDE
Dernière édition par Théodore P. Hallinger le Mar 22 Mai - 15:35, édité 2 fois
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 15:38
once upon a time ...
Le tournant de la vie
Le temps était comme ralentit à mesure que la voiture dérapait échappant complètement au controle de son conducteur. Un flot d'image envahit son esprit.
Londes, Big Ben et ces touristes qui flashaient le monument avec émerveillement, ses rues animée et bruyantes, ses parcs verdoyants et paisibles, les après midis joyeuses à y jouer au côté de sa sœur…
Il y était né, et avait vécu la majorité de sa vie là bas. Il a grandit élevé dans une famille aimante qui lui a apporté une excellente éducation. Son enfance au côté de Morgane, sa petite sœur qu’il adorait, avait été parfaite. Jusqu’à ce jour tragique où son père les emmena en ville lui et sa sœur. « Allez, puisque vous êtes sages je vous paye une glace. » Et le sourire de la petite morgane s’élargit. Le père de famille fouilla dans sa poche droite, puis dans la gauche, trouva enfin son portefeuille pour y découvrir qu’il n’avait plus de monnaie. Ses yeux furetèrent aux alentours et s’arrêtèrent sur la façade d’une banque. « Je vais retirer des billets avant les enfants. Suivez moi ». Théo tenait sa petite sœur par la main, ravi de ce moment partagé à trois. Ensuite tout est allé très vite : alors que son père retirait quelques billets au guichet, un groupe d’hommes armés fit éruption dans le hall de la banque, intimant l’ordre à tous les clients de se mettre au sol. Théo tremblant, s’exécuta tenant toujours fermement la main de sa cadette. Son père esquissa un geste pour les rassurer, mais les voyous durent mal interpréter ce mouvement et ils abattirent l’homme sur le coup, sans hésitation, avant de s’enfuir rapidement.
Le corps de son père qui s’écroule à côté d’eux, sur le carrelage froid et dur de la banque, le sang qui se répand doucement sur le sol, les cris de l’employée de banque paniquée, les bruits de pas empressés du groupe de gangsters qui s’enfuit, les larmes de sa sœur…
Théo resserra sa main sur celle de Morgane. Il se redressa, les hommes en noir étaient partis. Les badauds s’agitèrent autour d’eux, mais pour Théo le temps s’était comme arrêté. Les murmures inquiets, les cris affolés de la banquière, le son de cet autre client qui s’était précipité au côté du blessé, son portable collé sur son oreille, suivant les indications des secours qui étaient en chemin, tous ses bruits étaient comme en sourdine. L’adolescent n’arrivait pas à détacher ses yeux du corps de son père, qui se vidait progressivement de son sang. La vie de l’homme qu’il aimait le plus au monde, celui qui comptait le plus pour lui, celui qui avait toujours été là à ses côtés, son modèle, son exemple, s’échappait devant lui.
Les sirènes des ambulances, les secouristes qui tentent vainement de réanimer son père, et les deux enfants grelottants, sanglotant l’un contre l’autre…
Une infirmière s’approcha d’eux, les recouvrant d’une couverture et leur demanda où étaient leurs parents. Les sanglots de Morgan redoublèrent. Théo montra d’un doigts tremblant le brancard, sur lequel les urgentistes avaient posé le corps sans vie de son père à présent enfermé dans un sac mortuaire : « c’est mon père ». Il aurait du dire « c’était mon père » mais la réalité était encore trop choquante pour le garçon de 13 ans, trop dure. Impossible pour lui de réaliser l’impensable : il y a quelques heures encore, ils étaient en train de flâner en ville tous les trois, riant et plaisantant…
Les pleurs hystériques de sa mère à l’annonce du décès, la frénésie des jours suivants où la veuve s'est plongée corps et âme dans l’organisation des funérailles comme pour occuper son esprit, oublier les pensées noires qui l'envahissent, oublier l’impossible et insurmontable travail de deuil qui attend toute la famille,et puis la cérémonie triste et solennelle.
Quatre ans plus tard, il déménagea à NY. La famille meurtrie s'était peu à peu reconstruite, doucement mais surement. Sa mère refit sa vie avec un nouvel homme. Bien qu'il se réjouissait de ce nouveau mariage, voir sa mère heureuse et reprendre goût à la vie, il ne se sentit jamais complètement intégré dans ce nouveau foyer. Lorsque l'occasion se présenta à lui de partir à New York et d'intégrer la prestigieuse université de Columbia, lui qui désirait faire des études dans le commerce, il ne laissa pas passer sa chance. Il quitta sa ville natale et migra aux états unis, laissant derrière lui sa mère épanouie dans son nouveau couple, et Morgane... Morgane, depuis l'accident s'était braquée, renfermée sur elle même. Théo avait toujours été là pour elle, protecteur et attentif. Il ne savait pas vraiment comment elle allait réagir à la séparation...
New York, l'immensité de ses buildings, les lumières éclatantes des rues, Central Park et ses grands espaces verts, son regard émerveillé devant toutes ces nouveautés…
Quelques temps plus tard, sa cadette le rejoint. C'est avec une grand joie et un sourire immense qu'il lui fit visiter les rues désormais familières de son quartier new yorkais. Ils se rapprochèrent à nouveau, et il put reprendre sa place de grand frère défenseur et quelque peu paternaliste, cette place qu'il occupait depuis la disparition de leur père. Il tenait tant à Morgane, il ne supportait pas l'idée qu'elle souffre...
Soudain, alors qu'il roulait à vive allure en chemin pour NYC, il remarqua trop tard un tronc d’arbre au milieu de la route, surement là à cause des intempéries de ces derniers jours. Théo braqua le volant tout en freinant de toutes ses forces. Les roues se bloquèrent, sa voiture partit en crabe… Et toutes ces images dans sa tête le frappèrent, comme des flashs, est-ce que son heure était arrivée ? Etait-ce sa vie qui défilait devant lui avant son ultime souffle ?
Le cadavre de son père, les pleurs de sa sœur, les cris de sa mère, cette infirmière si gentille qui le rassure, et puis le cercueil de son père qui s’enfonce doucement dans la terre… Le nouveau conjoint de sa mère, son ébahissement lors de son arrivée à New York, sa joie lorsque Morgan lui annonce qu'elle le rejoint, le rire de celle-ci alors qu’ils se baladent ensemble dans Central Park…
Tous ses souvenirs se mélangèrent, se floutèrent quand sa voiture heurta la rambarde dans un fracas bruyant. Le choc fut violent, le véhicule passa au dessus de la rampe de sécurité, volant dans l’air avant de retomber sur le toit. L’airbag de sécurité s’était déclenché. La carcasse de l’automobile retournée fumait sur le bas côté de la route. Un automobiliste s’arrêta après avoir allumé ses warnings, il s’empara de son téléphone appelant immédiatement les secours…
Le réveil du mort
Lorsqu’il ouvrit les yeux, la lumière blanche de sa chambre d’hôpital sembla lui bruler les rétines. Il referma aussitôt les yeux. Après quelques minutes, s’habituant peu à peu à la clarté de la pièce, il les rouvrit. Où était-il ? Que faisait-il ici ? Il avait l’impression que son crâne allait se fendre en deux. Un cathéter de perfusion dans son bras gauche le gênait. Il se redressa quelque peu dans son lit. Il observa un moniteur sur son chevet qui affichait régulièrement ses constantes. Une infirmière fit éruption dans la chambre, se présenta à lui, changea la poche de solutés. « Qu’est-ce que je fais ici ? Que m’est-il arrivé ? » La soignante le rassura, c’était fréquent d’avoir des trous de mémoire après un tel choc. Elle lui raconta qu’il avait eu un accident de voiture, qu’il avait eu un grave trauma crânien mais que son état était à présent stable. « Y-a-t-il des personnes à prévenir ? » demanda-t-elle ensuite. C’était une excellente question… Théo réalisa avec stupeur qu’il n’avait pas juste oublié les circonstances qui l’avaient conduit ici, il avait tout oublié. La panique le gagna, « Je veux sortir d’ici » s’exclama-t-il alors en s’agitant. L’infirmière tenta de l’apaiser et alla informer le chirurgien de l’état de son patient. Le lendemain, Théo signait une décharge pour quitter l’hôpital contre avis médical. Il ne supportait plus les regards condescendants des soignants, la lumière artificielle des néons, l’odeur piquante du chloroforme, les bips incessants des moniteurs…
Mais très vite, une fois dehors, passé le premier soulagement et le premier bien être du à l’air frais, à la clarté des rayons du soleil, la panique le regagna à nouveau : où allait-il aller ? Qu’allait-il faire ? Il se rendit à l’adresse inscrite sur ses papiers contenus dans le portefeuille qu’il portait le jour de son accident. L’appartement où il semblait vivre, visiblement seul, ne renfermait aucun indice sur sa vie passée. L’énervement le gagna, il empaqueta toutes ses affaires et libéra le studio, il quitta New York sans se retourner, sans songer un instant qu'il laissait derrière lui des proches fous d'inquiétude. Si il ne se rappelait rien de sa vie autant repartir à zéro.
Nouveau Départ
Depuis un an, le jeune homme avait refait sa vie, toujours dans le flou concernant son passé. Seuls ses souvenirs avaient été affectés, ses capacités intellectuelles et manuelles ne semblaient pas avoir été atteintes, il avait donc pu reprendre une vie normale, enfin quasi normale. Il était arrivé à San Diego avec sa valise sous le bras, près à prendre un nouveau départ, il avait postulé chez un marchant de fleur et il avait été embauché comme fleuriste, facilement et simplement. C’est donc ici qu’il avait recréé son petit cocon, sa petite vie. Il avait repris goût à la vie en s’entourant de nouvelles connaissances, sortant régulièrement au théâtre et au cinéma. Il adorait également écouter des sonates pour piano, peut être avait-il été pianiste autrefois ? Il n’avait jamais essayé de jouer, parfois il avait un peu peur de ce qu’il découvrirait sur lui même si il commençait à se rappeler… Finalement, il avait fait son deuil de ce passé oublié. Il s'était découvert une véritable passion pour l'équitation, et passait la plupart de son temps libre dans un centre équestre, situé en périphérie de la ville. Doux et attentionné, le courant avec les chevaux passait très bien et avec eux pas besoin de parler, pas besoin de se justifier sur son absence de souvenirs. Son autorité lui permettait également de se faire respecter par l’animal. Il aimait être au club, travailler manuellement, charger les brouettes de foin, graisser les selles et les filets, panser les bêtes, cela lui permettait de se vider la tête. Et lorsqu'il chevauchait sur leur dos, le visage balayé par l'air frais et vivifiant, il était envahi d'une une sensation de bien être immense. Le cheval était devenu plus qu'un simple passe temps, sans qu’il sache vraiment si cela avait été hérité de son enfance ou si il s'agissait de quelque chose de nouveau.
Cependant, malgré l'apparente sérénité de sa nouvelle vie, à chaque fois qu’un inconnu le reconnaissait, alors que pour Théo ce visage n’évoquait rien, le garçon perdait ses moyens et son calme. Heureusement, il avait fait cette rencontre : « Excusez-moi, où j'peux trouver des toilettes ? » demanda-t-il avec un grand sourire. Il y avait mieux comme entrée en matière. La belle brune, qu’il observait de loin s’en oser l’approcher, tourna son regard vers lui et un sourire se dessina sur ses lèvres, visiblement quelque peu amusée par sa question. Elle lui indiqua du doigt des toilettes publiques, tout en soulignant qu'elles n'étaient guère propres avant de lui proposer d'utiliser les siennes, étant à deux pas de chez elle. Quelques semaines plus tard, les deux jeunes gens avaient appris à se connaitre et se fréquentaient régulièrement. Théo sentait une étrange alchimie entre Kirby et lui. Impossible donc pour lui de lui cacher plus longtemps son secret. Il lui révéla son histoire, l’accident qui avait ravagé sa mémoire, s’emparant de ses souvenirs, le laissant sans passé… C’était la première fois qu’il en parlait à quelqu’un. D’habitude il esquivait toujours les questions sur son passé. Kirby était infirmière à l’hôpital, elle insista pour l'aider. C’est par amour pour elle qu’il accepta finalement cette main qu’elle lui tendait. Car au final, il en était arrivé à fuir ses propres souvenirs, se complaire dans ce black out total de son esprit. Elle lui avait fait rencontrer en privé un collègue neuro chirurgien. Après une batterie d’examens, celui ci lui avait dit qu’il était guéri et Théo s’était simplement énervé : comment pouvait-il être guéri puisqu’il ne se rappelait de rien ? Et alors que l'agacement montait en lui, Kirby avait doucement posé la main sur la sienne, plongeant ses beaux yeux noisette dans les siens, l’apaisant d’un regard. Elle s’était tournée vers le médecin en le remerciant d’abord pour tout ce qu’il avait fait pour son ami puis elle lui avait demandé d’une voix calme quelles étaient les options qui s’offraient à Théo pour retrouver la mémoire. Heureusement qu’elle avait été là, sa sérénité et sa douceur avait eu raison de l’emportement de Théo.
C’est comme ça qu’il s’était retrouvé dans cette maison de fou, un cabinet psychiatrique que le collègue et ami de Kirby leur avait recommandé… Pourtant il n’était pas fou, si ses souvenirs l’avaient quitté, c’était bien à cause d’un accident de voiture, quelque chose de physique. Néanmoins la chirurgie ne lui avait pas permis de retrouver les brides de son passé et le chirurgien pensait qu’il y avait une raison plus profonde qu’un simple trouble physique, quelque chose dans le subconscient du jeune homme bloquait ses souvenirs, l’empêchant d’y accéder, comme si il trouvait son compte dans cette amnésie totale de la première partie de sa vie. Le travail de psychanalyse promettait d’être long et fastidieux, d’autant plus que Théo était réticent.
Se souvenir des belles choses...
« A vrai dire je ne sais pas ce que je fais là… Je sais pas ce que je m’étais imaginé, vous ne pouvez rien pour moi, soupira le jeune homme en esquissant un geste pour se relever du siège sur lequel il était assis. » Le médecin arrêta son geste d’une voix posée, il lui somma de se rassoir. « La séance vient à peine de commencer monsieur Hallinger. Si vous cessiez juste de fuir un instant, peut être aurais-je enfin les ressources pour vous aider. »
C’était la douzième fois qu’il venait dans ce bureau, la douzième fois qu’il patientait une heure dans la grande salle d’attente, entouré de patients plus au moins étranges, aux tics et aux manies dérangeantes, lui donnant la désagréable impression d’être dans une maison de fous. La douzième fois qu’il plongeait sa tête dans les magasines à potins sans intérêt, lisant des articles plats sur des célébrités qu’il ne reconnaissait même pas, juste pour essayer de faire s’envoler le malaise qui grandissait en lui. La douzième fois… Et chaque fois, lors de son rendez vous mensuel, c’était un supplice, ouvrir son cœur et son esprit à cet inconnu. Ce psychiatre l’avait pourtant bien cerné. La séance porta sur sa famille, le médecin orienta subtilement ses questions. Avait-il la sensation d’être seul ? S’était-il déjà demandé si il n’avait pas quelque part une famille inquiète qui l’attendant désespérément ?
Théo repensa alors à cette photo, l’une des seules qu’il avait trouvé dans son appartement new yorkais. Une photo encadrée le représentant enfant au côté d’une petite fille quelques années plus jeune. Il déglutit avec difficulté prenant soudain conscience d’une vérité qu’il avait trop longtemps ignorée : cette enfant à ses côtés était sa sœur…
Ce fut naturellement à Kirby, qu'il connaissait à présent bien et qui était devenu sa colocataire et sa plus proche amie, qu’il fit part en premier de cette révélation. Son amie sembla aussi estomaquée que lui, se laissant tomber sur le lit. Ses souvenirs ne risquaient-ils pas de tout changer, de tout détruire de ce qu’ils avaient construits ensemble ? Et si il découvrait qu’il avait fait des choses affreuses, des actes immondes, qu’il était en réalité une personne abjecte ou détestable, l’aimerait-elle encore ? Serait-elle toujours cette amie si parfaite, si présente ? Et lui aurait-il toujours les mêmes sentiments pour elle ? Son psy lui avait pourtant dit de ne pas se laisse envahir par ses peurs, pour avancer, il devait oublier ses craintes… Qu’en serait-il une fois qu’il aurait retrouver sa soeur cadette ? Tout risquait d'être chamboulé à présent...
Dernière édition par Théodore P. Hallinger le Mer 23 Mai - 3:57, édité 11 fois
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 15:48
Bienvenue à toi Téo Comment tu vadrute bien ? Trop bon choix d'avatar avec PETIT FOUR. Si tu as besoin de quoi que ce soit demandrute.
Isalyne-C. Grimaldi
isalyne ✇ la perfection existe, j'en suis la preuve..
✖ PÂTISSERIES VENDUES : 4247
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 26/04/2012
Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 15:51
WELCOUUUUUUUUME
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 15:59
Un Hallinger Mon pauvre, t'es le frère de l'autre moche bon courage ...
WELCOOOOOUME !
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:04
BIENVENUUUE
Merci encore et encore d'avoir choisi notre scénario ! :couche4:
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:11
Excellent choix d'avatar Bienvenue parmi nous
Silver Z. Avery-Leeds
✖ PÂTISSERIES VENDUES : 2875
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 04/05/2012
Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:15
Mon Dieu Petpet, quel choix. :couche4: Bienvenue et bon courage pour ta fichouille.
Noëlya O. Archibald
et puisqu'on n'atteint pas le ciel à moins de s'y brûler les ailes.
✖ PÂTISSERIES VENDUES : 5723
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 06/05/2012
Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:17
Pettyfer BIENVENUUUE parmi nous :couche4:
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:33
Lennon A. Hemingway a écrit:
Un Hallinger Mon pauvre, t'es le frère de l'autre moche bon courage ...
non mais quelle mauvaise celle-là t'insinues quoi d'abord hein ? sale pied qui chlingue va
trêve de plaisanterie, bienvenuuuuuuuue mon fréroooo merci d'avoir pris notre scénario, n'hésite pas si tu as une quelconque question oh punaise, tu peux pas savoir comment tu nous rends heureuses Kiki & moi, d'pis le temps qu'on se plaint parce qu'on veut notre Pettyfer
bref, bonne chance pour ta fiche & n'écoute pas la rouquine du haut, on va bien s'amuser toi & moi, j'te le promets :hihi:
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:36
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fichounette :cochon:
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:48
Merci tout le monde pour votre accueil...
(Morgane et Kirby j'attends votre avis sur ma fiche et votre validation, après si y'a des incohérences ou quoi que ce soit, des choses que j'ai mal compris, des trucs que vous voulez que je modifie, y'a pas de soucis dites le moi... )
E. Solweig Worsley
✖ PÂTISSERIES VENDUES : 290
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 08/05/2012
Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:49
Welcooooooooome
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:50
Je viens de finir de la lire Pour ma par tout me semble bien, hâte de faire un sujet avec toi
Edit : Par contre tu n'as pas mis ton nom de famille ni ton groupe dans la première partie.
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 16:52
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 17:17
BIENVENUE
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 17:21
Pettyfer. Bienvenue.
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 17:23
PETTYFER. Bienvenue parmi nous (a)
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 18:34
sexyfer
bienvenue, chou
P. Lyra-Weverly Fields
PANDORA ✝ i want to live in my world
✖ PÂTISSERIES VENDUES : 3301
✖ EN CUISINE DEPUIS LE : 25/04/2012
Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 18:51
WELCOOOOME
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 19:25
Bienvenuuuuue
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Lun 21 Mai - 19:54
ALEX Bienvenue sur Sea, Sugar & San Diego
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Mar 22 Mai - 10:42
PETTYFEUR+FREROT DE MOMO= NOUS FAUT UN LIEN Je suis la méga super giga meilleure amie de ta soeur alors y'a pas moyen que tu me zap Bienvenue
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Mar 22 Mai - 15:54
Merci tout le monde. (Et merci Kirby et Morgan pour ce scénario que j'ai immédiatement adoré et adopté ) Ma fiche est terminée.
J'ai hâte de RP avec vous tous.
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~ Mar 22 Mai - 16:03
Ayant eu l'accord de Momo puisqu'il ne manquait que le sien :hii2: c'est avec un grand plaisir que je te valide
Bon jeu, encore merci à toi pour avoir pris ce super scénario et n'oublie pas de te recenser dans le bottin surtout.
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Sujet: Re: Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~
Théodore Preston Hallinger ~It's too cold outside, for angels to fly~