Il y quelques jours, tu avais fait la rencontre du maire de la ville. C'était incroyable de dire ça, mais ce maire était tout sauf ordinaire. Il était beau, et puis il était comme un... dictateur. Toutes tes amies fantasmaient dessus. Elles disaient que c'était excitant d'être gouverné par un homme pareil. Tu ne comprenais pas vraiment leur point de vue mais tu étais d'accord avec elle, il était canon. Un jour, tu relevas le défi de le séduire. Tes amies te prenait pour une folle, de réputation, Tate était un être froid, cruel et égoïste. Il t'effrayait, quand tu l'entendais parler. Mais depuis quelques jours, vous vous étiez rapprochés et bizarrement, il te plaisait. Pas en ami, et tu ne te voyais pas sortir avec mais votre relation était... Indescriptible. Une de tes amies, t'avais proposé d'arrêter toute cette mise en scène, que tu avais gagné ton pari. Tu leur avais dis non, en ajoutant que tu ne faisais plus semblant avec lui mais que tu commençais à l'apprécier et à voir un homme bon en lui, contrairement à ce qu'il voulait faire croire. Ce matin, tu étais prête pour se rendre à son bureau, tu séchais les cours pour le voir, c'était pour dire à quel point il t'obnubilait. Tu te rendis à la mairie et comme tous les jours, toquas à son bureau avant d'entrer. « Hey, ça va ? J'ai pris nos cafés préférés, je pensais que t'en aurais besoin, il faut que je te parle d'un truc ! » Tu étais une autre personne avec lui, tu étais gentille, attentionnée, il te transformait.

Chaque jour, tu avais hâte de te rendre à son bureau pour le voir. Chaque soir, quand tu rentrais chez toi, tu ne pensais qu'à une seule chose, le lendemain matin pour le revoir et boire votre café matinal ensemble. Ce matin, tu étais rayonnante, malgré le mauvais temps, tu savais t'embellir, pour lui. Tu entras dans son bureau, le sourire aux lèvres et des cafés entre les mains. Tu t'approchas de lui et tu t'arrêtas net en voyant comment il te répondit. Il était froid, comme au début de votre relation. Qu'est-ce qu'il se passait ? Pourtant tu n'avais rien fait de mal, quelque chose qui aurait pu lui déplaire. « Tate ? Qu'est-ce qui ne va pas ? » Tu déposas les cafés sur son bureau et tu t'avanças prudemment vers lui, fronçant les sourcils. Tu avais l'impression d'être soumise à lui en ce moment même.


HJ ; pas grave du tout t'inquiètes

Quand tu étais avec lui, tu étais comme, soumise. Tu ne t'exprimais pas, tu rigolais et parlais juste avec. Jamais encore, tu n'avais émis un avis différent du sien car tu avais peur de sa réaction. Tu ne le connaissais pas vraiment encore mais tu le connaissais assez pour savoir qu'il n'était pas comme d'habitude. Il était redevenu froid et tu avais l'impression de l'emmerder plus qu'autre chose. « Oui, je voulais te parler d'une idée que j'avais eus pour l'aqueduc dont tu m'avais parlé, mais dis moi plutôt ce qu'il y a, tu n'es pas comme d'habitude Tate... » Jamais tu ne t'étais comporté comme ça avec un homme, c'est soit il te courait après, soit rien. En l'occurrence, là c'est après lui que tu courais pour avoir une explication. « Allez quoi, tu t'es levé du mauvais pied, j'ai fait quelque chose ou quoi, dis moi Tate ! »

Tate n'est pas tellement sur les avisI contraire en effet. Il est de ceux qui prenne toujours seulement leurs seul opinion valent la peine d'être aquis. Très égoiste et narcissique. De plus en tant qu'homme politique il a l'habilité de faire croire n'importe quoi, que ce soit vrai ou non. au final même si c'est faux on le crois sur parole. dure de débatre son opinion en somme. en tout les cas, aux propos de la jeune femme il ne réagis peut-être pas physiquement mais en somme il s'atendait pas a cette réponse. « l'aqueduque, vraiment? l'on ne m'avais pas informé que tu était une experte en la matière... » il avaitéussi a être un tant soit peu amadouer par la belle blonde, mais là il agissait simplement a son naturel, comme a la première rencontre. Il la laissait continuer en affichant un petit sourire malsain malgré tout. « peut-être, on aura qu'a parié dessus un autre jour, merci d'être passé. »

« Je ne suis pas experte en la matière, mais je suis assez intelligente pour savoir ce que c'est et à quoi ça sert. Bref, on s'en fiche. » Toute cette situation commençait à t'énerver, il ne voulait vraiment pas te dire ce qu'il avait et même si tu insistais pour qu'il avoue, rien à faire. C'est en entendant le mot parié que tu compris, enfin, tu crus comprendre. Tes amies, elles n'avaient pas tout balancer à Tate ? Après tout, elles auraient tout fait pour être à ta place, elles voulaient coucher avec le maire le plus sexy de tous, tu étais sûre et certaine, c'était elles. Tu réfléchis une minute en détournant son regard, tu regardais à travers la baie vitrée et tu entamas ce sujet qui semblait fâcheux avec un visage dénué d'expression, dénué de vie. « Qu'est-ce qu'elles t'ont dit Tate ? » Toi aussi à ton tour tu devins froide.

« Comme tu dis » de toute manière la discussion allait définitivement transcender vers ce qu'elle voulait savoir avant tout. Ce qui osait se replis de l'homme a son égare qui était particulièrement évident. Il la toisait simplement, en apparence calme comme le plus paisible des lacs mais en réalité disons qu'il était agacé par cette histoire malgré tout. Avant la jeune femme il ne se serait surement pas attardé sur le sujet. n'aurait tout simplement pas réagit ou encore aurait usé de son naturel despote pour la sentence. « l'essentiel, pourquoi as une autre version a apporté? » le ton avec lequel il avait dicté sa phrase, sonnait comme si il n'en voyait même pas l'utilité. Que les faits étaient la, et qu'elle pouvait s'en aller maintenant. mais bon au fond il ne voulait peut-être pas qu'elle s'en aille non plus.

Maintenant tu étais confrontée aux faits et au pari que tu avais fait avec tes stupides amies. Tu comptais te venger, cette histoire n'allait pas s'arrêter là, oh que non. Tu comptais bien lui dire la vérité, pour qu'il se rende compte de la connerie qu'il avait faite de croire ces grognasses plutôt que toi, toi qui était sincère depuis que tu t'étais rendue compte que tu ressentais quelque chose pour lui. « D'accord, au début, j'ai voulu parier que je te séduirai. » Tu restais encore quelques secondes de marbre et puis, tu te tournas vers lui, le regardant dans les yeux. « Elles me parlaient de toi, tout le temps, elles disaient que tu les excitais, elles n'arrêtaient pas de parler de toi et au départ, je voulais te séduire, c'était pour rire, je me disais que rien ne pouvait se passer entre nous, toi le maire cruel et moi la pauvre fille insignifiante. Et puis au fil des jours, j'ai appris à te connaître, j'ai découvert une autre personne que ce que tu essaies de faire croire. Ensuite, je leur ai dis ce que je ressentais pour toi et elles m'ont dit que je pouvais arrêter de faire semblant. J'étais heureuse, je pensais qu'on allait pouvoir... faire quelque chose ensemble. Et ces garces sont venues te voir en te disant que tout ça était un pari. Certes, elles ont raison. Mais ce qu'elles ont oublié de dire, c'est que maintenant, je ne fais plus semblant et que pour moi, ce n'est plus un jeu. »

c'est vrai qu'i y a toujours deux cotés a une histoire, alors en même temps elle peut- toujours le surprendre, ce qui lui serais surprenant. De toute manière il n'avait pas suffit de grand chose pour attisé le vrai Tate. Parce que bon si elle disait qu'elle avait découvert une autre facette de lui, il pense plutôt que ces ce coté qui n'a rien a faire en lui. il vaut mille fois mieux d'être craint que d'être aimé. c'est ça devise! malgré le discourt parfois gaffeur de la blonde, elle est tout de même arrivé a apaisé celui-ci. assez pour qu'il pense a lui accordé a nouveau sa confiance peut-être un jour. mais Tate n'as jamais eu totalement confiance en en qui que se soit, vue la nature humaine pourquoi s'en privé. cela vaux même mieux. il s'approchait d'elle l'aire penseur en se stoppant a proximité. « tu devrai peut-être faire un peu plus attention a qui tu choisie de fréquenté. » un infime sourire apparu sur son visage habituellement inexpressif, ça devait être le plus gros sourire depuis des années. il serait indécelable sur une personne normalement constituer émotionnellement.

Tu étais soulagée qu'il ne fasse pas un plus gros scandale que ça ou qu'il ne s'énerve pas. Après tout, tu ne le connaissais pas encore énormément et vu comment il était, une claque pouvait partir à tout moment. Mais ce qui te tracassais, c'est qu'il ait cru tes amies, et pas toi. Tu ne t'attendais pas à ce qu'il te fasse une confiance aveugle mais tu pensais qu'il n'allait pas les croire non plus. « Et toi tu devrais faire attention qui tu crois. Tu préfères gober ce que te dises trois poufs plutôt qu'une personne qui a su voir ton bon côté ? » Tu ne savais pas comment il allait prendre cette réflexion qui sonnait comme un reproche. Mal sûrement, surtout venait de lui qui préférait son mauvais côté plutôt que le bon. Cependant, tu continuas de le regarder sans faillir. Tu n'avais pas peur, pas tant qu'il n'avait pas eût un geste violent envers toi.

s'était plutôt étonnant le fait que le jeune homme la ''crois'' sur parole a ces dires. ce n'était pas trop son genre en général. Soit il s'en foutait carrément au fond. soit que s'était simplement a cause d'elle ou encore ça cachait quelque chose. la troisième probabilité était bien plus plausible lorsqu'on y réfléchis, sinon encore un mélange des trois. quoi qu'il en soit il ne réagis pas, pas d'over réaction. nada. « juste une petite chose, il n'y a pas de bon coté a voir ma jolie.» non il ne l'avait pas frapper, puis même si il n'as pas beaucoup de qualité ou de barrière de ce coté, il ne frape pas les femme en général. déjà il n'y a pas de challenge et puis ce serais mal vue pour son image politique une jeune femme qui sort de son bureau avec un cocard.

Tu ne sais pas comment agir avec lui. Tu as peur qu'il t'échappe, qu'il s'en aille ou qu'il s'énerve. Tu trouves son personnage complexe, tu sais que c'est un maire mais parfois, tu ne le comprends pas. Tu l'as déjà vu avec d'autres personnes, il fait peur ou peut-être qu'il te fait peur. Mais quand il est près de toi, comme en ce moment, c'est autre chose, tu es attirée par lui mais tu ne sais pas si c'est réciproque. Du moins, si ça l'était, ça ne serait que pour le sexe. Ce n'est pas ce que tu recherches dans une relation, tu cherches un truc sérieux, pour te faire oublier ce dont tu as peur. Votre petite altercation, tu l'as déjà oublié et maintenant tu te concentres uniquement sur Tate, et ses beaux yeux. « Si tu le dis alors. Et dis moi, est-ce que, si ma mission de séduction devait s'arrêter là, tu penses que j'aurais réussis ou non ? » Tu te mordilles la lèvre et attrapes sa cravate afin de le rapprocher de toi.

Tu te demandais bien comment allait finir cette relation, ou ce semblant d'ailleurs. Il ne te faisait pas confiance, toi tu n'arrivais pas à le cerner, tu étais complètement perdue et franchement, tu avais besoin qu'il t'aide pour ça. Mais le connaissant un minimum, tu savais qu'il ne dévoilerait ses sentiments pour rien au monde, Dieu seul sait qu'il faut encore en avoir pour le dire. Tant pis, tu ne voulais plus réfléchir, tu te laissais aller tout simplement. « Et tu n'aurais pas envie qu'elle s'arrête là n'est-ce pas ? » Tu te recules jusqu'à ce que tu sois appuyée contre son bureau et tu ne le lâches pas une seule seconde des yeux. Tu le rapproches toujours un peu plus de toi, le tenant toujours par sa cravate et tu frôles ses lèvres à l'aide des tiennes sensuellement.

Même si tes intentions au départ avaient étés de te jouer de Tate, elles n'étaient plus maintenant. Plus tu le côtoyais et plus tu voyais en lui une personne susceptible de te plaire. Mais qu'est-ce que tu étais en train de dire ? Il était maire, il était froid, exigeant et il possédait je ne sais combien de coups d'un soir, un vrai tombeur. D'habitude, tu ne tombais jamais amoureuse de ce genre de type. C'était à croire qu'on pouvait faire des exceptions. Mais pour ne pas attiser sa colère, tu voulais que tout soit clair entre vous. « Je sais que c'est dur de faire confiance aux gens pour toi mais crois moi, je ne joue pas. » Tu avais toujours été honnête avec les gens que tu appréciais et Tate en faisait parti. Tu sentis sa main dans ton dos et tu ne pus t'empêcher de frissonner, surtout lorsqu'il descendit ces derniers sur tes cuisses afin de t'asseoir sur le bureau et de se glisser entre tes jambes. Tu cédas à la tentation devenue trop forte et déposas un baiser empli de fougue sur ses lèvres. Tu le colla un peu plus à toi à l'aide des tes jambes que tu croisas derrière les siennes. Délicatement, tu commenças à enlever les boutons de sa chemise, caressant son torse au fur et à mesure que ce dernier se dévoilait.

Tu voyais très bien qu'il ne te croyait pas. Malgré l'envie que tu ressentais pour lui, tu ne voulais pas coucher avec, pour qu'il croit que tu n'en avais que pour le sexe. Tu avais toujours été honnête avec tout le monde et tu commençais à connaître Tate, tu voyais bien quand il était sincère et quand il faisait semblant d'être sincère pour passer à autre chose. Ça t'énervait et tu t'arrêtas alors de déboutonner sa chemise et tu te redressas afin d'être assise sur le bureau. « Me prends pas pour une conne, je sais que tu ne me crois pas ! C'est dingue ça de ne faire confiance à personne. » Tu soupiras, lassée de devoir te justifier à cause de tes pseudos amies.

Son raisonnement était dingue, oui, dingue. Il te rendait dingue aussi puisqu'il était complètement puéril et il pouvait tellement se montrer étroit d'esprit, c'était incroyable. « Tout le monde ? Ce n'est pas parce qu'une personne t'as trahis une fois et bien sûr je ne parle pas de moi qu'il faut te méfier de tout le monde. Tu fais d'un seul cas une généralité, c'est complètement débile, des fois je me demande quel âge tu as ! » Qu'on te prenne pour une personne qui trahissait quelqu'un, toi la personne la plus honnête, tu n'acceptais pas et ça te mettais un rogne.

Tu ne savais plus vraiment ce que tu avais à faire, tu savais des choses compromettant l'avenir de Tate, sa sécurité même mais soudainement, tu n'avais plus envie de lui dire. Tu avais envie de le laisser se débrouiller seul. Il s'en sortirait sûrement mais tu avais envie qu'il se retrouve dans la merde une seule fois dans sa vie, pour voir ce que cela faisait. D'un côté, il n'avait pas complètement tord dans ses paroles, mais il était trop catégorique pour que tu sois d'accord avec lui. Tu soupiras et te leva du bureau, rassemblant tes affaires pour commencer à t'en aller. Tu n'avais plus rien à faire ici. Cependant, avant d'ouvrir la porte, tu ne pus t'empêcher de lui dire: « Tu devrais quand même faire attention qui tu fréquentes, j'ai entendu une conversation d'une personne qui pourrait bien te vouloir du mal au point de te tuer, darling. » Tu souris d'un air moqueur, comme lui le faisait avec les autres et commenças faire quelques pas en dehors de son bureau.